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L'alcoolisme
Posté par missix le 31/05/2007 00:09:48
L'alcoolisme peut quelque fois nous entourer sans que nous nous en rendions compte, ou même nous toucher...
La vie d'un alcoolique et aussi difficile que pour ceux qui l'entour


L'alcoolisme, en long en large et en travers

Peut être que certains d'entre vous sont confrontés dans leur quotidien à des personnes atteintes de cette maladie.
Car oui, l'alcoolisme est une maladie. Il est dur de ce faire à cette idée lorsqu'un proche est alcoolique.
Une maladie très dur pour la personne malade ainsi que l'entourage, qui ne comprend jamais tout à fait le fait que cette personne prenne du plaisir à boire.

La personne alcoolique ne devient pas alcoolique intentionnellement, elle tombe souvent dans ce fléau sans s'en rendre compte et lorsqu'elle réalise, il est déjà bien tard, et la maladie a déjà fait des ravages.

Pour être alcoolique il ne suffit pas de boire chaque jours à en être ivre, il suffit de boire chaque jour, une quantité plus ou moins importante d'alcool. Cette quantité varie en fonction des personnes, ainsi certains alcooliques peuvent eux être ivre en fin de journée. D'autres ne consomme que suffisamment à leur besoin, et sont peut être quelques fois ivre. L'alcoolisme se repère également quand le consommateur ne peut plus se passer d'alcool, cela deviens comme une drogue pour celui ci, et il doit avoir son taux d'alcool chaque jour pour ce "sentir bien".

La consommation d'alcool pour un alcoolique est comme la consommation de tabac pour un fumeur, bien que l'alcoolisme est lui moins répandu.

Mais nous comprenons pas ce besoin qu'à la personne d'absorber ce liquide nocif pour sa santé. Nous avons souvent des réactions négative, ce qui est tout a fait normal, mais cela, l'alcoolique ne le prend pas dans le même sens que nous.
En effet, en nous énervant contre un alcoolique, nous souhaitons le faire réagir, mais de son coté il prend ça comme une agression, et ne veut pas accepter d'être "insulté" de malade.
L'alcoolique n'accepte pas sa dépendance à l'alcool qui est une faiblesse d'après lui, il refuse de l'affirmer, comme on refuserait de dire que nous dépendons de quelqu'un. En refusant de l'accepter, il refuse donc de se soigner.

Butez, nous lui faisons face avec force, souhaitant le faire réagir, coûte que coûte, mais avant tout pourquoi ne pas comprendre les causes de cet alcoolisme, car comme je l'ai dit précédemment, l'alcoolique subit son alcoolisme.

L'alcoolique boit pour oublier souvent.
Qui n'a jamais été à une fête et a bus ? Vous vous rappelez de cette sensation de "bien être" ? Cette sensation d'évasion ?
Certains "jeunes" disent même qu'ils boivent pour oublier dans une période un peut sombre.
Voilà ce que cherche l'alcoolique, l'oublie, il veut oublier, des moments passés trop difficile, peut être une enfance difficile, une adolescence difficile, une période très dure de sa vie, ou un quotidien ingérable, des conditions de vie trop dure et insupportables... Ils ont tous des raisons différentes, que souvent nous ignorons. Il nous faudrait nous plonger dans leur passer avec eux, nous plonger dans leur vie...

L'alcoolique est quelques fois également dépressif,
"la dépression : abattement, état de souffrance qui se traduit par une lassitude, une perte d'énergie, et un dégoût de la vie"
La personne est dépressive, elle boit pour oublier, l'alcoolisme et la dépression sont liés, et comme pour l'alcoolisme, la personne concernée n'accepte pas non plus sa maladie qu'est la dépression.

Alors on veut les aider, les faire réagir, leur montrer qu'ils sombrent ... Mais rien n'y fait, les cris fusent, les pleurs, les larmes, les disputes, les insultes quelques fois, des mots qui font mal, les mains tremblantes de la personne nous font souffrir, sa voix changé le soir après qu'il ait absorbé sa quantité de "poison" nous fait pleurer et nous énerver, on cri, on veut le faire réagir, on veut qu'il se rende compte de la souffrance qu'il nous fait, on essaye par tous les moyens et rien n'a avancé au final... Mais on veut faire bouger les choses

Sauf... Qu'on ne peut rien faire, le malade n'avancera que si il le décide lui même, nous pouvons l'inciter à aller consulter un médecin, un psychologue, mais nous ne pouvons pas le forcer à y aller... Là est notre faiblesse dans cette histoire, à force d'insistance, on se lasse, et nous ne pouvons que continuer à observer que la personne aimée sombre sans réaction...

