Le temps de vivre Posté par diurnambule le 20/08/2004 07:52:53
Histoire du jour bonjour, histoire du soir bonsoir...
Il était une fois, dans un monde ou le souvenir n'était qu'un souvenir, des hommes qui évoluaient selon leurs règles, leurs envies. Une divertsité si grande qu'il était impossible de tous les comprendres et de tous les mettres dans une même histoire. Il y avait ceux qui commandaient et ceux qui exécutaient. Chacun sa propre tâche, chacun sa vie, chacun son avis. Tous avaient un but : vivre et êtres heureux. Aussi loin que pouvais aller leur imagination, ils s'adonaient à la science autant qu'à la religion. La science pour l'évolution, la religion pour le respect de la vie...
Tous se disaient êtres à une époque moderne, ils se trompaient...
Tout commence depuis toujours...
Le monde se réveille, regarde l'amour ou la mort et part pour travailler comme cadre ou clochard. Ils savent que ce soir il reviendrons d'une façon ou d'une autre. S'ils meurent, ce serra aussi simple qu'un bonsoir. Ils fermerons les yeux pour la seconde fois.
En partant ils n'urons pas oublié leur petit bisou pour la journée et comme une vieille coûtume ils se retournerons et partirons vers le nouveau.
La journée, ils ferons ce qu'ils font tout les jours et ensuite reviendrons faire ce qu'ils font tout les soirs.
Ceci jusqu'au moment où les conventions éclatent et où le sens des choses devient cameleon de jour en jour. Ils croirons tous que ce qu'ils font est bien car ils le font tous, allant de la guerre à la paix, de mort en morts. Ils brûlerons les affaires classées ainsi que leur soi-même sans s'en rendre compte.
Savez-vous comment tout ça peut arriver ?
A partir du jour où vous vivrez sans vous soucier de l'idéal qui anime une vie. Les sentiments et le bon sens. Ce sentiment que vous avez en tant que patriote ou lorsque vous regardez un film de catastrophe et que vous avez cette adrénaline qui vous dit "vas les aider". Cette chose en vous qui vous fait aimer et qui parait parfois comme une faiblesse, du baiser à l'amour, aussi beau que ce soit, un jour, risque de disparaître. Il suffit pour ça de l'oublier, ou de ne plus le comprendre ou le prendre tel qu'il est. Fragile et fort à la fois, incompréhensible et angoisseur de la vie à l'idée de le voir évoluer, de le voir changer votre vie au point parfois de lui faire prendre des risques.
Un jour, ils disparaîtrons. Mais pour le moment c'est la course à celui qui à raison pour le plus de monde. Tout n'est donc pas fini. Dans chaque histoire il y à une leçon à aprendre. Mais le mieux est de l'aprendre pendant l'histoire plutôt qu'aprés.
Alors si la monotonie vous touche sortez aimez quelq'un et partez vous inscrire comme president de la république de l'idéal car la place est à prendre.
A tout ceux quisont rascistes dans le sens qu'ils le sont à cause de leur simple différence de couleur, à tout ceux qui font passer leur argent avant la vie des autres, ceux qui violent et qui tuent, directement ou indirectement, qui commandent à la mort et qui ne respectent pas la paix de vivre comme l'on veut je leur dit aller vous faire foutre et que le bordel vous emporte. Vous êtes éffacés.
Le temps de vivre
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