Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 13/09/2007 00:10:01
Lors de ma première session du programme de Sciences humaines - profil individu, en hiver dernier, j'ai suivi pour la 3e fois le cours Philosophie et rationalité, que j'avais déjà échoué deux fois.
J'appréhendais donc fortement ce cours, et encore plus l'examen final, qui consistait en une dissertation répondant à une question philosophique, et qui devait faire un minimum de 700 mots !
Heureusement, je suis tombée sur une excellente prof ! Elle s'exprimait avec des mots simples, et j'ai rapidement fait un parallèle entre le cours de philo et le cours de français.
Grâce à cela, je me suis mise à enfin comprendre ce cours. Mais même si je comprenais, je ne pouvais m'empêcher d'appréhender l'examen final.
La semaine précédant le dit examen, je capotais. Je n'avais absolument aucune idée de ce que j'allais écrire, ni comment j'allais l'écrire. Comme on avait droit à une feuille de notes, j'ai écrit tout ce que je pouvais dessus en me disant que je "pigerais dedans" lors de l'examen.
Je ne savais pas du tout quoi écrire, jusqu'à ce que les feuilles brouillon soient déposées sur mon bureau. D'un coup, tout a débloqué. Je me suis mise à écrire, puis écrire et encore écrire. Les mots jaillissaient, tellement que pour le dernier paragraphe de développement et le paragraphe de conclusion, j'ai directement rédigé au propre !
Au total, j'ai écrit 1551 mots !!! Et ma note ? 26,6/30 !!! : D
Le sujet était "L'amour rend-il heureux ? ", et ma réponse était "oui".
Et hier, j'ai pu avoir ma copie d'examen, afin de la faire lire à mon chum, qui m'a fortement inspirée pour cet examen. Et pour vous, je publie le texte intégral ici.
Juste avant
Juste avant de copier ici ma rédaction, je voudrais vous parler d'un livre. Un livre que j'ai acheté car c'était une lecture obligatoire pour le cours, il y avait un travail à faire dessus.
Et maintenant, je lis et je relis ce livre, qui est vraiment intéressant et dont je me suis aussi inspirée dans mon examen, étant donné qu'on devait faire référence à des philosophes.
Il s'agit du livre "Le bonheur, désespérément" d'André Comte-Sponville. À lire absolument !
Titre
Le titre de ma rédaction était : L'amour, bonheur ou piège ?
Introduction
Depuis la nuit des temps, l'Homme a toujours eu des désirs et des besoins. L'un d'eux, c'est d'être heureux. Mais il reste à savoir s'il peut parvenir au bonheur avec l'amour... Autrement dit, l'amour rend-il heureux ? Dans le texte qui suit, je tâcherai de répondre à cette question. Je donnerai d'abord ma définition des concepts qui seront abordés, soit l'amour et le bonheur. Ensuite, je présenterai ma thèse qui sera étayée par une forte argumentation. De plus, je présenterai une objection possible et je terminerai en y répondant tout en soutenant ma propre thèse.
Premier paragraphe de développement
Dans ce paragraphe, on devait donner notre définition des concepts qui allaient être abordés dans notre rédaction. Dans mon cas, c'était l'amour et le bonheur.
Avant de poursuivre, il convient d'abord de définir ce que j'entends par "amour" et par "bonheur". Ma définition de l'amour est la suivante : "Une émotion incontrôlable ressentie envers une autre personne et qui nous fait désirer sa présence. Source de chagrin si cette émotion n'est pas également ressentie par la personne aimée. L'amour, c'est aussi la recherche de notre complément ("moitié", de la personne avec qui on se sentira bien. ". Pour ce qui est du bonheur, dire que c'est quand on est bien serait une définition assez circulaire. Je dirais qu'il s'agit plutôt de la pleine satisfaction face aux désirs comblés, ce qui se rapproche assez d'une idée que j'ai découverte par la suite, exprimée par Platon, Épicure et Kant : "Être heureux, c'est avoir ce qu'on désire. ".
2e paragraphe de développement
Dans ce paragraphe, on devait présenter notre thèse (oui ou non) avec notre argumentation.
Ma thèse est la suivante : oui, l'amour rend heureux, car le bonheur est la suite logique de celui-ci. Frédéric Beigbeder a dit un jour : "L'amour est une catastrophe magnifique : savoir que l'on fonce dans un mur, et accélérer quand même. ". La question qu'il convient alors de se poser est : pourquoi accélérons-nous ? Parce que nous ne connaissons pas l'avenir, que ce "mur" n'est peut-être pas quelque chose de négatif, ou que peut-être on réussira à l'éviter pour aller au-delà, et que nous prenons ce risque pour une seule raison : nous espérons être heureux, un besoin naturel et nécessaire selon Épicure. Je disais tout à l'heure que le bonheur est la satisfaction complète de nos désirs, mais c'est aussi passer du désir face à ce qui nous manque au désir de ce que nous avons. On ne peut être heureux que lorsqu'il ne nous manque rien, que nous avons ce qu'on a toujours attendu. André Comte-Sponville résume très bien cela en parlant du "gai désespoir de celui qui n'a plus rien à espérer parce qu'il a tout, parce que le présent lui suffit ou le comble. ". Je souhaite cependant émettre une petite réserve face à cette citation. Quand on dit "le présent lui suffit", c'est un peu comme dire qu'on "s'en contente". Et ça, selon moi, ce n'est pas le vrai bonheur. Hormis cette réserve, la citation est parfaite. Certains penseurs, comme Schopenhauer, arguent que quand on a enfin ce que l'on voulait, on éprouve alors une lassitude face à ce désir comblé. Je ne suis pas du tout d'accord, car cette théorie affirme en quelque sorte que le bonheur n'existerait pas, qu'il ne serait qu'une utopie. À titre d'exemple, supposons que vous avez toujours eu un idéal pour ce qui est de l'amour et qu'après l'avoir longtemps cherché, vous le trouvez. Loin de vous en lasser, vous voudrez plutôt le garder le plus longtemps possible, car vous désirerez ce que vous avez, vous en serez satisfait. Ce qui revient à ce que monsieur Comte-Sponville disait, car vous n'attendrez rien d'autre que ce que vous avez déjà. Vous vivrez donc le bonheur.
3e paragraphe de développement
Dans ce paragraphe, il fallait prévoir une objection, soit ce que ceux qui auraient répondu "non" à la question "L'amour rend-il heureux ? " auraient pu dire ainsi que leur argumentation.
