Sorti de sa chambre somptueuse, il traversa le long couloir orné de tableaux excentriques, descendis les escaliers, ouvrit la superbe porte qu'il avait devant lui et s'en alla. Personne dans la rue ! Il faisait froid, et il n'avait pas apporté de manteau. Il venait de sortir de la riche et magnifique demeure de sa petite amie. Elle était riche Sally. Extrêmement riche. Elle allait à des banquets, à des balles, à des soirées où elle... Elle y faisait quoi déjà à ses soirées ? Sally le lui avait dit pourtant. Ca ne devait pas être important ! Sans réfléchir il commença à penser à ce qu'elle lui avait avoué il y a quelque minutes, juste avant qu'il parte en courant. Une larme coula le long de son nez pour venir s'écraser sur le sol. Il se passa la main dans les cheveux. Très vite ses pensées défilèrent à une vitesse folle dans sa tête. Il se faisait mener par cette fille, il c'était toujours fait mener par cette fille.
Il pris a droite, puis à gauche. S'arrêta devant un bar. Tournât la tête, réfléchit, avança de deux pas, puis finalement retournât sur ses pas et rentra dans le bar. Juste un verre. Toutes les tables étaient prises, il s'assit alors au comptoir, commanda une boisson. Puis se pris la tête entre les deux mains. Il était épuisé. La barman, posa un verre devant lui, et ce mit a parler ;
-Mauvaise soirée ?
-Vous ne pouvez pas savoir à quelle point !
-Dite moi ce qui vous tracasse, et je vous raconterez pire.
Il le lui dit.
-Vous avez de la chance que sa soit juste ça.
-Je sais.
-Combien de fois ?
-256 fois.
-Et vous ne vous êtes aperçus de rien ?
-N'en rajoutez pas.
-Je suis désolée.
Il tournas la tête vers la droite, puis vers la gauche, et fixa la jeune fille dans les yeux.
-Elle vient de passer la porte.
-Comment elle sait que vous êtes là ?
-je n'en sait rien, mais j'attendrait pas qu'elle vienne me l'expliquer.
Il se levas fit deux pas... Trop tard. Elle avait posé sa main sur son épaule.
-Que veux tu ?
-T'expliquer. Ce n'est pas de ma faute
-Je ne veut pas t'entendre. Tu aurais du me le dire.
-J'ai essayé, mais on m'en à empêcher.
-Qui ça le bon Dieu peut être ? Non je sait Satan c'est bien son genre. Il a fait ça à ma cousine.
-Ne dit pas n'importe quoi, Satan n'intervient que quand on à fait un crime.
-C'était du sarcasme.
-Ecoute je sais que tu es en colère, mais toi aussi tu l'a été 103 fois, alors tu sais ce que sais.
-Moi au moins je te l'ai dit.
-Mais tu t'attendais à quoi ? Que je ne le soit jamais ?
-Non mais au moins tu me le dit. D'accords, comment tu veux que je te le dise ; "chéri on m'à tué 256 fois, tu veux du lait avec tes céréales ?"