Lolita-casting Posté par astrophyllum le 09/06/2006 00:00:51
Elle balayait de son regard d'immenses ombres projetées dans la vapeur du matin. Rien n'était laissé au hasard. Elle déguisait le présent reflet dans ses yeux en un sentiment mouillé d'espoir. Il fut récompensé. Là où commençait l'histoire peu commune d'une déesse improvisée. Sur un bâteau fendant le vague désir d'aborder bientôt, elle se tenait sur le pont, son visage ambré encore par une matinée aux couleurs délicates. Je l'abordais déjà de mon regard indiscret. Elle portait sur elle le juste nécessaire pour couvrir sa poitrine turgescente. Je m'empressais de la découvrir dans la lumière pâle, impatient. Une jupe fendue que tu portais se prolongeait dans ta fente, porte à ouvrir au bonheur suprême. Etourdi, mon coeur s'emballa, mes jambes tremblaient des caresses du vent sur ton corps à demi nu. Tu le savais. Rien ne pourrait être comme avant. Un homme inondait tout ton être du plaisir qui émanait de lui. Sa délivrance t'envahissait.
L'empire des sens
Le drap de brume s'estompait lent et voltigeur. Ma main, désireuse enfin de palper l'inconnue. Cette très jeune femme presquencore une enfant, lissait ses lèvres de ses doigts, impatiente de connaître un premier baiser. Cette douce venue d'un paradis, m'ensorcelait. Je ne pouvais calmer mes désirs empressés. Bientôt le matin blème se métamorphosait en chaleur torride. Je sentais monter en moi l'explosion de mes instincts. Tu baissas la tête. Ma main se tendit vers toi, vers ton innocence improvisée. Je m'émerveillais. Là, immobile et coquine, tu rayonnais. Fasciné par ta beauté, les yeux écarquillés, mon âme t'appela sublime. Guidé par une effervescence aboutie, je m'inclinais devant une déesse de l'amour. Peinte dans les plus beaux paysages, la scène du baiser déployait ces détails flous d'actions enivrées.
L'envol simultané
Mes yeux se projetaient et tourbillonnaient autour de l'élue. Le bâteau battait les flots en cadence. Le corps parfait de la belle vibrait en accord. Dans son regard, un brin d'amour s'échappait et me prenait. Je la serrais très fort. Ses doigts crispés sur ma chair, d'une petite voix, elle émit un cri ! Et puis l'envol d'une mouette méconnue à l'approche du rivage. Voici l'histoire d'une douce caresse, apprivoisée par toi, jeune inconnue. Et la page se tourna...
Re: HA haha Posté par kmi888 le 25/06/2006 12:45:17
loool, non vraiment faut avoir l'idée... " Elle portait sur elle le juste nécessaire pour couvrir sa poitrine turgescente." "mon âme t'appela sublime" "l'envol d'une mouette méconnue"!!!!!!! Non c'est trop marrant! La mouette méconnue looooool (je suis actuellement en train de me faire pipi dessus)