Bien entendu, cette thèse ne fait pas l'unanimité car si c'était le cas, il serait alors inutile de discourir ainsi sur le sujet. Certains pourraient affirmer que l'amour ne rend pas heureux, et même qu'il rend malheureux. Ces personnes pourraient dire que ce sentiment provient d'un manque, change (quand on le trouve) en un sentiment de peur, car on ne veut pas perdre l'amour de l'autre, et cause une immense douleur quand il vient à s'éteindre chez la personne qu'on aime. Elles pourraient ajouter que l'amour fait vivre un doute continuel car on ne peut pas tout savoir de ce qui se passe du côté de l'autre, que ce soit au niveau de sa vie, de ce qu'il pense ou de ses sentiments. De plus, l'amour est souvent bafoué par des mensonges ou des déceptions. Deux philosophes importants pourraient être cités ici. D'abord Épicure, qui dit que "Le plaisir que nous avons en vue est caractérisé par l'absence de souffrances corporelles et de troubles de l'âme. " et "Car tous nos actes visent à écarter de nous la souffrance et la peur. ". On comprend, cachée dans ces deux citations, la thèse de ceux du camp opposé : le doute et le chagrin engendrés par l'amour font en sorte que l'on devrait carrément s'y refuser, mués par la peur de souffrir et d'être malheureux. Il y a également la crainte du rejet, de la perte de l'amour quand l'être cher nous quitte, traduite par une adaptation d'une citation d'Épictète : "Tu es fou de désirer que tes enfants, ta femme, tes amis vivent toujours ; car tu souhaites alors que des choses qui ne dépendent pas de toi en dépendant et que ce qui ne t'appartient pas t'appartienne. ", où il est question, avec l'adaptation, de l'amour qui ne peut pas rester pour la vie. En dernier lieu, certains pourraient aussi penser que l'amour est néfaste, car il pousse à faire des folies.
Dernier paragraphe de développement
Dans ce paragraphe, il fallait répondre à l'objection en la prenant en compte, pas juste faire "oui oui mais... ", et soit la réfuter ou lui concéder certaines choses, tout en soutenant notre propre thèse avec encore une fois une argumentation.
Je comprends les objections ci-haut mentionnées. Il est vrai que l'amour peut faire souffrir, il faut le concéder. Cependant, il est possible pour chacun de se jeter dans le bonheur de l'amour sans crainte. André Comte-Sponville a dit : "C'est qu'il y ait des couples heureux, parfois, c'est qu'il y ait un amour qui ne soit pas de manque mais de joie, pas de frustration mais de plaisir, pas d'ennui mais de douceur, pas d'illusion mais de confiance, de désir, de sensualité, de gratitude, d'humour, de bonheur... ". Qu'est-ce que cela veut dire ? Tout simplement qu'il existe un amour qui rend heureux. Encore faut-il savoir comment le trouver. Et avant cela, il faut d'abord savoir pourquoi l'amour nous a rendu malheureux. Je commence avec un exemple léger. L'amour pousse à faire des folies, d'accord. Mais chacun est libre de décider s'il s'agira de folies néfastes - auquel cas cet amour-même est néfaste et donc voué à l'échec - ou de bonnes folies, qui sont source de rire, de plaisir, et qui contribuent à solidifier cet amour, qui est alors une force en soi. Chacun est libre de décider de son sort. Pour trouver le bonheur, il faut obtenir la satisfaction de nos désirs initiaux et désirer ce qu'on a. Si on continue de vivre un manque, c'est que nous ne sommes pas avec la bonne personne. Si on persiste malgré tout, on souffrira tôt ou tard. Et ce ne sera donc pas l'amour qui nous aura rendu malheureux, mais nous-mêmes. Héraclite a trouvé la clé de la première porte vers le bonheur : "Je me suis cherché moi-même. ". Voilà la clé : il faut savoir ce que l'on cherche, bien se connaître et bien identifier ses désirs. Et il est indispensable qu'ils soient tous comblés. Il ne faut pas se laisser berner par une illusion de l'amour. Si on est avec une personne et que l'on doute toujours, ce n'est pas un "vrai" amour, et le bonheur devient forcément inaccessible. Épicure a dit un jour : "Fais attention aussi à ne pas blesser la raison, ton guide. ". Ce conseil est nécessaire en amour. Dans le livre d'André Comte-Sponville, on retrouve une citation de Mélanie Klein : "Lorsque le désespoir est à son comble, l'amour se fait jour. ". Et quand on trouve enfin cet amour-là, celui qui comble tous nos désirs, il est impensable qu'il puisse être source de douleur. Car chacun verra en l'autre sa "moitié", et trouverait que ce serait pure folie de songer à la troquer contre quelqu'un qui nous comblerait moins. Il n'y a donc plus lieu de s'inquiéter, il ne reste qu'à goûter ce bonheur, à y mordre à pleines dents, à suivre la doctrine épicurienne du "Carpe Diem".
Conclusion
Comme dans toute conclusion, il fallait rappeler le sujet et notre thèse, puis finir en ouvrant le débat sur une autre question.
En résumé, l'amour rend heureux dans la mesure où il s'agit d'un véritable amour, celui qui comble nos désirs. Tout autre amour est factice, une simple illusion, et mène invariablement à la souffrance. Cela dépend de nous et de nos choix. Comme Héraclite le dit si bien, "Un homme vaut à mes yeux dix-mille personnes, s'il est le meilleur. ". Oui, l'amour rend heureux, il apporte le bonheur. Mais peut-il y avoir d'autres façons d'atteindre le bonheur ?
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zion_thieum le 13/09/2007 11:14:48
Il y a différents points que je ne partage pas du tout avec toi. Cependant c'est un devoir de philo que tu nous présente là, et de ce point de vue j'avoue que tu as fait un excellent excercice de style. Tu as comblé toutes les conditions requises, tu as donné ton avis, et celui que tu supposes être l'avis inverse, tout cela mêlé à des citations pertinentes. Donc bravo, tu mérites tout à fait ta note.
Maintenant, et je ne crois pas que tu sois venue ici pour cela, si nous devions en discuter je ne dirais pas vraiment les mêmes choses.
Quoi qu'il en soit, bonne continuation
Re: Mon examen final de philosophie Posté par combatpourmonideal le 13/09/2007 23:51:48
Je ne comprends pas comment un article aussi creux, vide et rempli de lieux communs peut susciter l'admiration de qui que ce soit, et pourtant je ne suis pas de nature intolérante ou quoi que ce soit. Je constate avec une certaine surprise que beaucoup de personnes ici, qui se prétendent détachées de france-jeunes et de ses habitudes un peu niaises, ne valent en fait pas mieux que ce qu'elles critiquent...et quand cela concerne des articles d'une qualité aussi médiocre, c'est encore plus dommage.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 15/09/2007 14:34:07
@ zion, zeromantic et ocean'hearth : sur quels points vous n'êtes pas d'accord?
@ tchit et banzaii : merci ouis je sais que la phrase cromagnon c'était pas fameux mais fallait bien commencer quelque part lol.
@ harrystéphane et combatpourmonideal : je vous signale qu'à cet examen final j'ai eu 26.6/30... alors j'pense que j'vais plus me fier à l'appréciation d'une prof de philosophie qu'à la vôtre, si ça vous gêne pas trop!
