L'être aimé Posté par chrichridamour le 18/01/2005 00:01:42
Tout commença peut avant les fêtes de fin d'année...
Ce soir la, le collège de sainte Laffont organisait le traditionnel concert de Noël, et pour la énième fois Patrick y assista.
Patrick était en 3ème malgré ses 13 ans, cette adolescent relativement envelopper avait cependant une intelligence hors de la moyenne, se qui ne l'empêcher point d'être apprécier de tous ses camarades.
Ce soir là, tout était on ne peut plus habituelle, c'est-à-dire ennuyeux. Patrick senta les lourdes ailes de la fatigue se posait délicatement sur ses paupières, cependant quelque chose le réveilla, un son aigu provenant du fin fond de la salle, une jeune fille c'était mise à pleurer réveillant par la même occasion une bonne partie du public. Patrick se tourna, et là, fut émerveiller, un jeune élève, certainement en classe de 6ème, attirai son regard, il ne savait pas pourquoi mais il avait besoin de le connaitre. Durant toute la période du concert, Patrick ne cessa de se retourner pour admirer l'ange qui se tenait juste derrière son être.
Le commencement
Le collège de sainte Laffont était un collège privé sous contrat d'association non loin de la ville de Paris, de part son coût élevé et de sa sélection drastique seule une certaine élite pouvait se venter d'y être étudiant.
Patrick à partir de ce jour, ne cessa de penser à ce jeune 6ème dont il ne savait rien, ce qui lui valu le redoublement de sa classe de 3ème et la foudre de ses parents.
Le jour de la cérémonie de fin d'année arriva à une vitesse presque cruelle, les meilleures élèves allaient être récompensés et Patrick n'avait toujours pas fait la connaissance de ce jeune inconnu. Dés la fin de la cérémonie il se hâta à sa recherche et fini par le trouver. Machinalement ils échangèrent quelques paroles, et leurs numéros de téléphone comme s'ils se connaissaient depuis toujours, se promirent de se revoir pendant les vacances et garder contact, se qu'ils firent avec prestance.
James n'avait que 11 ans à cette époque et faisait face à de difficiles problèmes familiaux et d'intégrations, il n'avait jamais connu le besoins et avait toujours eu se qu'il désirait, à part le bien le plus précieux au monde : L'amour.
Patrick se mis sérieusement à pratiquer le sport, devenant de plus en plus maigre chaque mois et finis par atteindre la taille idéale et devenir un beau jeune homme. Au cours de l'année, les 2 garçons étaient devenus inséparables. Il ne pouvait se passer une heure sans que l'un ne donne de nouvelle à l'autre et leur relation était devenue connue de tous... Patrick et James étaient devenus des frères, une amitié inébranlable que personnes n'osaient réellement déranger.
La souffrance
La mère de James adorait Patrick comme son propre fils, elle n'avait jamais pus comprendre l'amour que se portaient ses 2 jeunes êtres malgré leur différence d'âges de 2 ans.
Patrick avait maintenant 15 ans en classe de 2nd es et James 13 en 4ème, ils consacraient leurs week-ends au shopping et au cinéma, mais cela n'était qu'un prétexte pour pouvoir rester ensemble.
James entra petit à petit dans sa phase adolescente, d'où le rejet de sa propre personne et de ses parents, la mère inquiète ne cessa d'interroger Patrick sur le fait que sont fils deviennait différents, et Patrick lui répondait que tout était normal. James se mis à fumé une certaine drogue : le shit. Il commença petit à petit, et finis par prendre des doses plus conséquentes. Patrick inquiet n'osait pas en parler à son meilleure ami et continua de vivre comme si de rien n'était avec un énorme fardeau sur le cœur : l'être qu'il aimait le plus au monde était entrain de se détruire. Le samedi 21 décembre 2003, Patrick se décida à appeler James pour lui proposer de venir passer le réveillon ensemble, mais le téléphone ne répondait pas. Il se hâta alors de passer chez se dernier dans les beaux quartiers de Paris pour en faire la demande. Sur la route il s'arrêta au coin d'une rue, en face étaient présent une ambulance et un amas de personnes constituant un demi-cercle ayant pour diamètre l'ambulance elle-même. Ne voulant perdre de temps il continua son trajet jusqu'à destination. Il monta deux à deux les marches de l'escalier et frappa enfin à la porte. Elle s'ouvrit, la mère prête à sortir le regarda d'un air grave et lui dit : "viens avec moi Patrick", il n'osa posai aucune questions et suivit la mère de son ami sans un mot. Ils prirent la voiture et suivirent un chemin familier, celui de l'hôpital. Patrick soudain, voyant les larmes de sa conductrice coulait compris se qu'il venait de se passer. Il était 18h25 lorsqu'ils arrivèrent aux urgences, le ciel sombre ne laissait transparaître aucuns astres. Â l'accueil, la prononciation du nom de son ami le laissa de marbre. "Oui madame, ce jeune homme viens d'être transféré au bloc opératoire, je vous pris de patienter dans la salle d'attente un médecin viendra vous rendre visite au plus vite". Elle faisait à présent les cents pas dans la salle d'attente, 1 heure passa avant que le père les rejoignit. Patrick plein d'espérance se disait qu'il n'y avait rien de grave, un petit accident aurait pu arrivai à tout le monde, mais qu'est-ce qu'était le "bloc opératoire" ?
