"L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton le 24/06/2007 00:10:01
C'est mon infirmière scolaire qui m'a annoncé que j'étais enceinte car c'est par son biais que j'avais contacté le planning familial. Je ne rappelais plus la date de mes dernières règles et plus le temps passait, plus l'angoisse de ne rien voir venir pesait sur mon estomac et sur celui de mon copain. C'est une angoisse terrible et qui s'accroit lorsque l'on y ajoute les cours, le stress des sollicitations extèrieures comme les activités sportives ou autres... Elle atteint son paroxisme lorsque l'on vous dit que pour avorter vous devez vous débrouiller seule. Contacter les hopitaux, faire des prises de sang et réussir à gérer votre état. Bien sûr j'aurai pu demander de l'aide à mes parents mais qu'aurais je bien pu leur dire. Ils détestaient mon copain, nous avions une relation très conflictuelle et je ne pouvais pas parler de sexualité avec mes parents parce qu'ils n'auraient rien voulu entendre. C'est normal d'ailleurs car se dire que sa fille fait l'amour alors qu'on la considère toujours comme son "petit bouchon" qu'on fait sauter sur ses genoux... Le choc aurait été traumatisant pour eux.
Mon copain a contenu sa peur pour me soutenir et ce soutien a été fondamental pour moi. J'ai un caractère fort, qui peut supporter beaucoup de choses mais les nausées dès le matin, dans la journée pour une simple odeur. Les sauts d'humeur, les fringales et la peur panique que le temps qui nous est imparti est peut être arrivé à terme.
J'ai appris que j'étais enceinte juste avant la période de Noël et pour prendre un rendez vous dans un hôpital alors que les médecins prennent leur vacances, ça devient vite une affaire de sangfroid. Au bout du téléphone, une secrétaire qui vous répète que le premier rendez vous ne pourra être pris qu'à partir de début janvier... Mais moi, je ne sais pas de combien de semaines je suis enceinte et la loi m'interdira d'avorter après un certain délai. Mon copain ne se voit pas père et le stress le fait s'interroger : ne faudrait t-il pas prévenir un parent pour nous aiguiller ? Non, je ne voulais pas ! Nous avions fauté, il fallait s'en sortir par nous même. De plus la simple idée que mes parents puissent me regarder comme une pêcheresse me paraissait insoutenable, tant la honte m'aurait frappé. Mais mon copain était majeur et donc il a pu signer les papiers lorsque nous avons réussi à obtenir un rendez vous dans une clinique "spécialisée" ou du moins réputée pour ce genre d'intervention.
Tous les examens on pu être faits en moins d'une semaine, le soir de Noël je me suis efforcée de manger sans rien laisser paraître : huïtres, escargots... Le gout des aliments change tellement quand les hormones travaillent ! Ce n'est pas exactement comme lorsqu'on est malade, où la nourriture devient fade : la nourriture change de goût. J'adore les coeurs de palmier : et bien, j'ai été dégoutée de ce délicieux légume pendant toute cette période et même après...
Je me suis fait opérer (le délais pour suivre un traitement médicamenteux était dépassé trois jour avant le Jour de l'An. D'ailleurs quand je suis rentée en cours, quand tout le monde m'a demandé se que j'avais fait pour le Jour de l'An, les gens se sont moqués de moi quand je leur ai menti en disant que je n'avais pas envie de sortir ce soir là.
Je ne me suis pas rendue compte de la portée de mon acte, d'enlever la graine de vie qui allait peut être donner un beau bébé. Mais dans l'instant on ne pense qu'à soit. Quand je demandais à mon copain si je ne faisais pas une erreur, j'étais rassurée et confortée dans ma décision quand il me disait qu'on était pas assez mature pour élever un enfant, que nos études étaient plus importantes et qu'on rendrait malheureux un enfant qui aurait été jugé comme une erreur par nos parents respectifs. Cet enfant aurait eu 16 ans que j'en aurais eu seulement 32 ans. Je ne peux pas concevoir qu'à seize ans j'aurais pu avoir des parents de 32 ans, sans argent et incapables de comprendre mes problemes parce qu'il n'auraient pas été assez matures.
Aujourd'hui je me dis que je ne peux pas regretter se que j'ai fait parce que je l'ai choisi... Je suis responsable et sans excuse mais étant donné que je n'ai pas l'approbation de celui qui n'a jamais existé j'aurai toujours une part de tristesse et d'amertume.
Je voudrais dire à tous les parents qui ont gardé leur bébé alors qu'ils étaient très jeunes que je les admire et je voudrais dire aux gens comme moi qu'ils sont très courageux de prendre la même décision car c'est très difficile. Je remercie mon copain d'avoir été là pour moi. J'espère qu'un jour j'aurais le courage de l'avouer à mes parents...
Re: "La femme nait libre (euh...), responsable et sans excuse"... Posté par chaminou le 24/06/2007 11:11:11
Que de chemin encore à parcourir pour pouvoir éviter tout cela...