Re: Mon examen final de philosophie Posté par [simon] le 15/09/2007 17:38:14
angie, je te trouve un peu fermée d'esprit sur ton dernier message. Tu refuse la critique, sous le prétexte qu'un prof a dit que si si, c'est bien. L'article en lui même est sûrement bon d'un point de vue __scolaire__. Le prof n'a pas noté tes arguments ou ta thèse en elle même, le prof a noté ta capacité à suivre des consignes strictes, et l'orthographe, point. Après, je ne suis pas du tout d'accord avec ta thèse, mais là, c'est une façon de concevoir la vie et tout ça. On ne peut rien y changer, l'article n'est pas en cause.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 15/09/2007 19:05:58
@ simon :
"Le prof n'a pas noté tes arguments ou ta thèse en elle même, le prof a noté ta capacité à suivre des consignes strictes, et l'orthographe, point."
C'est bien là que tu te trompes! Voici la grille de correction de la prof :
Titre : 0,4/0,5
Définition réelle des concepts : 2,7/4
Thèse et arguments : 3/3
Références à un philosophe, un personnage ou une école philosophique : 5/6
Antithèse (objection) et argument : 3/3
Synthèse (répondre à l'objection sous forme de concession ou de réfutation) et arguments : 3,6/4
Et toutes ces notes étaient dans la section "contenu", bien séparée de la section "structure du texte" qui comporte la structure, le respect des consignes et l'orthographe.
Alors la prof a bel et bien évalué le contenu de mon texte, et m'a mis une bonne note. si toi tu n'es pas d'accord avec ma thèse c'est toi que ça concerne, mais y'a une différence entre ne pas être d'accord avec un texte, et caler ce texte!
Re: mon examen final de philosophie Posté par tchit le 15/09/2007 22:01:12
Ah ouais c'est comme ca qu'on note au Quebec ?? arf pas dur de se taper des bonnes notes alors, suffit de se faire une grille et verifier qu'on a bien suivi la recette...
Sinon j'ai relu ta disserte et j'ai envie de te reprocher d'avoir manqué d'une certaine objectivité, y compris dans ton antithese, trop occupée que tu étais à defendre ton idée du bonheur dans l'amour. Je pense que tu aurais du parler du fait que l'amour est souvent inconciliable avec la raison (et la tu cites tous les rationnalistes de l'antiquité à Kant etc.) et que donc la deraison amène souvent un bonheur ephemere (probleme de la passion) et éloigne l'esprit de la vérité (se leurrer, est-ce être heureux ?). Apres tu peux rebondir sur : mais peut-on etre heureux sans passion ?
Ton argumentation part trop dans un sens : il faut savoir bien vivre l'amour.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zion_thieum le 15/09/2007 23:54:05
angie22...si tu savais le nombre de personnes qui, ne voyant plus la chance dans laquelle ils baignent, la foutent en l'air, sans même nécessairement s'en rendre compte, et même parfois en s'en rendant compte.
Personnellement j'ai mis énormément de temps à arriver à entrentenir mon propre bonheur, déjà car je n'estimais pas le mériter, et ensuite car je n'avais jamais appris à le cultiver.
Je dis tant mieux si tu penses ce que tu penses, tant mieux qu'il te semble presque étrange que les gens détruisent leur propre joie de vivre en passant leur temps à ressasser le négatif. Enfin peut-être qu'au Québec c'est différent, en tout cas en France, le pays des râleurs (je ne dis pas ça seulement dans un sens négatif), c'est monnaie courante.
Pardonne moi de ne pas relire ton devoir et de me contenter de répondre en fonction de ce dont je me souviens, mais je rentre à peine du boulot, et je suis franchement fatigué.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 16/09/2007 16:15:52
@ zion :
je comprend parfaitement ce que tu veux dire. j'étais moi-même comme ça avant, à bousiller mon bonheur et à ressasser le passé. j'ai été fiancé une fois, et j'ai été infidèle. naturellement, notre relation a été "scrappée" et par la suite je revoyais toujours mes échecs. et c'est justement à cause de ça que j'ai pu écrire ce texte, car j'ai bien réfléchi à tout ça et aujourd'hui j'ai le bonheur auquel j'ai touours aspiré. c'est un dur travail d'introspection, durant lequel je me suis vue de façon très négative avant de penser à pourquoi je l'avais trompé au lieu de discuter de nos problèmes et tout. et j'ai tiré les conclusions qui s'imposaient alors.
bon repos!
@ harrystephane : bah pense ce que tu veux. t'as droit de pas aimer, mais tant qu'à laisser ce genre de commentaire tout aussi merdique que l'opinion que tu as de mon texte, au moins fais donc un commentaire constructif, ou laisse faire et vas lire autre chose.
@ tchit : c pas juste une recette à suivre! si tu mets des arguments, mais que ces arguments n'ont pas rapport, tu auras un beau zéro. faut pas juste suivre la recette, comme tu dis, faut aussi que ce que tu dises soit pertinenent dans le contexte!
aussi pour ton histoire de la raison, j'en ai parlé. pas directement, mais on le voit en lisant entre les lignes. quand je dis de ne pas blesser la raison, son guide, ça veut dire qu'on a tendance à s'emporter et à avoir des oeillères, ne plus voir la vraie vérité mais bien ce qu'on veut voir. c'est dire qu'on connaît les défauts de l'autre alors qu'en fait on pense que ces défauts vont disparaitre parce que c'est ce qu'on veut croire, car on ne veut pas faire face à l'échec.
oui, je manquais un peu d'objectivité dans ma thèse. sauf que c'était justement ça le but! montrer l'idée qu'on se fait de l'amour, et soutenir sa thèse. si j'avais dit "ah oui, l'amour rend heureux mais y'a aussi que..." j'aurais eu une double thèse, et en fait deux thèses opposées dans le même texte! en fait, toi tu sembles soutenir la thèse opposée, c'est bien pour ça que tu n'arrives pas à être d'accord avec mon texte...
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 17/09/2007 15:08:06
Je comprends ce que tu dis mais je trouve ça complètement pourri. J'ai pas envie de perdre du temps à argumenter sur un texte aussi nul. Ton texte est nul.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par clementdusud le 18/09/2007 11:53:55
je vais deborde un peu je vais vous dire ce que j'en pense de l'amour....
J'ai eu beaucoup de copines, j'ai souvent cru etre amoureux, depuis peu je me dit qu'il n'en etait rien et quand on n'est pas sur d'aimer c'est qu'on n'aime pas... Je pense aussi que l'amour c'est un bien etre avec une personne, puis un jour vous rencontrez une personne avec qui vous etes encore mieux que se que vous avez connus c'est le veritable amour, vous etes pret a surmonter tous les obstacle, pour cela faut il encore que c'ette personne vous aime comme vous l'aimer, comme c'est rarement le cas, je pense que l'amour aporte du bonheur un temps puis beaucoup de malheur... Le bonheur ne viens pas de l'amour, on peut etre heureux et celibataire le bonheur n'est pas d'avoir ce qu'on desire sinon quel interet a desirer quelque chose, le bonheur pour moi c'est simplement savoir profiter de chaque moments, c'est trouver un gout aux choses qui n'en on pas, c'est simplement vivre au present...
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 18/09/2007 13:10:49
angie22 qui a dit que dans l'ensemble je n'etais pas d'accord avec ta conception du bonheur amoureux ?
