Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par kendryck le 12/01/2006 00:00:57
Je suis amoureux d'une fille, ça fait 4 ans que je l'aime, elle m'aime aussi, mais nous ne sommes pas ensemble parceque nous n'arrivons pas à nous faire part de nos sentiments...
Comme je le vous l'ai dis jusqu'a ce jour je ne l'ai pas vraiment fais par de mes sentiments, Comment faire, j'ai essayer de lui faire des avances, des mails et je me suis servis de ma soeur pour l'expliqué ma situation, elle veut que je lui dise cela de vive voi, des fois elles passe devant ma classe avec des garçons uniquement pour me rendre jaloux, je suis timide c'est ce que me disent mes proches, est ce une maladi la timidité ? Comment la combattre ? J'ai vraiment besoin de savoir je peux combattre cet handicap...
Je suis amoureux d'une fille, ça fait 4 ans que je l'aime, elle m'aime aussi, mais nous ne sommes pas ensemble parceque nous n'arrivons pas à nous faire part de nos sentiments...
Comme je le vous l'ai dis jusqu'a ce jour je ne l'ai pas vraiment fais par de mes sentiments, Comment faire, j'ai essayer de lui faire des avances, des mails et je me suis servis de ma soeur pour l'expliqué ma situation, elle veut que je lui dise cela de vive voi, des fois elles passe devant ma classe avec des garçons uniquement pour me rendre jaloux, je suis timide c'est ce que me disent mes proches, est ce une maladie la timidité ? Comment la combattre ? J'ai vraiment besoin de savoir je peux combattre cet handicap...
On me conseille de voir un psy est-ce necessaire ?
Mon frère me conseil de voir un psy pour suivre une thérapie, je ne pense pas que ce soit une bonne idée, qu'en pensez vous ? J'aime vraiment cette fille, je pense que je ne serais pas à ce niveau ou je suis si je ne l'avait pas connu, je pensais abondonner mes études mais grce à ses bon conseils que j'ais suivit à cause de l'amour que j'ai pour elle j'ai reppris les cours... Je l'aime beaucoup cette fille, quelle conseil me donnez vous ? Que dois je faire, j'ai peur qua la fin elle me dise que j'ai ratté ma chance, qu'elle m'aime bien mais qu'elle préfère un garçon moin timide...
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par laulo le 12/01/2006 05:52:59
FONCE, on s'en fiche de la timidité, si tu l'aimes vraiment, passe par dessus...c'est ça l'amour, briser ses propres limites après tout. Thérapie? Non, t'en a pas besoin. T'es timide et ça fait partie de toi, un tas de gens sont comme cela, et parfois, ça crée un charme.
ps : beaucoup de fautes d'orthographe coco et tu répètes deux fois le même paragraphes au début, est-ce normal?
N'empêche, le message est passé et moi je te dis une seule chose. Fonce devant, tête bessée, car les regrets sont 1000 fois pire que la timidité. Ouvre grand ton coeur...la vie réserve de belles surprises parfois!
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par kitty le 12/01/2006 18:00:27
est ce que tu es sur aue tu aimes cette fille? car tu dis que tu es très timide, est ce que tu lui a déjà parlé en face? car on ne peut pas aimer une personne que sur son phisique! peut etre que tu te l'idéalise?
enfin en tout cas si tu la connais bien et que tes sentiments sont vraiment sincères, va lui dire franchement ce que tu ressens même si c'ets dur!
bonne chance
Re: le coup de foudre existe vraiment ? Posté par nino10ma le 12/01/2006 22:16:59
La timidité n'est ni une maladie ni un trait de caractère, mais un trouble bénin que beaucoup apprennent à surmonter avec l’expérience de vie. La timidité ne constitue pas un véritable handicap pour la plupart des gens.
Il y a des situations particulièrement intimidantes. Passer un examen, prendre la parole en public ou engager la conversation avec des inconnus n'est pas chose facile, surtout la première fois. Généralement, avec le temps et l'expérience, la confiance en soi augmente et la gêne disparaît. Car s'exposer, oser affronter le regard des autres, cela s'apprend.