Le médecin arriva finalement, et expliqua la situation : le cas était critique, les chances de le sauver étaient maigres, James reposait dans un comas profond.
 ce moment je revis tous les moments de ma vie que j'avais passés avec lui... ... Je me mis dans un coin de la pièce et déversa toute les larmes de mon corps... Je ne ressentais plus l'envie de vivre sur cette terre et les seules pensées qui me venaient en tête étaient celle de mon ami exprimant ses sentiments. Je ne dormis pas de la nuit. Vers 6heures du matin le médecin revint voir les parents de James et à ce moment, la mère s'effondra en larme, soutenus par le père, priant qu'on lui ramène son fils...
La délivrance
Tout alla si vite, je me rappelle avoir courus dans l'hôpital de toutes mes forces, entra dans la première pièce que je vis et m'empara du premier outil tranchant que je pus trouver, se fut un scalpelle... Me coupa les veines de la main gauche... Je n'avait plus aucune raison d'exister...
2 jours après je me retrouvai dans un lit de ce même hôpital avec au niveau de mes pieds ma mère, me regardant ouvrir les yeux avec une expression de bonheur toute fois génée (en effet aprés une dispute je ne l'avais pas revus depuis 3 mois). Les parents de James m'avaient déposés une lettre au pied du lit, de ces mots je m'en souviendrai toute ma vie : "Christophe, je suis navrée de l'épreuves que tu as eu à affronter, nous nous excusons aux prés de tes parents de t'avoir causés tant d'ennuis... Nous esperons te voir dés ton rétablissement... " et en bas de la lettre tout à droite (on pouvait également y deviner quelque traces de goutelettes d'eau, certainement des pleures) : "ce n'est pas se qu'aurais voulu James... " Des larmes se mirent à couler tout le long de mes joues, et le souvenir de mon ami, mon frère, ma raison de vivre qui venait de décédait me fit encore plus mal... Je ne le reverrais plus...
Après sont enterrement, je lui fit une promesse, celle de venir lui rendre visite le plus souvent possible, c'est à partir de là qu'a commencer ma déscente aux enfers...
Ma vie après
Ma vie n'était plus... Tout plaisirs en moi avaient disparus, je ne ressentais plus rien, aucune haine envers celui qui l'avait renversé avec sa voiture, aucune pitié pour qui qu'onc m'en demandait, j'étais devenus un fantôme errant, ne s'occupant plus de mes problèmes, de rien à part la tombe de mon ami... Je ne pourrais recompter le nombre d'heures que j'ai passé en pleurant devant sa tombe, le plus souvent en séchant les cours... Je m'étais fait expulser de plusieurs lycées et maintenant je me retrouve dans un lycée privé au bord de paris... Aujourd'hui je tente de reconstruire ma vie mais je refuse toute aide de qui qu'onc ose me la proposer ...
Où je veux en venir
Ainsi la vie est faite d'obstacles à surmonter, que vous soyez, jeunes vieux, sourds, non-voyants, il faudra les surmontés. Pour moi James représentait se que j'avais de plus cher au monde au-delà de ma propre vie... J'ai appris qu'il avait fumait de la drogue avant sa mort, du jour au lendemain j'ai tout arrêté... Mon mal aise s'est continué de plus en plus intensément... Maintenant il m'arrive souvent de regarder les étoiles en ne faisant que penser à lui, je retourne au moins 1 fois par semaines me recueillir sur sa tombe, ne pouvant m'empêcher de pleurer en pensant à lui. Je passe énormément de temps avec ses parents sinon je restes dans ma chambre, allongés sur mon lit, lumière éteinte, en écoutant de la musique douce et reposante, laissant parfois échapper quelques larmes de désespoirs... Jamais je ne ferais réellement son deuil...
