Assise sur son balcon, Mme. Jones, veuve et mère de trois enfants, les trois, plus de quarante- deux ans, à présent, ce balançais doucement, de devant à en derrière, un tricots à la main. Elle repensait à sa vie, elle repensait à son mari qui du haut des cieux la regardait, elle en était sur. Elle repensait à comment ils s'étaient rencontré.
Un soir, elle était éblouissante, et lui, lui... Un vrai tombeur. Une soirée froide, elle se souvenait qu'il pleuvait. L'endroit ? À paris. Elle s'efforçais de trouver un taxi pour aller à une de ces soirées bon chic bon genre, qu'elle détestait tellement. Et puis cette homme très bien habillé lui aussi, s'approchât d'elle, levas la main, et comme par magie, un taxi s'arrêtât devant les yeux grand ouvert de la demoiselle. Le jeune homme s'empressa d'ouvrir la porte et de faire signe à la demoiselle d'entrer, que c'était son taxi. Aucun mot ne sortit de sa bouche grande ouverte. À défaut de pouvoir parler, elle s'assit dans le taxi, et tournas la tête en direction de cet homme mystérieux, leurs regards ce croisèrent, et puis elle fut frappé par un coup de foudre. Il refermât la porte du taxi sans la lâcher des yeux. Le taxi démarrât, leurs yeux toujours enlacé. Puis elle détournât la tête, déconcentré par une voix rauque, qui baragouinait une phrase qui n'avait aucun sens. Elle chuchota alors, une réponse.
Mme. Jones s'en souvenait comme si s'était hier, comme si toute sa vie avait tourné autour de ce seul soir.
La rose
Arrivé au banquet, elle ce cachât dans un coin, en espérant ce faire oublier. Mais quelque minute plus tard un homme vient lui demander de danser. Elle refusât. Puis un autre. Elle ne savait pas danser. Et encore un autre. Elle avait trop danser, elle avait mal au pieds. Et encore un. Elle ce levât. Cette fois elle était à sec d'excuses. Il pris sa main dans la sienne et ils valsèrent. Elle tourna, et soudain elle s'arrêta sec. Un homme accoudé contre le mur la regardait. L'homme du taxi. Son cœur commença à battre dans sa poitrine, de plus en plus vite. Elle s'approcha du jeune homme, il fit de même. Maintenant ils étaient face à face. Le rythme de la musique changea : un tango. Il prit la main de la jeune fille dans la sienne, un pas en avant, un pas en arrière. Ils étaient seule sur la piste. Les invités à défaut de pouvoir égalé ces jeunes gens, les regardèrent envieux. Des applaudissements ce firent entendre, mais les danseurs ne les entendirent même pas. Le jeune Homme s'éloigna un instant pour aller chercher une rose rouge sang, et la donna à sa cavalière. Depuis ils étaient devenus inséparable. Toujours ensemble. Toujours complices.
Mme. Jones aurait voulut revenir en arrière. Elle ce leva et allas dans le jardin. Elle y découpa une rose rouge sang avec le sécateur qu'elle avait apporté. Elle ce dit qu'elle irait plus tard voir son mari, dans son cimetière, et lui rendre sa rose.
Un sommeil paisible
Les amoureux sortirent ensemble pendant toutes les vacances, certaine fois ils s'embrassaient amoureusement, et d'autre ils ce jetaient à la gorge, l'un, l'autre. Un jours le jeune homme en eu assez, de ce jeu. Et pendant un dîner, en compagnie, d'un couple d'ami, dans un des restaurants le plus chic de la ville, il s'agenouillât devant sa bien aimée, et sortit une magnifique bague. Deux semaines plus ils donnèrent, une magnifique réception pour leur mariage.
Dans un petit lit, une vielle dame, une rose rouge sang à la main, semblait dormir paisiblement, sans tracas ni soucis. Elle était déjà toute froide. Trois jeunes adultes ce tenaient à coté d'elle. Une magnifique femme dit :
-On devrait enterré maman, à coté de papa. C'est ce qu'elle aurait voulut, non ?
Un homme plutôt élégant, répondit :
-C'est une excellente idée.
Le troisième personnage, un homme toujours, pris la parole à son tour :
- Et bien soit. Je suis sur qu'elle seras bien à coté de papa. Vous vous souvenez ? Ils s'aimaient tellement, qu'ils n'avaient pas besoin de mots pour ce comprendre.
La rose rouge qui ce trouvait dans la main droite de la Mme. Jones, tomba et vint s'écraser sur le plancher de la piece. Les trois personnages tournèrent la tête dans sa direction. La jeune femme dit soudain, rompant le silence :
-Ils sont ensemble à présent. |