Certains s'initient tout naturellement aux interactions sociales. Les timides réussissent en général à mener une vie en apparence satisfaisante et souvent organisée de manière à éviter les situations embarrassantes. L’évitement leur permet de camoufler, derrière une froideur ou un désintérêt apparent, une hypersensibilité au jugement d’autrui.
C’est lorsque l’intensité de la réaction émotive interfère significativement avec le fonctionnement de la vie sociale de l'individu que l’on parlera de phobie sociale et qu’il faudra penser à un traitement psychologique.
réference:www.psychologue.levillage.org
Lorsqu'elle est occasionnelle et limitée, la timidité n'empêche pas de vivre heureux. C'est le cas d'une personne qui se trouve à l'aise avec sa famille, ses amis, un entourage professionnel familier, et se plaît dans ce cadre rassurant. Même si elle éprouve des craintes face aux inconnus, elle s'arrange, dans la mesure du possible, pour ne pas y être confrontée. Plus difficile à gérer est la timidité chronique et généralisée. Celle-là témoigne d'un malaise intérieur et de difficultés relationnelles qui entravent douloureusement tout épanouissement personnel.
Peu causant, Claude ne dérange personne. Conciliant, il se plie aux désirs de ses proches, dans le privé comme au travail, car il n'a qu'une obsession: être aimé. Mais en se réfugiant dans la passivité par peur de déplaire ou de ne pas se montrer à la hauteur, il se condamne presque à coup sûr à l'isolement.
Claude s'étonne: pourquoi les autres le rejettent-ils alors qu'il est prêt à toutes les concessions, qu'il préfère le silence au conflit, qu'il cherche constamment à faire plaisir? Tous ses sacrifices seraient-ils inutiles? Qu'y a-t-il de mal à être gentil? Comment expliquer que certains de ses collègues brusques et insensibles ont plus de succès que lui avec les femmes?
Incapable de nouer d'authentiques amitiés, fréquemment déçu en amour, Claude en vient à se replier sur lui-même et à fuir les contacts. Il se sent incompris et victime d'un destin injuste.
Claude craint les autres dont il souhaite tant être reconnu. Et plus les autres sont nombreux, plus il se sent menacé. Le pire, pour lui, ce sont les soirées en société.
Malgré ses efforts et la lecture de quelques livres sur le sujet, Claude se demande sans cesse si ce qu’il fait est bien, quelle impression les autres ont de lui, s’il auraît dû faire les choses différemment, comment les gens vont réagir à ses faits et gestes.
Il a toujours l’impression d’être jugé, d’être sur la sellette. Un regard, un sourire, un silence, et il se retrouve déstabilisé. À chaque fois, il a l’impression de passer un examen, d’être coupable de quelque chose.
Christophe André et Patrick Légeron, psychiatres à l'Hôpital Sainte-Anne à Paris analysent dans leur livre La Peur des Autres (Editions Odile Jacob, 1998) le trac, la timidité et d'autres formes d'anxiété sociale, dont ils décrivent les manifestations psychologiques les plus fréquentes:
Appréhension à se retrouver en point de mire de la part d'autrui; se sentir observé, se croire évalué, penser que cette évaluation est négative.
Perception excessive de sa vulnérabilité: se sentir fragile, transparent aux yeux d'autrui, peu apte à se protéger, à se défendre, maladroit pour se contrôler et contrôler la situation, peu performant.
Autodévalorisation importante de ses propres comportements sociaux, même adaptés.
Surévaluation des exigences existant dans une situation ou une relation donnée.
Sentiment d'une agressivité latente ou potentielle de la part d'autrui: les autres sont plus puissants, plus compétents, et peuvent agresser en paroles ou en actes.
Hypervigilance portée à ses propres manifestations d'anxiété.