Voilà à quoi peut mener un simple rapport. Le moindre oubli / accident et tout arrive.
A 16 ans, j'ai eu la chance d'avoir un copain responsable qui, illico, m'a menée au planning familial pour me "faire prendre "(ah, la vraie assistée à l'époque ;o)) une pilule adaptée à mon cas, mais j'ai eu le malheur d'avorter quelques années plus tard, grands moments de douleur & de solitude, et un géniteur qui s'est désisté au dernier moment pour m'accompagner à l'hôpital (l'engueulade que je me suis prise ("Ouiii, dans votre état, on ne doit pas venir seeeeeule, vous vous rendez-cooompte, gnagna" > Ben j'allais pas l'forcer, hein :o{).
Ton copain, toi, t'as soutenu, et par contraste, je trouve ça vraiment formidable.
Après, il y aura toujours des gens pour te faire culpabiliser, te rappeller que tu es une "criminelle", qu'il fallait absolument le garder (ben voyons) ou, à défaut, le faire adopter. C'est ces personnes là qui font déprimer les femmes qui ont le malheur de subir une grossesse non désirée.
Nous avons l'autorisation légale d'avorter et ceci est un bien précieux à ne pas laisser filer (déjà que c'est pas évident !) : et ce quelque soit notre âge ou notre situation.
Nous sommes en DROIT de le faire. C'est important.
Re: "l'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par jacquesv le 24/06/2007 17:50:17
chaminou,
chaton,
L'histoire du mec absent, je connais...
La première fois une amie qui me téléphone un matin "pourrais tu venir me chercher à l'hôpital?"
.....
La seconde fois, ma meilleure amie: le type ne pouvait même pas se désister, elle ignorait qui c'était
En plus elle touchait le fond, coté moral et coté finances.
On ne juge pas une meilleure amie, j'ai donc fait ce que j'ai pu...
Re: "l'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 25/06/2007 10:19:27
Moi je n'ai eu personne pour me dire que j'étais une criminelle. Juste moi même. Mais le pire pour moi a été d'attendre mes rendez vous à coté de femmes enceintes qui parlaient de leur futur bonheur alors que moi j'attendais pour ne pas a subir tout ça.
Je crois que le patience ne suffit pas pour ce genre de souffrance mais le partage, comme je le fais avec cet article fait beaucoup plus. J'ai foiré pas mal de trucs cette année et j'ai gaché beaucoup de relations. Avec mes amis car les soirées je les appréhendais. Le secret que je gardais et que je ne voulais pas partager nin avec mes parents ni avec pesonne de toute manière.
Oui le sentiment de solitude est intense dans se cas parce que rien ne peut parvenir à combler tout ça. Les mots de réconfort s'estompent (en tout cas pour moi). La compréhension des psy semble fausse et puis j'avais un peu l'impression d'embété et de ressasser l'affaire encore un peu (trop).
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 25/06/2007 10:46:37
Une seconde, mon mec n'a jamais été absent, il a toujours été là à me soutenir. Mais les choses se manifestent intérieurement. Je crois qu'il pourrait y avoir une foule de personnes à me consoler que ça n'aurait rien changé à mon probleme. Non non, je tiens à le préciser car il a été génial. Mais lui paniquait plus que moi car il croyait qu'on avait besoin d'aide alors que JE savais que non.
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaminou le 25/06/2007 16:59:03
Chaton > Je crois que Jacquesv faisait suite à ma triste anecdote concernant le désistement de dernière minute du géniteur que j'avais tenté de sortir du lit... En vain. C'est à cause de cela que mon intervention s'est mal passée : j'étais très stressée car on m'avait engueulée du fait que je vienne non accompagnée, & que je ne savais pas s'il y aurait quelqu'un pour ma sortie (j'ai subi la méthode dite "par aspiration" (2 mois de grossesse, trop juste pour le reste), et ce sans anesthésie générale).
"Moi je n'ai eu personne pour me dire que j'étais une criminelle. Juste moi même" > C'est malheureusement ce qu'on nous met dans le crâne aussi, parfois, même si c'est formulé de manière indirecte, ou sous-entendu par certains vecteurs. Mais tu ne l'es pas. En revanche, lorsque je vois certains parents irresponsables (jeunes ou pas), et parfois très motivés par les allocs, je me dis qu'ils feraient mieux de s'abstenir de donner des leçons...
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par jacquesv le 25/06/2007 17:42:06
chaminou,+10!!
Tout à fait d'accord: on répand beaucoup, trop et fort, la légende qu'une femme doit se sentir coupable et déprimer après un avortement: du pur bourrage de crane, qui bien sûr ne se réalise que si on y croit
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 25/06/2007 20:07:19
je trouve ça ignoble de faire subir ça. Je veux dire, avoir un enfant sans l'avoir désiré n'est pas une faute, c'est un accident. On ne doit pas punir mais accompagner. Moi c'est se que tout le monde à fait et pourtant ça ne facilite pas pour autant la guérison "mentale". Car c'est une véritable blessure
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 25/06/2007 20:14:43
Pourquoi infligée tant de souffances a une jeune fille déjà choquée par se qu'elle vit. C'est du sadisme rien d'autre car c'est se réjouir de la souffrance de l'autre.
