Messages | Nouvelle branche de discussion | Répondre | Rechercher | | Sodomie : ... et si on essayait ? Posté par spy le 02/07/2016 00:00:13 | Sodomie : et si on essayait ?
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Sodomie : une prise de pouvoir sur l'autre
Sodomie : un plaisir aussi féminin
Sodomie : une prise de pouvoir sur l'autre
Plus d'une femme sur deux avoue s'être prêtée à l'expérience...
mais la grande majorité affirme ne pas avoir aimé l'expérience.
Si la sodomie demeure l'un des plus grands fantasmes de nos hommes, les femmes aussi peuvent y trouver du plaisir.
Selon un sondage Ifop, elle 2004, 66 % des Françaises avoueraient s’être prêtées à l’expérience mais la grande majorité d’entre elles affirment ne pas avoir aimé. Seulement 6% des femmes interrogées auraient reconnu avoir eu un orgasme lors d’un rapport anal.
Pourtant, la sodomie figure en bonne place dans la liste des fantasmes masculins , notamment chez les jeunes hommes.
S’y refuser peut finir par poser problème dans un couple ! Comment aborder les choses sereinement ?
La première étape consiste à dépasser le tabou de l’interdit de l’ homosexualité .
La seconde, à accepter le principe qui attire les hommes vers cette pratique : la domination et la possession.
Sans tomber dans le sado-maso, la sodomie reste un acte sexuel à connotation brutale, vécu comme une prise de pouvoir sur l’autre.
Certains hommes la pratiquent aussi simplement pour le plaisir provoqué par un passage étroit qui décuple les sensations.
Dans ce cas, l’acte, moins traumatisant psychologiquement, n’en demeure pas moins difficile à vivre sur le plan physique. Beaucoup de femmes, quoique réticentes au départ sont parfois prêtes à tenter l’expérience. Mais en général, celle-ci tourne court en quelques secondes pour cause de douleurs intolérables.
Ce qui a le chic de jeter un froid sur les réjouissances. Et sur les relations – sexuelles et autres - du couple.
Une zone sensible
La zone anale est très sensible à toute stimulation car elle est très innervée et elle dispose par ailleurs d’une multitude de récepteurs superficiels cutanés.
La stimulation peut être douloureuse ou agréable, tout dépend de la technique employée. Pour mettre toutes les chances de son côté, il faut connaître un minimum l’anatomie des lieux :
Quelques centimètres après l’orifice de l’anus, se trouve une zone érogène , aussi bien chez l’homme que chez la femme.
La seule solution pour forcer le passage, c’est d’apprivoiser cette zone.
Donc, contrairement au fantasme masculin d’une sodomie brutale en deux coups de reins, il va falloir que monsieur soigne les préliminaires .
Un plaisir aussi féminin
Cette pratique sexuelle est souvent perçue comme étant la réalisation d’un fantasme masculin. Mais pour les femmes aussi, le plaisir peut être au rendez-vous.
=/=Seules interdictions absolues :
des hémorroïdes et des antécédents de fissure anale.
Ainsi qu’une pénétration vaginale ou une fellation ensuite, au risque de contracter une MST.
Etroit et contracté, l’anus ne cèdera que dans le feu de la passion.
Autant dire qu’on ne peut pas programmer un rapide 5 à 7 la première fois. !!!
Pour qu’une femme s’ouvre à cette pratique, il faudra miser sur des baisers langoureux , des mots tendres, un clitoris mis en feu par les doigts et la langue…
Au sommet de l’excitation, mais encore dans l’attente d’un ultime seuil à atteindre, la femme peut alors envisager de se prêter à ce nouveau jeu sexuel, à l’aide d’un gel lubrifiant qui doit devenir un outil de plaisir pendant les préliminaires, sur toute la zone génitale.
Petit à petit, l’amoureux taquinera l’éden convoité au doigt ou avec un sex-toy adapté (pour les plus branchés), en faisant des allers et retours entre la vulve et l’anus, afin de maintenir vive l’excitation de sa partenaire qui, petit à petit, se "lâchera" .
Une position intermédiaire
Une fois l’anus dilaté, pas question d’y aller à la hussarde. L’amoureux devra lui aussi s’enduire de gel lubrifiant sans trop insister pour éviter les "glissades".
Reste à trouver la position qui rendra la pénétration la moins douloureuse possible.
Sa partenaire peut se mettre accroupie sur le lit, les reins cambrés.
Cette position implique psychologiquement que son amant la pénètre en force tandis qu’elle se montre consentante.
Ou alors, elle peut se redresser sur les genoux et venir s’empaler d’elle-même petit à petit sur le sexe de son amant.
Cette position présente l’avantage d’être moins traumatisante, physiquement et psychologiquement, pour elle.
Mais elle a l’inconvénient d’être beaucoup moins gratifiante pour le fantasme de son partenaire !
Cela peut néanmoins représenter une étape d’initiation avant que la femme ne se sente prête à aller plus loin, plus fort…
Modifié le 02/07/2016 00:08:42 |
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