La timidité, selon ces auteurs, est un type particulier d'anxiété sociale non pathologique, "exprimant une manière d'être durable et habituelle, marquée par une tendance prononcée à se tenir en retrait et à éviter de prendre l'initiative dans tout type de situation sociale, une gaucherie lors des interactions sociales, malgré un désir relatif de se confronter à certains échanges." La timidité n'exclut pas des capacités d'adaptation, comme en témoignent de nombreuses personnalités du spectacle ou des médias qui racontent comment ils ont surmonté leur timidité en choisissant une profession les poussant à affronter ce qui les angoissait.
Les personnes timides prennent moins souvent la parole que les autres, sourient moins, regardent moins dans les yeux, mettent plus longtemps à répondre ou à relancer la conversation; les temps de silence sont plus fréquents dans leurs discours. Leur registre de mimiques et d'expressions est moins riche.
Les thérapies cognitivo-comportementales proposent des techniques qui permettent d'affronter progressivement les situations redoutées tout en travaillant sur les pensées négatives qui sont à l'origine de la timidité. Nous verrons quelques unes de ces techniques plus loin dans ce texte.
La vie sentimentale, sociale et professionnelle des timides est marquée par les occasions perdues et aboutit souvent à la solitude.
Si nous nous imposons certains actes par peur du jugement d'autrui, et surtout par la peur de ne pas être toujours "aimables", nous empruntons des rôles successifs qui nous font perdre de vue qui nous sommes. (Catherine Bensaï, 1992). Ces rôles nous rendent étrangers à nous-mêmes. Ils nous coupent de l'essentiel de ce que nous vivons. Il ne reste que le vide et la crainte d'être démasqué. A force de ne rien laisser passer de leurs émotions, de leurs idées personnelles, comment les timides pourraient-ils découvrir ce qu'ils tiennent si fortement caché? Pensant que "de toutes les façons les autres n'ont pas de temps à perdre à écouter leurs histoires", il leur semble plus naturel de faire partie de ceux qui écoutent que de ceux qu'on écoute.
Personne ne peut se sentir bien s'il est confronté à un sentiment d'inexistence; il n'y trouve que solitude et un profond désarroi. Dans cette méconnaissance de lui-même, dans cette non-réalisation, il est plus que jamais la proie du désir d'autrui: il n'existe plus que dans le regard des autres, seuls capables alors de lui donner vie. Il serait préférable que nous laissions s'exprimer davantage nos sentiments et nos pensées, parce qu'en les disant nous pouvons mieux les connaître, et qu'ainsi nous donnons la chance aux autres de nous reconnaître pour ce que nous sommes.
Parler, c'est prendre un risque. Risque d'être désapprouvé, d'entrer en conflit, de montrer ses faiblesses. Pire, d'être blessé. Mais parler, c'est aussi et surtout une chance: de dialoguer, d'approfondir la relation avec l'autre, de se montrer tel qu'on est... et même d'être apprécié!
LA COMMUNICATION AFFIRMATIVE:
Communiquer d'une façon non affirmative, c'est ne pas reconnaître ses propres droits, ne pas exprimer d'une façon claire et honnête ses sentiments, ses pensées ou ses façons de voir. Par conséquent, c'est permettre aux autres de ne pas me respecter. C'est donc montrer un manque de respect de soi et parfois aussi, un manque de respect de l'autre, en ne reconnaissant pas qu'il peut accepter des opinions contraires aux siennes, qu'il peut prendre ses responsabilités et s'occuper lui-même de ses propres problèmes. Le but du comportement non affirmatif est d'apaiser l'autre et d'éviter les conflits à tout prix.
Le message que l'on communique quand on est non affirmatif, c'est le suivant: "Je ne suis pas important; tu peux profiter de moi. Ne t'occupes pas de mes sentiments, seulement les tiens sont importants. Mes pensées ne sont pas importantes. Cela ne vaut pas la peine que tu t'occupes de moi. Je ne suis rien; tu m'es supérieur."
