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La Passion de Catherine
Posté par richie ronsard le 07/12/2011 00:04:19
A ce sol stérile, je plantais une graine, ma petite graine je l'avais obtenu avec grande peine et toute les sueurs du monde sur les porte du jardin botanique nous marchâmes à la recherche de la douce graine, elle était l'unique dans son charme. RnrnJe tenais, je voulais qu'elle survive cette graine, qu'elle connaisse la nature et me nourrisses de son beau parfum, à peine ensevelit dans la terre, j'avais prit coutume de la plaire, de lui offrir toute la luxure du monde, de la satisfaire à sa juste faim en l'arrosant d'eau de parfum.


Je fit ce service pendant autant des semaines, je voulais que la nature réponde à mon unique soif, mais la patience ne va pas toujours aussi loin que le rêve, plus tard à force de n'assister qu'à la comédie de ce sol plat j'arrêter de croire et je m'y intéressais plus, dans mon cœur point d'espérance, les digues étaient débordées et s'inondés de désespoir, je crevais de passion.

Un jour hélas, vacillant tout au tourde mon beau jardin d'amour, chantant les douces mélodies d'automne, comme par hasard le destin me conduit là, à l'improviste je faisais au tour de ce sol stérile, ouf ! Une jeune petite mignonne plane me sourit ! Qu'elle impossible fait ! Et du coup je renouveler ma passion, je lui approchais à nouveau et j'avais prit coutume de la plaire et de la satisfaire à sa juste faim, la relatant sa pire comédie d'existence, elle souriait et souriait encore quand je lui disais : "A ce sol stérile je plantais une graine" Ah la vie la vie ! Toi qui fait émouvoir les plantes et fait d'eux des adorables amours.

O ma jeune plante ! Je ne voulais pas qu'elle souffre de faim, elle était toutes petites et si petite, elle me demandait et elle tenait à savoir si le temps sourirait et réussiras à le faire grandir comme un manguier, un sagoutier ou encore un sapin. Et je lui disais avec optimisme : "Et oui ! Demain tu seras vielles ma chères !"rnMais je savais que demain n'était pas derrière nos mûrs. RnrnTout les soirs avant de refermer ma porte et de laisser ma ravissante plante à son propre sort et s'endormir, je balançais une prière de protection que nous récitions avec ma jeune mignonne, pour que les gaillard de l'avenue, les loups du quartier et les intempéries ne ravissent pas cette plante.

Quand la prière prenait fin, j'ouvrais mes yeux, elle s'enrouler sur soit même ma plante et se cacher sous la terre, je pleurais et avait envie de rester là des heures et d'écouler tout mon sommeil pour veiller avec. RnrnSur la portée du temps : nous marchâmesrnDans le chemin de la vie : Nous marchâmesrnDans la persévérance : Nous portâmes. RnrnSoudain, après des années de corvées pour cette plante, en ce beau jours d'automne, vacillent au tour de mon beau jardin, chantant les douces mélodies de la saison, à ma grande surprise et au grand étonnement paru de ma plante une fleur et après quelques poussières de seconde à ma vue, les autres fleures vinrent le jour des fleures des bonnes augures et d'une odeur irrésistible, une odeur qui faisait beau vent et bonne air dans ma parcelle. RnrnJe savais qu'elle était porte bonheur et faisait de moi un petit étoiles car dans les quatre horizons de la terre une fleures semblable à la mienne n'exister pas, une lune seulement suffisait et ma chère Catherine reine d'Angleterre, fut attirer par l'odeur dominante de mes fleur et vint me rendre visite.

Je n'avait jamais imaginé qu'une principauté visite un chevalier mais les fleurs sont la plus grandes distraction des grands seigneurs, je fit une table semblable à son rang, je ne voulait pas que la reine Catherine se désintéresse, unes tables pleines des pommes, des poèmes mais aussi des fleurs pour la reine qui s'était invité en laissant place à ses narines à l'odeur sympathisant de mes fleurs, à ce beau parfum d'amours. RnrnAussitôt installé dans ma table, elle afficha un beau sourire qui fit endormir mes eux et avec étonnement surgit soudain : "O chevalier, bon artisan que beau fleur !" et je répliquais : "pour ton ombre ta majesté ma reine" Et aussitôt elle éclata de rire d'un grand sourire d'amour, je ne voulais pas surtout aller à la conquête du cœur du roi mais je volais plaire à sir reine.