Impuissants...

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Re: L'alcoolisme
Posté par cidragon6 le 04/08/2007 17:58:34
Tu as tout à fait raison, l'alcool sert dans les moments pénibles de la vie, des moments que on préférerait oublier. C'est aussi un moyen d'autodestruction comme l'automutilation, suivit de la dépression.
J'ai été dépendant pendant ma jeunesse, le rhum....Mais bon, j'ai su arrêté et peu de personne savent que je buvais... Quoi qu'il en soit, maintenant, je n'aime pas boire, sauf à quelques exceptions, mais je regrette bien vite mes premières gorgées.

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Re: L'alcoolisme
Posté par flûte! le 04/08/2007 18:17:28
L'article est plein de fautes et sa justesse est approximative en certains points, mais je ne peux m'empêcher de m'y attacher. L'alcoolisme me laisse aussi sans ressource ; j'ai tantôt envie de couper les ponts avec la personne qui en souffre, tantôt de soulever des montagnes pour l'en délivrer. Les prises de conscience spontanées, les rechutes qui le sont tout autant, la rage au ventre, le vague à l'âme, les belles histoires auxquelles mon indulgence m'ordonne de croire, l'écoeurement, tout ça m'essouffle un peu. Je VEUX aider pourtant, mais trop souvent, je me rends compte que mon aide est infinitésimale : je prête ou donne de l'argent, j'essaie de consoler tant bien que mal, j'accompagne et j'encourage dans les élans sporadiques de rémission, je me tais devant la scène de la plus sordide des décrépitudes, etc. Tout ça pourquoi ? pour que la personne que j'aime rechute et recommence à nier le mal qui l'accable. J'en rage, j'en pleurais il n'y a pas longtemps, mais que faire sinon espérer ? Je pense avoir appris à ne pas juger, à ne pas critiquer, à ne pas offenser et surtout à tendre une main aussitôt qu'on en demande une. J'ai toutefois l'impression que mes efforts se caractérisent surtout par leur inefficacité crasse. «Impuissants...», tu l'as dit. Mon message est pitoyable, les mots sortent apparemment très mal lorsque je parle d'alcoolisme... sûrement parce que je n'en parle jamais.

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Re: L'alcoolisme
Posté par vanessabreizh le 06/08/2007 20:40:57
et voilà, tout est dit dans cet article! J'ai rien à rajouter, ton raisonnement est logique.

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Re: L'alcoolisme
Posté par ushiwa.sasuke le 07/08/2007 15:52:10
Comme c'est écrit partout --> à consommer avec modération...

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Re: L'alcoolisme
Posté par supernaut le 22/08/2007 09:36:34
Moi merci, j'ai été vacciné. J'y touche plus. (N.B. : je n'ai jamais été dépendant) Mais j'en connais qui l'admettent ouvertement, et qui s'y complaisent... Enfin ça me fait pitié. Après ceux qui boivent parce qu'ils ont des problèmes, dépression, etc, j'en connais pas.

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Re: L'alcoolisme
Posté par vanessabreizh le 22/08/2007 11:39:41
ba ça dépend des personnes, t'as des aussi des gens qui boivent pour s'amuser, mais perso j'ai vu des gens qui boivent car ils ne se sentent pas bien.

On devient dépendant de l'alcool si on commence à boire des quantités

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Re: L'alcoolisme
Posté par vanessabreizh le 22/08/2007 11:40:41
si on commence à boire des quantités tous les jours.

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Re: L'alcoolisme
Posté par missix le 26/02/2008 23:14:52
désolée de répondre si tard vanessa, mais non, on ne deviens pas dépendant quand on bois des quantités par jour, il suffit de boir chaque jour par habitude quelques verres, sans faire d'exception, l'alcoolisme n'est pas une question de quantités, c'est si l'alcool deviens une habitude, un mode de vie

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