Et puis c'est quoi cette connerie de concept de "double these"? Quel mal y a-t-il a opposer 2 theses dans une argumentation ? N'as tu pas compris que sans une opposition honnete et aussi OBJECTIVE que possible, toute argumentation est impossible ? Si tu ne tiens pas compte de tous les arguments de la partie adverse, comment peux-tu y repondre ? Ton but n'est pas de seulement contenter ceux qui pensent comme toi, mais aussi de convaincre et demonter ceux qui pensent le contraire.
D'ailleurs, a la place de cette dualité de reponse oui/non a la question, je pense que le but de celle-ci est de soulever des interrogations et des doutes. Donc pas de repondre "oui l'amour rend heureux et je vais expliquer pourquoi".
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 18/09/2007 14:34:09
@ tchit :
"Donc pas de repondre "oui l'amour rend heureux et je vais expliquer pourquoi"."
eh bien oui, c'était ça qu'il fallait faire. dire oui ou non, et pourquoi. c'est ça un texte argumentatif. et ne me dis pas le contraire, je suis la plus forte de ma classe en francais et ce, depuis le primaire et je suis aujourd'hui au cégep!
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zion_thieum le 18/09/2007 20:37:06
clementdusud...J'ai toujours ressentis exactement la même chose que toi, mis à part que je n'ai jamais remis en doute le fait que j'aimais, peut-etre pas exactement comme il fallait, mais je les ai toutes aimé.
A chaque relation amoureuse terminée je me disais que l'amour ne vallait finalement pas la peine, qu'il apporte trop de malheur, que ce soit à moi, ou à ma nouvelle "ex", et j'en venais à penser qu'il était sûrement préférable de rester célibataire, que le bonheur était de profiter de l'instant présent et rien d'autre.
Mais le jeu de la séduction, de la découverte d'une nouvelle personne, d'un nouveau corps, d'un nouvel esprit, était si bon et si fort, que je me laissais reprendre et revivais une nouvelle relation, qui invariablement finissais par me lasser, je voyais donc les mauvais côtés de ma "chérie" prendre de l'ampleur, et cela jusqu'à ce qu'encore ça "casse" définitivement.
Mais je ne suis pas célibataire actuellement. Non pas parce que je suis retombé dans le panneau, mais parce que l'amour m'est tombé dessus. Je n'aurais jamais pensé être avec la personne avec qui je suis aujourd'hui, autrement dit il n'y a pas eu de jeu de séduction, simplement un lien s'est créé, un lien pur vu qu'il n'y avait pas de désir à combler.
Cette personne est de 7 ans ma cadette, et vie dans un autre pays...
Comment croire qu'un jour nous pourrions former un couple ?!?
De toute façon je m'en foutais, j'avais autre chose à penser...
Elle et moi n'avons pas de date "anniversaire" hormis le jour de nos premiers mots échangés, il y a approximativement deux ans.
Nous ne sommes pas sortis ensemble tel ou tel jour, nous nous sommes découvert petit à petit, innocemment.
Et de cette relation si simple, est né un amour que je n'avais jamais connu. Un amour que je découvre petit à petit. Ce n'est que maintenant que je commence à la séduire, ça peut sembler stupide vu que nous sommes déjà officiellement un couple, mais au contraire... Au lieu de commencer fort et de devoir entrentenir cet amour, nous avons commencé très simplement et sans s'en rendre compte l'amour est devenu si puissant entre nous qu'il nous a surprit nous même. Il continue d'ailleurs de nous suprendre encore... Et me fait me surprendre moi-même...
Mon opinion de l'amour a changé, non pas parce que j'ai voulu le changer.
Mon désir de séduction a changé, non pas car j'ai voulu me "ranger".
Mais cette relation que je n'aurais jamais cru possible, cette relation qui finalement ne fait que devenir de plus en plus puissante au fil du temps, me fait me rendre compte que même un nouvel amour semble fade à côté, même l'immense plaisir que j'avais à découvrir une nouvelle fille, aussi belle et intelligente soit elle, me semble moins intéressant.
Du coup je vais changer de pays, pas pour tenter l'aventure, ni pour lui prouver mon amour, mais simplement par envie. Il n'y a aucun sacrifice là-dedans, elle n'a sûrement pas à me remercier de faire cela, pas à se sentir gênée... Je le fais par plaisir.
Alors continue de penser que le bonheur ne vient pas du couple, car je suis persuadé que tu as raison, continue de te dire que le bonheur c'est de ressentir le goût des choses, de vivre le présent, car il me semble, c'est la meilleure façon d'être heureux, et peut-être de tomber malencontreusement sur une personne qui puisse finir par devenir bien plus que ce qu'on n'aurait jamais désiré.
Désolé d'avoir raconté ma vie aux yeux de tous, mais ce que tu dis me fait tellement penser à ce que je disais que je n'ai pu m'en empêcher, et après tout, je n'ai pas de honte à le faire, que l'on puisse trouver cela gnangnan, que l'on puisse remettre ce que je dit en doute, quelle importance ? J'avais simplement envie de te le dire.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 18/09/2007 21:56:06
zion : bonne continuation ton texte me touche, je crois qu'il parle a tous les amoureux et a tous ceux qui ont vraiment aimé un jour.
angie22 : mdr sauf que vu ta maniere de me repondre on dirait que tu es restée au primaire Qu'est-ce que ca fait que tu sois la meilleure en francais ? Ca veut dire que je raconte forcément des conneries ?
Désolé mais chez Platon, Socrate quand il reflechi a des questions, son raisonnement evolue du debut à la fin. Si tu pars d'une position bornée et que tu veux à tout prix la faire accepter, c'est plutot de la politique ou un exercice oratoire qu'une vraie reflexion.
Ce qui ne signifie pas que ton devoir est scolairement mauvais, loin de là, je t'ai meme dit qu'il meritait sa note.
Et d'ailleurs j'ai eu mieux que toi en francais au baccalaureat vaut mieux donc pas jouer là-dessus...
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 19/09/2007 11:09:24
Quand une thèse n'est pas confrontée à une antithèse, il n'y a aucun moyen d'avancer. (C'est Bertrand Russell qui le dit dans Science et Religion , et je suis d'accord avec lui)
Je suis à 100% d'accord avec Tchit aussi, surtout quand il évoque l'exemple de Socrate.
Pour convaincre, il faut utiliser la dialectique. Or la dialectique, c'est: Supposer, Poser, Opposer, Composer et Imposer. (Autrement dit: Hypothèse, Thèse, Antithèse, Synthèse et Sainte Thèse).
Bon, dans un devoir scolaire, l'hypothèse est déjà lancée, il suffit juste de la reformuler un peu.
Si on n'emploie pas le plan dialectique, on ne fait que lister une série d'arguments choisis, ce qui rend le devoir absolument subjectif et généralement erroné.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 19/09/2007 12:46:57
Merci zeromantik pour ta reponse claire et intelligente.