Mais hélas la reine Catherine posa ses doit dans mes fleurs, les caressas et le fit passer tout au près de son cœur, O elle mourait d'amour ma reine !
Elle vivait une grande passion ma reine et c'était la distraction des grands seigneurs, elle chantait pour mes fleurs, dansait la salsa et ce courant d'amour terrassait peu à peu mon cœur et je ne cessais de demander à la reine ce qu'elle voulait au juste. RnrnQuelques poussières des minutes, elle m'invita à danser avec la salsa, je ne savais aucun pas et elle fit mon professeur, mais que veut au juste la reine ? Dans ses lèvres elle chantait les vielles disque de l'époque qu'elle avait emmené avec, c'était un coup bien préparer, dansant elle prenait les fleurs, rapprochait de son nez et respirer la belle odeur d'amour, je trainer quelques fleurs dans son coup et elle refermé ses yeux, O la reine Catherine mourait d'amour ! Les fleurs étaient sa passion. RnrnAprès quelques heures d'auto royauté, les gardes de corps du roi vinrent ravir Catherine, elle pleurait et ses eux était toutes roses, O ma Catherine ! Elle pleur, son cœur coule ! Elle me prit aussitôt dans ses bras et me dit qu'elle ne voulait pas partir, elle dit qu'elle voulait dormir sur un lit de fleurs, et moi non plus voulais qu'elle s'en aille, les gardes du roi vinrent la suppliée, que mystérieuse journée ! C'était mon cœur qui s'en allait avec, elle prit des fleurs et se remit de ses pleurs, elle le sillonna aux alentours de mon oreille gauche et y lit des mots.

O Catherine aime les fleurs ! RnrnEnfin elle s'en aller, elle décidait d'aller revoir son prince charmant, je plantais alors sur sa belle coiffure mes fleurs qui faisait d'elle une charmante reine et d'elle un beau parfum, elle inclina soudain sa tête et me fit un salut royal, elle ouvrit la porte et s'en allas tout en courant, elle ne voulait pas s'en aller ma Catherine. RnrnJe la voyais courir et ses pieds laissait trainer de la poussière d'amour et son ombre me fit un dessin d'amoure elle disparut, les amis du village vinrent me voir et les journaux écrivirent que la reine avait visité un chevalier.

Revenant dans mon salon, je trouvais sa photo cloués sur mon tapis, je pensais qu'elle avait fait tomber par émotion, mais derrière cette photo elle gravait quelques mots, elle disait : "Chevallier, de toute ma royauté et toute ma brillance de reine, je n'avait trouvait aucun qui puisse émouvoir mon cœur que tes fleurs et son odeur qui m'appela, je dirais au roi que j'ai découvert un autre royaume, un royaume où l'amour fait la couler, où les gendarmes sont les fleurs, douces fleurs d'automne... " O ma reine Catherine ! RnrnJe fis alors toutes sortes de remerciement à cette plante qui me fit ces beaux fleurs, je savais qu'elles étaient un destin pour moi, je la nourrissais à sa juste faim.

A la levée du grand matin, le village se lever avec pleurs et cris, la gardes du roi avait envahi ma maison, ils ont dit que j'étais appelé à faire la prison, un chevalier qui tomba ans l'amour d'une reine et un amour qui le fit emprisonner, je fis alors transporter jusqu'à la cour du roi et ma comparution devant le roi se fit avec émotion. Rnrnje voyait Catherine assit au côté de son prince charmant sûrement qu'elle fit sa promesse, assit au regard d'une accusée dans une maison semblable à une cour de cassation, le roi était rugissant comme un jeune lion à sa gauche les juges du palais, je dis alors à la garde du roi si je venait payer le prix de l'amour détourné d'une reine, c'était sans réponses la garde était gonflante et d'une air très fâcheux.

Je me suis approchait du roi et le juge me dit que je n'avais droit à ne rien raconter au risque d'être mise à mort par le roi, il dit aussi que je devais me laisser guider par la seule colère du roi, le roi fixa alors regard à sa garde et l'un des officiers m'approcha, me lie les mains t m'amena vivre ma prison, c'est tout ce que je méritait car à chacun suffit sa peine, je pleurais et regrettait mes fleurs, pas mis en prison mais en cage comme un petit sanglier d'Afrique.