Communiquer de façon affirmative consiste à défendre ses droits personnels tout en respectant les droits de l'autre. C'est exprimer ses pensées, ses sentiments et ses façons de voir d'une façon honnête et appropriée en voulant connaître les sentiments, les pensées et les façons de voir de l'autre.
S'affirmer implique donc deux (2) types de respect:
- le respect pour soi-même en exprimant ses besoins et en voulant défendre ses droits
- le respect pour l'autre en respectant les besoins et les droits de l'autre.
Le message de base qui indique le respect de soi, c'est le suivant: "Voici ce que je pense. Voici ce que je ressens. Voici comment je vois la situation." Le message de base qui indique le respect de l 'autre, c'est le suivant: "Je suis prêt à écouter et à essayer de comprendre ce que tu penses, ce que tu ressens et comment tu vois la situation."
Une des raisons majeures pour apprendre à communiquer et à se comporter de façon affirmative, c'est que cela accroît le respect de soi-même. Le concept de soi s'améliore en effet chez des gens qui participent à un groupe d'affirmation de soi.
Les gens qui apprennent à s'affirmer ont davantage confiance en eux et ont moins besoin d'être approuvé par les autres. Parfois, on a peur de s'affirmer parce qu'on a peur de perdre l'approbation des autres. C'est comme si l'on disait: "Je ne peux pas vivre sans l'approbation des autres". Ce que l'on oublie, c'est qu'en ne s'affirmant pas, on ne peut, de toute façon, se garantir l'approbation des autres. Les gens peuvent avoir pitié de quelqu'un qui ne s'affirme pas, mais pas nécessairement l'approuver.
De plus, cette pitié peut facilement se transformer en irritation et en rejet. Apprendre à communiquer de façon affirmative peut accroître la confiance en soi, ce qui nous rend moins insécure, moins vulnérable.
Les individus qui ont de la difficulté à s'exprimer dans plusieurs situations et avec plusieurs personnes disent qu'ils ont un sentiment de faible estime de soi, de dépression, de grande anxiété dans leurs relations avec les autres. Elles se sentent non appréciées, utilisées par les autres, exploitées. Elles ont des manifestations somatiques, tels que maux de tête, douleurs à l'estomac, etc... .
COMMENCER ET MAINTENIR UNE CONVERSATION
La plupart du temps, ce qui vous empêche de commencer une conversation avec quelqu'un, c'est 1) l'anxiété., 2) ne pas être certain si l'autre veut parler avec vous ou 3) ne pas savoir comment commencer.
En ce qui concerne l'anxiété, disons qu'il vous faut changer l'anxiété paralysante en une anxiété stimulante, apprendre à avoir des pensées constructives et des comportements plus efficaces et cesser d'éviter des situations à cause de votre anxiété.
Le deuxième point concerne le fait que vous pouvez vous empêcher de commencer une conversation parce que vous vous demandez si l'autre veut vraiment parler avec vous. Pour résoudre ce problème, il vous faut devenir un bon observateur des caractéristiques verbales et non verbales de l'autre, indices qu'il veut ou non engager une conversation. Quels sont ces indices?
En général, une personne qui ne veut pas parler va sourire très peu, avoir un regard plutôt hostile ou ne pas vous regarder, être tendue, nerveuse, avoir une voix dure, répondre très brièvement et "sèchement" à vos questions et ne pas poser elle-même de questions.
Par contre, une personne qui a le goût de parler avec vous va sourire, avoir un regard, une voix et des gestes chaleureux, accueillants, répondre à vos questions en donnant de l'information sur elle-même et poser elle aussi des questions.
À partir de ces signaux (et peut-être de d'autres que nous vous encourageons à découvrir), vous pouvez savoir si une personne est prête à parler avec vous et décider si oui ou non vous allez commencer ou continuer une conversation avec cette personne.
Le troisième point qui pourrait vous empêcher de commencer une conversation, c'est de ne pas savoir comment commencer.