Pour se faire une opinion, il faut être ouvert à toutes les possibilités et les confronter avec objectivité et honneteté, sinon ca marche pas, sinon c'est juste un monologue qui divisera les parties sans creer de dialogue.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 19/09/2007 12:58:11
@ zeromantik :
"hypothèse, thèse, antithèse, synthèse et Sainte Thèse".
or ici c'est hypothèse (l'amour rend-il heureux?), thèse (oui ou non et pourquoi), antithèse (prévoir une objection qui pourrait être faite par ceux qui soutiennent le non), réponse à l'antithèse (sous forme de concédation OU DE RÉFUTATION), et conclusion.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 19/09/2007 16:41:19
angie -> Comme le dit tchit, une antithèse n'est pas ce que tu en dis.
Imaginons que tu aies raison. Que sur un sujet quelconque, ma réponse soit "oui".
Si je me contente d'énoncer TOUS mes arguments sur le "oui" et UN ou DEUX argument CHOISIS sur le "non", c'est extrêmement subjectif (puisque c'est toi qui choisis l'argument sur le "non", et que tant qu'à faire, tu choisis le plus minable de tous, pour pouvoir mieux argumenter ton "oui" )
Répondre à une question philosophique c'est pas tenter d'imposer son point de vue, c'est tenter d'imposer la vérité. Or, la vérité ne doit souffrir aucun préjugé.
Si en posant une question philosophique on demandait aux gens de donner leur avis propre, les questions se formuleraient comme ceci: Pensez-vous que..? ou Exprimer vos opinion sur.... Or, on te demande: L'amour rend-il heureux. et non pas Pensez-vous que l'amour rende heureux?
Par conséquent on ne te demande pas d'argumenter ton avis en sautant royalement par-dessus l'antithèse, mais bel et bien de tenter d'approcher une certaine vérité dans la réponse.
Et la vérité, on l'approche en opposant sans cesse thèse à antithèse. C'est aporétique.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 19/09/2007 23:11:08
Aufheben c'est conserver et dépasser, comme le dit Hegel dans La Phénoménologie de l'Esprit dont la meilleure traduction française est de Jean Hippolyte. Voilà, je m'amuse à faire comme vous, étaler bêtement mes cours, mettre des majuscules partout pour faire le mec qui pense parce qu'ici "ça pense". Discussion ridicule de petits étudiants qui s'y croient mais qui, malgré leur bêtise et leur autosatisfaction, n'arrivent pas à faire pire que l'auteur de l'article qui a réussi à faire encore plus bête et scolaire.
Et voilà, je me sens sale, je vais encore devoir me masturber aux toilettes. C'est pas chic de votre part.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 20/09/2007 09:01:00
harrystéphane -> METTRE DES MAJUSCULES N'EST PAS FORCEMENT UN SIGNE DE REFLEXION, MON GRAND.
Mais finalement tu as raison.
Au lieu de patauger dans nos propre ignardise, on aurait mieux fait d'aduler angie22 et de bâtir un autel en son nom.
Ben oui, tu vois, quand on n'est pas d'accord avec quelqu'un ça mène souvent à un débat, et comme monsieur harrystéphane n'aime pas les débats ici, je comprends sa frustration.
Et sa dernière phrase se voulait certainement ironique, voire même cynique. Le pauvre, il croit encore que sortir le mot "masturbation" dans une phrase quand on émet une critique, c'est le summum de la "réplique-qui-tue"...
On aura remarqué que je m'adresse à monsieur harrystéphane à la troisième personne.
Je crois qu'il aurait du mal à supporter qu'une bande de larves tutoie un esprit comme le sien.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 20/09/2007 15:29:38
Arf ouais Harrystephane t'es frustré je crois, tu devrais arreter de te masturber dans ce cas et chercher des plaisirs moins solitaires .
'tain! Il y a des gens rigolos qui se pointent sans qu'on les cherche des fois genre comme une tete de clown qui sort de sa boite par surprise et qui disparait aussi vite ... des amuseurs publiques... des bouffons quoi
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 20/09/2007 18:22:00
Mais arrêtez vous, vraiment. Entre Zeromantik qui joue à la grande penseuse qui sait à quoi s'en tenir parce qu'elle croit "penser par elle-même" et qu'elle est en première année de philo dans la bonne fac conservatrice de Lyon et puis l'autre qui se la pète, qui envoie des fleurs et espère en recevoir, le tableau est parfait. Il ne manque plus que le prétexte, un article pourri, et le pseudo-débat est lancé. Vous êtes parfaitement ridicules à mettre des majuscules, utiliser l'italique pour souligner les points soi-disant importants de votre soi-disant réflexion.
Que l'article d'angie soit pourri, tout le monde est d'accord là-dessus, pas besoin d'être expert, pas non plus besoin d'écrire trente lignes pour le prouver. Vous n'employez d'ailleurs pas votre temps à ça mais à essayer maladroitement de vous faire mousser à coup de références inutiles, citations de théories incomprises, vocabulaire technique mal utilisé et ironie de collégien.
Mais bien sûr, ne pas rentrer dans votre jeu c'est faire preuve d'étroitesse d'esprit, de cynisme bas de gamme et de peur du débat. Si vous aviez un minimum d'honnêteté, vous reconnaîtriez que vous ne connaissez pas grand chose et que ce débat n'est pas un débat mais un échange d'ignares occupés à se faire valoir et qui s'épuisent à se jeter de la poudre aux yeux.
Au passage, la réponse de Tchit est parfaite dans le genre je ne sais pas trop quoi dire alors j'enchaîne "t'es frustré", "bouffon", trouve toi une copine. Tout ça bien sûr sans rien connaître de ma vie mais ça ne mange pas de pain et ça permet de rajouter un commentaire inutile. Le plus marrant dans cette histoire c'est de se faire apprendre la vie par des gens qui n'ont rien de mieux à foutre que de payer pour faire publier leurs articles miteux qui, sinon, n'intéresseraient personne et vont même jusqu'à souscrire à l'abonnement ultramembre.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 20/09/2007 18:27:54
Harrystéphane -> Si j'ai bien compris, pour avoir un tant soit peude valeur à tes yeux, il faut être inscrit à aucune fac, aucun lycée, aucune école, ne pas avoir d'abonnement Internet, ne pas mettre de majuscules ni de points, ni d'italique ni d'autres effets d'écriture, ne pas répondre quand on nous parle, dire "Amen" à tout ce qu'on nous dit, surtout ne pas donner notre avis, encore moins utiliser d'autre phrase que "Je suis un con fini et je connais rien à la vie", et enfin, idôlatrer tes petits messages savoureux - et très utiles, au passage.
J'ai bon?
Malheureusement y'a pas beaucoup de gens qui possèdent toutes ces précieuses qualités.
Re: mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 20/09/2007 18:36:11
Quand je parlais d'ironie de collégien, tu viens d'en donner un bon exemple. Quand je parle de la fac, je dis juste que vous avez le défaut des petits étudiants ravis d'avoir enfin (du moins le pensent-ils) la légitimité de parler de tel ou tel sujet et qui le font de la façon la plus prétentieuse et stérile possible. Tu comprendras que je ne prenne pas la peine de répondre à tes élucubrations sur l'abonnement internet ou la ponctuation.