"Le moyen d'aimer une chose est de se dire qu'on pourrait la perdre" (C. K. CHESTERON), ou même à l'image de ce proverbe italien : "L'amour fait passer le temps, le temps fait passer l'amour..." je pourrais dire que le temps est l'un de nos plus effrayants obstacles... Celui que l'on ne peut franchir...
Re: L'être aimé Posté par raz le 18/01/2005 17:09:43
J'ai pas lu l'article mais j'ai vu "je me coupa", les veines sans doute, c'est tellement peu répandu.
DU SANG et des TRIPES ouaiiiis ! DU SUICIDE, de la DÉPRIME, j'en veux encore !
Re: l'être aimé Posté par donna987 le 18/01/2005 19:31:52
pff, voilà les basses critiques sur un article magnifique. Qui ne fait jamais de fautes ? Personne, alors chut ! Quand un article est généralement bien écrit, sans qu'il y ait une faute à chaque mot, je pense qu'on peut éviter de relever le petit détail..
raz ==> que serait un article témoignant d'une douleur sans tes sarcasmes ? Tu ne peux pas parfois juste penser, et ne pas faire ce genre de remarques inutiles ?
Pour ma part, je considère cet article comme plutôt bon, bien écrit, belle histoire, ... ( tu remarqueras raz les "...", à bon entendeur, salut. )
Re: L'être aimé Posté par erenesse le 18/01/2005 19:40:19
basses critiques, oui...
raz, là, quand même... je t'aime, mais faut pas exagérer, t'as pas lu l'article, le critique pas comme ça...
Enfin... quand à l'article lui-meme... je n'ai rien à ajouter... trop simple, trop beau...
Le coup du "je suis un surdoué", faut pas pousser, et faire attention à l'orthographe... voili voilà, c ya!
Re: L'être aimé Posté par isuki le 18/01/2005 19:41:48
Tout à fait d'accord avec donna987
Lisez l'article pour comprendre l'intérieur et arrêtez de regarder que l'extérieur.
Moi j'ai bien aimé l'article, plutot bien écrit.
Bon courgage bisouxx
Re: l'être aimé Posté par raz le 18/01/2005 19:57:12
Alors sans lire l'article je vous prédis déjà que ça va parler de mec, d'amour niais, de déception amoureuse puis de mort, puis de déprime et de suicide. Les gens vont croire que c'est bien écris car y aura des mots compliqués qu'on retrouve partout et enfin ça va être "émouvant" parce que ça parlera de sentiment et tout ça, enfin bref c'est trop beau, trop original, trop trop trop.
Je le lis puis j'édite mon post pour vous faire part de mes remarques post-lecture.
edit : Bon, je me suis trompé, c'est une histoire gay, -1
Sinon les gogos trouveront ça émouvant, +1
La phrase qui m'a fait le plus rire "je revis tous les moments de ma vie que j'avais passés avec lui... <larmes>" c'est drôle parce que ça fait un peu "=> chialez ici <= mon texte c'est pas de la rigolade et en plus il est bien écrit 'tention !" +1
Y a une tentative de suicide hélas brève, t'aurais pu détaillé plus sur le sang qui gicle et tout ça
"Le collège de sainte Laffont était un collège privé sous contrat d'association non loin de la ville de Paris, de part son coût élevé et de sa sélection drastique seule une certaine élite pouvait se venter d'y être étudiant." ça fait un peu brochure pédagogique, j'ai rit +1.
Sinon question vocabulaire j'ai été déçu, pas de gros adverbes chocs genre "langoureusement" ou encore "ardemment". -1
trop beau, trop original, trop trop trop.
Re: L'être aimé Posté par chatwtk le 19/01/2005 10:13:48
Même si l'article comporte des erreurs d'orthographe et de grammaire, il reste très touchant. RAZ croit humilier l'auteur par ses propos mais ce qu'il ne comprend pas c'est que de ce fait c'est lui qui apparait complétement ridicule : tel un ado en mal d'amour, mal dans sa peau qui se régale à dire du mal de tout ce qu'il entend. Tout cela lui passera !! Je dis encore bravo à l'auteur pour son texte que je trouve avant tout touchant et c'est là son intérêt.