Le lendemain une garde de la cour m'approcha, je me dis du coup que je devais être mis à mort car le silence d'un roi est plus dévastatrice que le calme de la nature, une lettre me fit remit par la garde et je me dis que c'était l'ordre d'exécution car un seigneur n'hausse pas en vain sa plume. RnrnMais hélas c'était les écrit de Catherine, elle disait qu'elle se priver de ma visite mais me promis de rendre soin de mes fleurs, elle dit qu'elle se battrait de sa noblesse pour obtenir ma libération et qu'elle continuerait à nourrir de mon amour.
Quelques trois semaines perdues en prison, au réveil d'un grand jour des ordonnances royal, le roi fit une ordonnance qui consisté en un transfert des prisonnier de la cours vers provinces militaires du royaume, des cargos militaires vinrent à l'immédiat et tous nous fûmes transportés en destination d'autres bases de détention, et quand les cargos arrivèrent hélas dans ma province.
Un officier de la cour descendit et m'appela par le numéro d'ordre du badge que je portais et m'informa que la reine Catherine avait payé ma prison à l'insu du roi, O ma Catherine ! La reine qui mourait des fleurs ! A l'immédiat je fus relâché et reprit le chemin de ma petite maison bleu. RnrnQuand je fis mes pas dans ma parcelle, je retrouver aussitôt mon jardin, mes fleures était en parfaite santé, mes plantes affichèrent une grande émotion en me revoyant, dans ma maison tout était ranger comme si j'y vivais toujours, dans ma maison des beaux lustre se serait ajouté et face à moi une reine qui mourait d'amour, O que mon cœur se réjouit de toi Catherine ! Je suis tomber dans ses bras et elle m'as couvert d'un drap des fleurs, ma Catherine avait une passion pour les fleurs et tardivement elle s'en allait je plantais sur sa tête des fleurs, les abeilles entourait sa tête et faisait d'elle une belle couronne de reine, qu'elle veille sur la pression de l'air ma reine, O qu'elle faisait belle ma reine ! RnrnQuand je me rendais au super marché préparer ses pommes du soir, acheter ses vertiges d'amour, son beau vin d'automne, je posais sur sa tête une cage faites des barbelés, que je fermer à double tour pour que personne ne dérobent ces fleurs, qui appela ma reine depuis sa cour.

Le pomme tomber, les pommes et salades de la reine était au rendez-vous mais j'oublier d'apprêter ses fleurs, aussitôt elle arriva ma douce reine, O qu'elle était rayonnante ! Ce ne pas moi qu'elle fixa regard en premier mais à ma table qui ressemblait à celle de la cour, elle couru vite dans mon jardin avec ses talons dame, elle embrassa mes fleurs et y dit des mots que je n'entendais pas, elle cueillait quelques unes, l'amour la coulée pleins yeux.

O mes fleurs ! RnCes merveilles ne fleuris que dans mon jardin et ma reine trouvait sa part. RnrnUn jour hélas, la saison était passée, automne avait fini et emporta avec ma saison, faisant un tour dans mon jardins, à ma bouche les vielles mélodies d'automnes, mais malheurs toutes mes fleurs étaient à terre et avaient fanée, ma plante ne transportée à elle plus aucune charge, quelle vent de malheur, O pénible blessures ! Catherine aime les fleurs ! RnrnJ'ai vite courus au jardin botanique à la recherche de quelques unes de ce type mais je n'en trouvais point, je me rendis au super marché et prit ses pommes et salades.
Faisant un tour dans mon jardin, Catherine ne sentit lus aucune odeur, ce beau parfum d'automne n'existait plus, elle faisait un pas et s'arrêter après, elle était chancelante, d'une air un peu faiblis. RnElle comprit simplement que la saison était passée, elle sortit alors son calepins, tiras une feuillette en elle sortit sa plumes et son encre et écrivit : "je brillerais dans tes yeux qu'à la prochaine floraison", elle tourna et reparti, je voyais son ombre disparaître, je lui avais suivis et hélas je perdu ses traces.
O ma Catherine ! Elle s'est dit peut être que j'ai offert à une autre son beau parfum d'amour, O ma brillante Catherine ! N'as-tu pas crut à l'amour ! Je te rêverais pour te dire que ces pommes, ces fleurs, ces poème sont à toi ? J'arrêtais ce jour d'être le héros chevalier.

Parce que l'amour n'attend pas le nombre d'année, le soir je suis aller rendre visite à Catherine dans la cour, ce soir je voulais un tête-à-tête avec le roi, arriver dans la cour, on me conduisit dans l'immeuble de Catherine, au premier niveau je voyais des pleurs et des cris d'malheurs, au deuxième niveau c'était la garde de la cour qui enquêter, et au troisième niveau se trouva hélas, une Catherine pendu, le sang trainer de partout, elle était morte ma reine, O Catherine ! O Catherine, la ville a-t-elle des saisons prochaines ! RnQuelle testament m'a tu laissée ma Catherine, tu m'a laissait lire ton amour dans mes fleurs, Catherine la lune brille bien mais le ciel ne serais pas autant éclairer sans les étoiles. RnrnCatherine a blessée mon cœurr. Catherine aimais les fleuresrnCatherine mourait d'une passion mais, Elle disparut.

richie. Ronsard@gmail. Com, Richie Ronsard

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