Tout ce que je dis c'est qu'au lieu de dire des conneries avec applomb, vous feriez mieux de vous taire ou de dire humblement ce que vous pensez, si toutefois vous pensez.
Re: mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 20/09/2007 19:52:11
Je pense qu'angie aurait dû faire une antithèse pour rendre un devoir de philo digne de ce nom.
Comment on fait quand ce qu'on pense paraît prétentieux à tes yeux?
Parce que d'après ce que tu dis, il faut dire ce qu'on pense, mais en restant humble...
Du coup c'est difficile, parce que quoi qu'on fasse, tu ironises allègrement sur la moindre phrase que tu n'apprécies pas, en rajoutant à tous les coups le mot "prétentieux" (et "petits étudiants" aussi, j'ai l'impression que tu l'aimes bien cet argument-là, il est casé sous ton bras et hop! Dès qu'une phrase te défrise, tu le mets sur la table)
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 20/09/2007 22:44:19
Que tu sois frustré, ca c'est un fait difficilement discutable. Puis je n'ai pas parlé de ta vie personnelle, j'ai juste rebondi sur ta tres fine remarque de frustré (tu vas te masturber). Et puis l'expression bouffon faisait reference a ta fonction d'amuseur publique... ce que tu es n'est-ce pas ?
Ensuite ce qui est terriblement drole, c'est que tu nous traite d'ignares pathetiques et pretentieux alors que tes propos sont exactement pathétiques, pédants et prétentieux. Tu nous accuses d'être des petits étudiants tout fiers de repeter ce qu'on a entendu sans comprendre, et tu dis ca avec une telle superiorité que c'en est comique.... parce que tu as tout le profil de l'étudiant ignare persuadé que les autres sont débiles.
Puis je vois pas trop la raison de tes arguments miteux, on disait juste a angie que son devoir manquait d'objectivité et que dans une reelle reflexion il fallait tenir compte de tous les points de vu, pas seulement de sa propre opinion. J'ose esperer que tu n'as rien lu de nos messages ou alors tu nages en pleine confusion mentale.
Puis pour infos, j'ai jamais payé pour mes articles ni pour mon ultramembre et meme si c'était le cas...
Et puis je suis pas à la fac meme si c'est marqué sur ma fiche.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par combatpourmonideal le 21/09/2007 15:49:10
Je suis assez surprise de voir autant de bruit autour d'un article si creux et plat. Il ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes bidon, et ceux qui le commentent comme si c'était un chef d'oeuvre de la philosophie contemporaine (tchit, zeromantik, etc.) le savent très bien. C'est révélateur de la mentalité de ce site, qui m'a bien déçue depuis mon arrivée. Vous publiez tous des articles qui n'apportent rien de nouveau, ce dont vous êtes bien conscients, mais vous essayez de vous convaincre que vos débats ont une quelconque utilité.
A aucun moment vous n'échangez des idées : le seul but de vos discussions consiste à vous faire mousser le plus possible, à montrer que vous, vous savez chacun le truc que les autres ignorent et qui donnent à votre soi-disant réflexion une consistance et une dimension supérieures. C'est totalement faux et encore une fois, vous le savez très bien. Simplement, admettre la stupidité et l'inutilité profondes de vos articles et réponses pourris, serait admettre que vous n'êtes qu'une bande d'imbéciles suffisants et ignares. Vous êtes, pour la grande majorité, des ignares. Qui est réellement intéressé, dans cette discussion, par ce que dit la personne d'en face ?
Chaque réponse à un nouveau message commence par, "oui, mais moi je crois que...", ou "tu as oublié de dire que...", et blablabla, et blablabla, on repart sur un monologue qui continue à tourner en rond. Vous êtes dégoulinants de narcissisme et de prétention, et totalement incapables de le reconnaître. Le plus consternant, c'est quand on voit vos âges respectifs : vous avez environ 20 ans, vous devriez au moins être capables d'un peu de recul sur vous-mêmes. Il n'en est rien. Je ne veux pas être vulgaire, et c'est pour cela que j'évite d'employer tout gros mot en vous parlant. Mais franchement...soyez un peu lucides sur vous-mêmes, c'est quand même pas du luxe, non ?
Ok, dites : "on discute, sans prétention, on n'apporte rien de nouveau, mais c'est tout ce dont on est capables". Mais n'essayez pas de vous faire passer pour ce que vous n'êtes pas : des cerveaux créatifs et intéressants, alors que vous n'avez pas une once de jugement ou d'originalité. Vous êtes de la chair à canon, des Playmobil qui parlent au nom d'une génération de cons, sans pouvoir l'admettre. C'est ça qui se dégage de vos discussions chiantes à mourir. Voilà mon avis, et pourtant Dieu sait que je suis arrivée sur ce site pleine de bonnes intentions, mais franchement, là, on touche le fond de la boîte à malice.
Merci de m'avoir lue, et au plaisir de ne pas avoir à vous redire vos cinq vérités.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 21/09/2007 15:53:41
Félicitations.
Prétendre être en droit de "sortir les cinq vérités" à des personnes qu'on "connaît" via un écran d'ordinateur, c'est loin d'être ignare et narcissique.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 22/09/2007 14:41:38
Vous pouvez toujours ironiser et détourner ce que je dis, je m'en fous. La différence c'est que j'essaie de vous dire quelque chose de sincère et que vous êtes occupés à faire les quéqués, soit en débitant vos tartines de sottise, soit en vous défendant pitoyablement quand on vous fait des reproches.
Je ne sais pas qui est le pire de vous deux mais c'est probable que ce soit tchit avec sa provocation risible : "t'es un amuseur public", "t'es un frustré". Dire que je suis censé être vexé en lisant ça, c'est-à-dire en lisant la défense classique de celui qui n'a rien à dire mais qui ne supporte pas de ne pas avoir le dernier mot et se sent donc obligé de répondre quelque chose, même n'importe quoi.
Encore une fois, même si je me répète et que je répète ce que claire a bien dit, si vous aviez un minimum de bon sens et d'objectivité, vous rougiriez de votre mauvaise foi et de votre suffisance. Cela dit, si vous avez envie de garder vos oeillières et de continuer vos impostures, ça ne me dérange pas. Ne comptez cependant pas sur moi pour crier au génie ou pour participer à vos débats qui ne sont que des combats de coqs déplumés qui veulent jouer les paons.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 22/09/2007 14:58:10
harrystéphane -> Je suis prête à écouter ce que tu as à me dire, quand tu comprendras que vous êtes (je parle de Claire et de toi) contradictoires dans vos dires et dans vos gestes.
D'une part, tu dis "Essayer de nous dire quelque chose de sincère". En nous traitant d'abrutis à tout bout de champ, c'est plus de la sincérité, c'est de la provocation gratuite, qui se veut peut-être cynique. Ton âge, ta vie ou ton entourage ne te donnent pas le droit d'estimer si nous sommes, oui ou non, autorisés à poster sur un forum.
