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Premiers émois
Posté par spy le 25/08/2020 23:04:36
Premiers émois
Ma défloration et autres mignardises (I)

par Myriam Brunot

Myriam Brunot, Ma défloration et autres mignardises, I, Récits érotiques,



Premiers émois
À douze ans, j’étais encore pucelle. Je passais des vacances avec ma cousine Rachel. Une grande brune de dix-neuf ans.
Ses seins fermes toujours nus, tétons pointés en éclaireurs, sous des tee-shirts légers et les touffes noires sous ses aisselles me fascinaient.
J’avais hâte d’être comme elle, regardée dans la rue par tous les hommes, et aussi par les femmes, envieuses et jalouses.
Soucieuse de "moralité", sa mère l’empêchait autant qu’elle pouvait de rencontrer des garçons, sans penser que Rachel se plaisait avec des filles.
Rachel s’amusait avec moi comme avec une grande poupée.
Elle me caressait pendant nos longues siestes. Elle se branlait sous mes yeux.
Elle m’a montré comment je pouvais lui donner du plaisir. Je fouinais à travers les poils noirs de son buisson touffu, émerveillée de découvrir le bout rose de son clitoris et les pétales soyeux de ses nymphes (comme on dit savamment).

Ma chatte était lisse comme un gros abricot bien mûr.
Rachel aimait par-dessus tout me pinçoter le clito après m’avoir fait boire de grands bols de thé vert glacé.
Elle m’empêchait d’aller pisser. Ses caresses appuyées me faisaient d’abord oublier mon envie, mais je ne pouvais pas me retenir indéfiniment, et ma jouissance s’accompagnait d’un grand jet, clair comme de l’eau pure.
Rachel se plaçait de manière à se faire arroser le ventre et les cuisses.

Elle s’amusait aussi à pisser sur moi, sur mes seins qui commençaient tout juste à prendre forme, sur mon ventre, dans mon cou (elle me tenait les poignets fortement serrés) et faisait mine, pour me voir protester, de viser ma bouche, mais je gardais les lèvres bien serrées.
Elle me faisait glisser plusieurs doigts dans sa fente gluante, frottait sa chatte à ma cuisse, et ses tétons bandés à ma poitrine d’adolescente.

Nous avons fait la connaissance d’un voisin, Victor, un garçon de mon âge, timide mais qui lorgnait avec envie sans s’en cacher les beaux seins de Rachel.
Il s’ennuyait dans le jardin à deux maisons de la nôtre. Rachel l’a invité à goûter. C’était un prétexte pour voir s’il méritait quelque intérêt. Le lendemain il regardait nos jeux (sans pipi).
Cette vicieuse l’autorisait à lui caresser les cuisses, mais rien d’autre. Elle me branlait dans mon slip, sans montrer ma chatte à Victor. Il transpirait, ses joues étaient rouges. Rachel : « Regarde comme ça lui plaît à Myriam ! ».
La gorge de Victor n’émettait aucun son, ma jouissance n’en était que plus forte. J’étais émue, moi aussi par cette expérience nouvelle, mais je laissais Rachel tout diriger.
Par moments, elle lui tâtait le sexe à travers le short : « Il bande bien ce p’tit gars ! »

Le lendemain, Rachel a inventé un autre jeu. Victor et moi, culs nus, les yeux bandés, pouvions nous caresser à volonté.
Pour la première fois, j’ai tenu en main une bite raide et tripoté des couilles , petites et sans poils.
Rachel : « Mouille ta main de salive pour que ça glisse mieux. » Victor me caressait fébrilement, de façon brouillonne les cuisses et les fesses ; il frottait deux doigts entre mes lèvres visqueuses et m’écrasait le clitoris. Les caresses de Rachel, c’était bien autre chose, mais la situation nouvelle et imprévue était encore plus excitante.
Rachel : « N’enfonce pas tes doigts, elle est vierge. » Victor a cherché à pénétrer mon trou arrière, mais je m’y suis opposée. Il m’aurait sali la chatte et ma mère m’avait mise en garde contre les infections urinaires. Il s’est contenté de me pétrir les fesses. Son sperme a giclé brusquement sur ma cuisse et poissé ma main. « Goûte, c’est plein de vitamines ». C’était âcre. J’ai fait la grimace. Rachel a éclaté de rire. « Tu devras t’y faire ! »

Le lendemain, elle a emmené Victor dans sa chambre. Je suis restée seule à me branler tristement. Le soleil était brûlant et le silence terrifiant, comme si la chaleur implacable avait tué toute vie. J’ai pensé un moment à me suicider.


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