Vous pensez peut-être que, pour ne pas avoir l'air stupide, il faut commencer une conversation en disant quelque chose de très profond ou de très drôle ou de très intéressant. Au contraire, nous croyons que les premières phrases que vous dites ont assez peu d'importance. L'important, c'est de montrer à l'autre que vous êtes intéressé à parler avec lui (ou elle) et à le (la) connaître davantage. Alors, ne craignez pas d'employer des clichés du genre: "Il fait beau aujourd'hui" ou "Avez-vous déjà vu autant de neige?".
Servez-vous de la situation qui est commune aux deux: "Il y a vraiment beaucoup de monde à ce spectacle" ou "J'aime bien ce magasin, mais il n'y a pas beaucoup de vendeurs pour nous aider" ou "Puis-je vous aider à porter vos paquets?".
De plus, tentez d'utiliser l'information que vous possédez sur l'autre personne, ce que vous voyez de lui (ou d'elle). Par exemple, vous êtes devant une personne qui tient dans ses mains un livre sur la musique; alors vous pouvez lui dire: "Je remarque que ,vos avez un livre sur la musique. C'est un sujet qui vous intéresse?". Ensuite, quant "la glace est cassée" et que vous avez observé que l'autre est d'accord pour parler avec vous, vous pouvez graduellement devenir plus personnel.
Les principaux comportements verbaux qui nous permettent d'entrer en contact avec quelqu'un et de maintenir la conversation sont les suivants:
1. Poser des questions ouvertes.
2. Écouter l'autre d'une façon active.
3. Donner de l'information sur soi.
4. Utiliser l'information que l'autre nous donne sur lui-même.
Poser des questions ouvertes.
Les questions ouvertes sont des questions qui amènent des réponses autres que "oui" ou "non". Ce sont des questions qui commencent par "pourquoi", "qu'est-ce que" ou "qu'est-ce qui", "comment", etc.... Par exemple, si vous demandez à quelqu'un "Qu'est-ce que tu as fait aujourd'hui?", la réponse sera sans doute plus longue si vous lui demandez "As-tu travaillé aujourd'hui?". Un autre exemple d'une question ouverte:
"Qu'est-ce que tu trouves le plus intéressant dans tes études?" ou encore "Comment en es-tu arrivé à t'intéresser à ce domaine d'études?" au lieu de "Trouves-tu tes études intéressantes?". Un autre exemple: "Où es-tu allé pendant tes vacances?" au lieu de "As-tu passé de belles vacances?".
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par tres le 14/01/2006 08:08:42
Bon déja, pour ceux qui te disent qu'ils s'en foute, et bas tu les oubli eux, OK.
Aprés la timidité, c'est la gualère, car moi même je le suis mais beaucoup, beaucoup, et d'ailleurs a cause de sa, je ne peut pas savoir si un mec éprouve des sentiments pour moi malgrès qu'il me le fait voir mais est ce vrai ce qu'il me fais voir (oui je suis BI, j'espère que sa te derange pas) Et du moins pour la timidité il faut la vaincre, moi j'ai déjà eu trop du mal à lui dire que je l'aime, mais j'y suis arriver et maintenat je suis content de l'avoir dit. Alors fait ce qu'il y a de mieux, si sa fait 4 ans que tu attend, il faut que t'éssaie, aide toi de ce que tu à pu voir dans les films, comme sa sa parait bidon et bas non sa peut aider ... Donc je te souhaite bon courage et pour le psy c'est pas la penne, sa te servirai pas à grand chose c'est que entre toi et toi d'abord car tu doit régler le problème de la timidité et ensuite entre elle et toi !!! Je te souhaite d'y arriver moi sa fait 6 ans que je l'aime le mec et c'est que maintenant que je lui est dit comme quoi que l'amour à fort besoin de la patience, mais dans ton cas tu as assez attendu, vazi essaie surmonte ta peur, et fonce !!! Sinon tu prépare ta chambre avec plein de bougie partout pour détendre l'atmosphère et tu l'invite et vous vous assayez et vous en discuter et tu lui demande, c'est sur c'est plus facile à dire qu'à faire mais bon qui ne tente rien n'a rien !!! Bon courage pour tout et surtout n'oublie pas que la patience est toujours le meilleur allié de l'amour mais dans ton cas ta assez attendue !!!