D'autre part, tu dis que Tchit ressort des "arguments débiles". Je te prierai (avec tout le respect que je dois à ton esprit clairvoyant, cela va de soi) de me dire droit dans les yeux que l'argument "Je me sens sale, je vais me masturber" n'est pas pitoyable.
Et enfin, je tiens à faire remarquer qu'en vous estimant capables de nous considérer comme des prétentieux, vous portez un jugement on ne peut plus suffisant et pédant. Quand on vous lit, on a l'impression que vous nous regardez depuis votre piédestal, et que tout ce que vous pouvez voir de nous ce sont les pellicules. Et vous vous pensez sûrement porteurs d'une mission presque évangeliste, à toujours chercher à nous foutre le nez dans la merde et à nous faire dire coûte que coûte que nous sommes d'immondes petites larves.
Je suis désolée, mais la modestie a ses limites, et bien que vous soyiez persuadés que je ne suis qu'un misérable microbe, je vous demanderai de bien vouloir relire vos posts, et de me dire qui d'entre nous est le plus prétentieux ici.
"Me sortir mes 5 vérités", ça me fait bien rire. Je pourrais être un pédophile en proie sur le Net, un adolescent attardé qui passe ses nuits sur les sites de cul, ou une pétasse qui remet son blog à jour, et elle pense pouvoir me sortir mes cinq vérités.
Si c'est pas de la prétention ça, alors je veux bien qu'on me réexplique certaines choses.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 22/09/2007 18:01:46
Zeromantik, c'est parce que tu élargis nos propos et que tu extrapoles que tu y vois de la contradiction.
On peut trouver que vous êtes prétentieux sans se prendre pour un génie mais simplement en regardant votre façon d'écrire et le décalage entre ce que vous voulez dire et la façon dont vous le faites, bref en utilisant notre bon-sens.
D'ailleurs, ne vous connaissant pas assez, je ne dis pas qu'il n'y a absolument rien à tirer de vous et que jamais vous ne direz quelque chose d'intéressant, je dis seulement qu'il n'y a rien à tirer de ce que vous dites ici, sans pour autant aller jusqu'à tenter de vous interdire l'accès au site comme tu le prétends. Par ailleurs, tu tentes de me prouver que mes arguments sont aussi miteux que ceux de Tchit en prenant comme exemple "je me sens sale, je vais me masturber" qui n'est justement pas un argument mais une connerie volontaire mise à la fin d'un commentaire.
Bref n'essaie pas de me faire passer pour ce que je ne suis pas, n'essaie pas non plus de te faire passer pour ce que tu n'es pas, travaille, étudie, arrête la mauvaise-foi, réfléchis et ne te disperse pas dans des commentaires qui, je l'espère sans pouvoir en être sûr, ne montrent pas tes meilleurs côtés.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 22/09/2007 18:10:42
harrystéphane -> Ah mais niet, même en écartant le fait que "vous vous preniez pour des génies", le fait que vous vous estimiez en droit de venir porter un jugement sur quelque chose (ou quelqu'un, on s'en fout) signifie que vous estimez avoir un droit envers cette chose (cette personne).
Ma question est bête: sur quoi tu te bases pour te dire que je suis prétentieuse?
Si c'est parce que je pense pas de la même façon que toi, félicitations.
Si c'est parce que les quatre messages et demi et que tu as lus de moi ici te semblent prétentieux, félicitations.
Si c'est parce que la moindre personne qui dit "Moi je pense que" est un ignoble prétentieux, félicitations.
En fait, ça me tape sur le système qu'on me donne des leçons et qu'on fasse la même chose que moi à côté.
Tu vois, me dire "n'essaie pas non plus de te faire passer pour ce que tu n'es pas, travaille, étudie, arrête la mauvaise-foi, réfléchis et ne te disperse pas dans des commentaires" c'est faire entendre que j'essaie de me faire passer pour ce que je ne suis pas, que je ne travaille pas, que je n'étudie pas, que je suis de mauvaise foi et que je me disperse dans mes commentaires. T'as l'air de mieux me connaître que moi-même, dis donc.
Allez, j'en ai assez.
Je vais te dire la moitié de ce que tu voulais entendre, juste pour que tu arrêtes enfin de jouer les Superman: "Oui, oui! Je suis une grosse prétentieuse, je suis imbue de ma personne, je suis sur un piédestal tellement grand que je ne vois plus les autres, oui! Je suis prétientieuse! Et je le revendique, et j'en suis fière. Ben oui, parce que quand on est prétentieux, on est forcément fier de l'être. Voilà! Officiellement prétentieuse!"
Content? Je peux même rajouter que je suis une étudiante de 18 petites années qui va traîner sa morve au nez dans une bonne fac de droite conservatrice. Au point où j'en suis, ça change pas grand-chose, et puis si ça peut te faire jouir, allons-y gaiement.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 22/09/2007 18:34:21
Là où tu trompes une fois de plus c'est que tu crois que j'écris ici par sadisme, cynisme ou frustration et donc que j'en tire une jouissance malsaine. C'est faux.
J'ai lu cet article que j'ai trouvé nul puis j'ai lu vos commentaires qui m'ont agacé et j'ai réagi comme vous avez réagi. Cela ne veut pas dire que "je me donne le droit de..." ou que "je m'estime supérieur à..." mais juste que je donne mon avis sur quelque chose que j'ai vu parce qu'on ne peut pas faire autrement que d'avoir un avis sur ce qui se présente à nous. Outre le droit de donner mon avis, je n'exige rien de personne.
Je te trouve prétentieuse parce que les quatre messages et demi que j'ai lus ici m'ont semblé prétentieux ainsi que tes articles, que tes commentaires postés sur d'autres articles et que tes topics et réactions sur les forums. Je ne crois pas que ça suffit pour te connaître à fond, en revanche c'est assez pour voir que tu es prétentieuse. Pour être plus précis, ce qui m'agace c'est tes références systématiques, souvent inutiles ou inexactes, ton recours fréquent à un vocabulaire spécialisé mal employé et donc inutile, bref, ta recherche d'un mode d'expression qui se veut complexe mais qui n'est que bancal pour dire des choses simples. En gros, comme je l'ai déjà dit mille fois, pas ou peu d'échange mais beaucoup de poudre aux yeux.
Je pense effectivement que tu essaies de te faire passer ici pour ce que tu n'es pas, que tu es de mauvaise-foi et que tu te disperses dans tes commentaires. Mais toutes ces choses peuvent être changées. Au passage, tes deux derniers paragraphes sont justement un bon exemple de ta mauvaise-foi, même si ici tu l'utilises de façon plus évidente par humour ou agacement.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par zeromantik le 22/09/2007 18:41:11
Article merdique et dissertation lamentable
En voilà un sacré avis.
J'ai au moins pris la peine d'essayer d'expliquer ce qui me déplaîsait dans l'article d'angie. Mais je pense que je m'étais arrêtée à du "C'est d'la merde en boîte", encore une fois, la prétention m'aurait collée au cul.