Re: l'être aimé Posté par flougaussien le 19/01/2005 13:13:42
Bravo pour cette histoire. Plein de fautes d'orthographe, mais une grande sensibilité. Et c'est assez pudique. C'est simple. C'est beau.
Raz méchant. Bouh. Critique les chansons de Star Académy, car il n'y a aucun fond, mais là, ce qui est écrit vient du coeur. Le gars est triste, il veut transmettre ses émotions. C'est beau, tu trouves pas ?
Re: L'être aimé Posté par mysthique le 19/01/2005 14:26:50
En ce qui me concerne j'ai bien aimé cet article, il est bien écrit, il est beau.
Je trouve que certains commentaires sont inutiles, même si je ne connais pas la personne, je pense qu'elle se reconnaîtra. Si elle n'aime pas l'article elle n'est pas obliger de le critiquer méchamment en se moquant, c'est un peu immature à mon goût et à quoi bon mettre tes commentaires, vu que l'on sait d'avance ce que tu en penses ?
Totalement inutile....
Re: l'être aimé Posté par maya_des_prés le 19/01/2005 21:34:27
désolée, je vais devoir rajouter des critiques. C'est une histoire émouvante, tirée d'une histoire vraie et tout et tout. Pas de problème du côté du fond. Mais bon, dans la forme je pense que ça manque un peu de crédibilité. Déjà, patrick au début se transforme en christophe à la fin. Ensuite des fautes d'orthographe, pas beaucoup d'après certains, mais franchement, c'est pratiquement à tous les mots. Des fautes de temps, les passés simples sont sérieusement à revoir (par exemple je me coupa, j'entra), des fautes d'accord (habitude+passé simple au lieu d'imparfait etc), les accords au féminin pour des mots masculins etc. Eh puis quelques lourdeurs de style genre lourdes ailes du sommeil. J'ai vraiment pas envie de faire ma relou, intello, fan de français et de grammaire mais c'est juste que c'est dommage parce que l'histoire est belle mais du coup elle manque de crédibilité (sudoué avec ces fautes?!) et puis c'est sincérement dur de lire une histoire ou on bute toutes les 5 sec sur un faute. Je vous adresse mes plus humbles excuses et je serai maudite pendant 20 générations dans vos petits coeurs pour ce commentaire mais c'est ce que je pense, il en faudrait peu pour améliorer ce texte. (raz, vilain, on ne parle pas sans connaitre, c'est pas bien, je propose une autoflagellation, ça t'apprendra à faire du jugement hatif).
Re: L'être aimé Posté par chrichridamour le 21/01/2005 20:18:23
bien..... merci ca me touche.......
Je suis desoler pour les fotes d'orthographes car a ce ke g pu voir ca a fait reagir pas mal de monde (pour ne citer personne).... je v tenter de lui enlever ces petits defaults meme si lors de l'ecriture ce n'etait pas mon intention premiere....
Donc merci a tout le monde, egalement au critikes (meme si parfois ont aimerait les voir ailleur) enfin ca fait kan meme kelke chose sachant ke lon na pas ecris son article sur la forme mais plutot sur le contennus........................... et merci egalement au message de soutient......
Re: L'être aimé Posté par chrichridamour le 21/01/2005 20:23:14
maya_des_prés : je suis desoler pour cette incomprehension, peut etre ke c mal exprimer mais le debut commence a la 3eme personne et avec le prenom de patrick pour raconter une histoire anodine..... plus l'histoire avance plus je recentre le sujet sur le narrateur au point d'en donner son nom au texte..... c'est comme un entonoir, tu part de kelke chose d'ouvert de grand pour te retrouver petit a petit sur un cas personnel, plus petit, mais toujours aussi anodin...
Re: L'être aimé Posté par lil'dédé le 29/01/2005 21:02:52
moi je pense que vous faites beaucoup de chichis pour rien!l'important c'est ce qu'il a à dire, laissez-le dire ce qu'il a sur le coeur en paix!vous ne pouvez tout de même pas le condamner pour une mauvaise orthographe!les plus grands écrivains sont nuls a chier en orthographe....c'est un beau témoignage, qui mérite d'être traité ac respect!En tout cas j'espère que tu reprends peu à peu gout à la vie, car c'est le plus beau cadeau qu'on ait put t'offrir, alors profites-en tant que tu le peux encore... poutoux à toi