Bye et encore bon courage et surtout tu me dit quoi si tu y est arriver sa me ferai plaizir de savoir si cela te dérange pas !!!
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par supertop le 18/01/2006 12:03:49
slt toi ce ke j px te dire cé ke tu dois surmonter ta timidité si nn tu risk de perdre ta chance avek 7 fille ne baiss pa les bras en disant ke t'es timide nn et nn c juste ds ton imagination si tu aimes 7 filles depui 4 ans c tro tu doi devoiler tes sentiments pr elle et si elle aussi ça fait 4ans elle n'a pa 1 autre cop pt etre ke tu lui plai alor fai le 1 pas tu n'en perdera ri1 et tu t'en fou de 7 timidité parle là com t'as di ta soeur et tu verras tu doi pa cacher ton amour vers elle c si dificille alor fonce et ne t'arrete pa kafin d'avoir dit je t'aime" a 7 fille
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par troy le 21/01/2006 13:30:54
salut ecoute il fau kon s en fiche de la timidité la timidité c juste un reve kon peu pa le battre mais peu a peu .....si tu l aime vas y di lui ke tu l aime ne baiss pa la tete...et ne reste pa lé m1 croizé...alor ca c mon po1 de vu???? SI L AMOUR Né PAS LE PLAISIR ,LE PLAISIR Né PAS L AMOURC CA CE KE JE C ET LES GENS SAVENT
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par butforher2000 le 26/01/2006 23:22:44
Ce n'est pas une maladie pour toi mais de la peur et parfois tu es comblé de honte...
Essaies de t'approcher d'elle et tu lui diras tout ce que tu ressens à coeur ouvert et tu verras!!!
Haaa!!! sois un peu courageux toi!!! et montre lui que tu es vraiment un homme sinon tu finirais par la perdre surtout quand elle seras vite séduite par un autre mec compétent...
Alors la balle est dans ton camp...!!! vite essaies.
Mais je te dirai que le coup de foudre n'a jamais existé pour moi et c'est le fait de ne pas savoir aimer qui nous conduire à dire que c'est un coup de foudre...
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par peacemaker le 01/02/2006 18:20:58
bon je vais te rassuré tu n'es pas seul dans cette situation le fais est que j'ai 2 potes (des jumos) mais il était meme pas timide coincé lol
bref pendant un ans complet on a trainé ensemble je les ai décoincé enfin si je peut dire sa je leur est fais approché des filles comme il en avait jamais cotoyer
bref tout sa pour dire que en faite tu devrais faire comme elle aller voir des filles non pas pour la rendre jalouse mais pour aprés etre plu a l'aise avec elle pour lui dire tes sentiments
enfin voila sur ce bonne chance
a+
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par nannny95 le 11/02/2006 15:05:00
en toute sincerite la timidité c beau tu sais mais parfois il faut prendre son courage a deux mains si tu veux obtenir ce que tu veux.courage tu finira par vaincre ta timidité!bonne chance a toi
Re: Le coup de foudre existe vraiment ? Posté par webcléo le 19/02/2006 18:06:09
slt ! c t pr te dire ke je sui ds la mm situat° !!! Je crak pr un gar ki crak pr moi !! mé je sui tro timi2 pr alé lui parlé é 2 tte facon , j'estime ke c o ga de faire le 1er pa !!! mé ca c un avi perso !! finalemt, d copine a moi st alé lui parlé é il a di kil ne ma v jamé vu etc... bref il c foutu de ma g... ! mé bon petetre a t il fait ca par timidi t ?? il é vré kil é dificil de la v1cre cet timidi t ! je pense ke tu devré e c yé de la voir en dehors, de lui parlé ken el é tte seule... ca peu ai d !
Alé bonne chance et bon courage