Tu trouves que je suis prétentieuse et que je parles à tort et à travers. Je vais pas décevoir tes jolies convictions, elles ont l'air d'être ta seule raison de passer par ici, histoire de verser quelques larmes en coup de vent.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par tchit le 22/09/2007 19:50:18
harrystéphane : face à la connerie le mieux c'est de rire, surtout lorsqu'elle est innofensive comme la tienne. Et désolé si je n'ai rien à dire d'autre que tu me fais rire et que tu te ridiculises, parce que tes propos sont tellement grotesques qu'on peut difficilement les prendre au sérieux (alors comment seulement y répondre ? Je trouve que zeromantik s'abaisse à trop d'efforts).
Plutot que de jouer la carte du gâtisme (bande de prétentieux ignares qui vous prenez pour des savants), essaye juste de sortir un truc construit et interessant, je sais pas, rien de spécial, mais juste que tu nous montre que t'es capable d'autre chose que ça.
Parce que là tu vois tu parles dans le vide.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par angie22 le 22/09/2007 21:24:25
@ tchit, harrystephane et zeromantik :
bon, on s'entend tous pour dire que vous avez calé mon texte. on reviendra pas là-dessus, pensez ce que vous voulez je m'en moque.
ce qui me fait ch***, c'est qu'ici c pas une cour de garderie pour régler vos petites chicanes. vous êtes 3 et vous calez mon texte de 3 façons différentes. et là, vous vous engueulez dans les commentaires sur mon texte à essayer de prouver que c'est votre manière de caler mon texte qui est la meilleure. come on, vous avez pas 5 ans! si vous voulez lancer un débat sur le sujet, libre à vous mais faites-le donc ailleurs!
Re: mon examen final de philosophie Posté par tchit le 22/09/2007 22:49:43
angie22 : ca veut dire quoi caler ? Personne cherche rien à prouver, on fait juste une petite gueguerre comme des enfants de 5 ans dans un bac à sable, rien de méchant et puis ca te fait plein de commentaires à lire.
Après tout ils sont très instructifs sur certains aspects de la nature humaine quand on a vu ca on en a deja beaucoup vu. Profites-en !
Au fait harrystephen, tout d'un coup je me pose la question : quel est ton probleme ? On a dit quoi en fait ? On a juste dit que dans une argumentation il fallait tenir compte de tous les arguments et pas seulement de ceux qui nous arrangeaient.
Mais t'auras rien à me répondre qu'on ne sait déjà vu que tes propos sont complètements déplacés. As-tu seulement conscience que ton ton de supériorité vaniteuse est complètement ridicule ? Franchement dis moi la vérité, tu penses quoi de toi ? Pas la peine de rebondir sur mon crétinisme, ça tout le monde s'en fout. Tu es un cas beaucoup plus interessant. En tout cas j'espere que tu joues juste un petit jeu, parce que si cet orgueil démesuré te traverse vraiment la cervelle, tu retomberas bien bas lorsque tu commenceras ta vie mon pauvre !
Re: Mon examen final de philosophie Posté par harrystéphane le 24/09/2007 18:25:20
Angie, comme je te l'ai déjà dit, je trouve ton texte nul et, pour moi, il n'y a pas besoin d'argumenter trois heures pour tenter de le démontrer ou pour dire ce que tu devrais changer.
Tchit, mon gros, si tu veux que je t'explique une fois de plus ce qui me dérange, je vais le faire. Quand je vous vois, Zeromantik et toi, échanger des arguments bidon en jouant aux penseurs libres, ça me fait rire et en même temps ça me fait chier. Je ne vais pas m'arrêter sur ta provoc' à deux balles "t'es un cas intéressant pour les psychiatres, t'es un désiquilibré" puisque nous savons tous les deux que c'est un argument gratuit de quelqu'un qui ne sait pas trop quoi dire mais qui, une fois de plus, ne supporterait pas de ne pas avoir le dernier mot.
Enfin, ne crois pas que te mépriser ou te critiquer témoigne d'un "orgueil démesuré". Tu as une tellement haute idée de toi que tu penses qu'il faut se prendre pour un Dieu pour être en désaccord avec toi, que si on s'amuse de tes bêtises c'est qu'on croit être au sommet de l'Olympe. Tu te trompes, je ne me sens pas du tout supérieur à l'individu moyen de bonne-foi et de bonne volonté mais je pense que tu es de mauvaise-foi, de mauvaise volonté et que, par ailleurs, tu es suffisant et un peu simplet. Il n'y a qu'à lire ton article philosophique chiasseux sur l'amour et la passion où tu ne fais qu'enchaîner les poncifs, les généralités sorties de ton chapeau (l'amour maternel qui serait forcément le plus fort, les statistiques bidon sur les couples qui se forment après un coup de foudre) pour se faire une image de toi qui n'est pas à ton avantage.
Comme tu as la tête dure, je te le répète, je ne me prends pas pour un génie, je dis juste que tu ne m'impressionnes pas, que tes petits commentaires laborieux ne suscitent pas mon admiration, que la poudre que tu jettes n'atteint pas mes yeux.
Ici, effectivement, je passe le plus clair de mon temps à critiquer par agacement et amusement. N'en déduis pas que je passe ma vie à ça, mais ce que je peux faire de plus constructif, je ne l'expose pas ici, justement parce que je n'ai rien à foutre de l'avis des glandeurs comme toi qui se prennent pour des flèches.
Harrystéphane.
PS: tu peux continuer à jouer la carte du dédain princier, il en faut plus pour me vexer.
Zeromantik: je ne te reproche pas d'avoir expliqué à angie ce que tu n'aimais pas dans son texte même si je n'en vois pas l'utilité, ce que je te reproche c'est la manière dont tu l'as fait. Pour ma part, je n'ai pas pris la peine de le faire parce qu'il me semblait trop évident que son devoir était complètement plat et scolaire pour qu'il soit nécessaire de le démontrer.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par decksand42 le 29/06/2008 15:23:48
j'ai vraiment l'impression que le but de angie22 c'est de raconter sa vie passionnante à nous qui, pauvre âmes égoïstes, ne comprenons pas la portée de sa vision extraordinaire. mais en gros, je suis d'accord avec harrystéphane, ce texte est merdique dont le but est uniquement de montrer que, ouais, machine a passé brillament son exa de philo, et de faire la liste de tous ses petits copains qu'elle a trompés. pour ma part, franchement, le thème de cette dissert était bon pour les gamins prépubères en rut qui regardent les frères scott en bavant devant les scènes de baiser, et franchement, fallait pas être une putain de lumière pour réussir cette dissert. en suisse, c'est tellement plus complexe, tu peux pas comprendre, et pour finir, angie22, tu m'as l'air franchement d'une bonne mytho vieille fille.
Re: Mon examen final de philosophie Posté par jacquesv le 29/06/2008 17:42:22
<Heureusement, je suis tombée sur une excellente prof ! Elle s'exprimait avec des mots simples, et j'ai rapidement fait un parallèle entre le cours de philo et le cours de français.>
En somme, elle prémachait le cours, façon "Le Meilleur de Readers Digest"