Re: "l'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par jacquesv le 25/06/2007 20:16:01
une des façons de dissuader les mécréantes...
(comme faire trainer les consultations préalables obligatoires jusqu'à ce que le délai légal soit passé)
Une amie à moi travaille dans un PF et elle en entend beaucoup
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 26/06/2007 19:46:46
Bah c'est se qui a faillit m'arriver. Enfin disons que j'ai du me débrouiller toute seule (enfin avec mon copain mais il n'était pas plus avancé que moi). L'hopitak classique m'a donné un rendez vous très très tard et heuresement que j'ai contacté une clinique spécialisée gratuite.
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par peppermint_9 le 27/06/2007 12:17:44
en ce qui me concerne, je me suis débrouillée seule....et ce de manière volontaire...alors je ne blâme personne. j'ai tout pris sur moi (en plus j'ai une phobie incontrôlable des piqûres, médecins et anesthésie, je ne vous raconte pas! je n'ai eu aucuns commentaires, aucuns sous-entendus...c'est vrai, on m'a conseillé d'en parler à quelqu'un, mais on ne m'a pas forcée...ça s'est mal passée, car on m'a fait une anesthésie générale sans m'avertir...j'ai avorté tardivement, à la limite limite mais je suis satisfaite . il n'y a pas à culpabiliser. il vaut mieux ça que gâcher la vie à tout le monde et à l'enfant, si on ne peut assumer. il faut maintenant aller de l'avant!!!
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 27/06/2007 17:43:51
Je suis assez émue (litote) de voir tous ces commentaires. Je me sens déjà moins seule et je me dis qu'en réalité ce n'est pas si "grave".
Je crois que dans ce genre de situations difficiles, on devrait en parler avec des gens qui ont vécu la meme chose systématiquement. Ca me fait vraiment très plaisir, meme plus que ça. J'avais si peur que personne ne comprenne jamais. Voila voila
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par supernaut le 28/06/2007 01:34:49
Bah moi j'ai jamais été confronté à ce problème, mais je me doute qu'il faut quand même quelqu'un pour vous soutenir... Enfin après cela dépend de la personnalité de chacun.
Chaton B, pourquoi est-ce que tu parles de "faute" et de "pécheresse" ?
Ca m'étonne que des cliniques cathos pratiquent l'avortement ^^.
Ushiwa.sasuke, quelle erreur (si je puis me permettre biensûr) ?
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par ushiwa.sasuke le 28/06/2007 15:22:58
je dirai tout simplement que j'ai vécu une similitude...et que je n'ai pas été la à 100% comme ton copain l'a été...(dsl pas trop envie d'en parler devant tlm)
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 28/06/2007 21:33:46
Honnetement je peux comprendre que ce soit dur de parler de ce genre de truc mais la vérité c'est que malgré la gravité du truc il faut se lacher. moi j'avais peur mais je l'ai fait
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par ptit sucre le 29/06/2007 13:07:17
chaton b > C'est bien que tu aies le courage d'en parler, mais je comprends aussi que pour ushiwa.sasuke ce soit diffiçile d'y parler, et surtout sur un forum trés fréquenté, peut-être en Mp ?
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 29/06/2007 18:19:35
Non bien sûr que je ne force pas la main de ushiwa.sasuke, seulement c'est juste que quelque fois de franchir le pas ça fait du bien. Je crois que les gens qui sont venus réagir ici a propos de mon article avez envie d'en parler...Je veux dire, on peut y penser, pleurer mais en parler sans se faire juger c'est important.
Je comprends qu'un garçon puisse prendre peur, puisse partir. Ce n'est pas de la lacheté, c'est un choc. Devant un accident de voiture, y'en a qui restent la bouche bée, y'en a qui partent et y'en a qui vont voir les gens ensanglantés. Parce qu'on n'a pas les mêmes réactions face à un accident quelqu'il soit. Oui dans ce cas, un "oeuf" (puisse qu'on ne parle pas d'enfant) est fait de deux personnes mais ce n'est pas de la mysoginie que de ne pas réagir, c'est de la peur et c'est compréhensible.
Un jour, j'étais à la piscine et j'avais fini de nager donc je suis allée à la douche. Il était assez tard (pour une piscine) et un me est venue dans les douches des filles. J'étais seule. Il s'est avance près de moi et je n'ai pas bouger, j'étais terrorisée. On nous apprend à crier, à se défendre. A dire des choses qui font fuir mais je n'arrivais pas à bouger le moindre membre. Il ne s'est rien passé, une "dame de service" est arrivée et la foutu dehors. J'avais 14ans et j'adorais la piscine, je n'y suis jamais retournée. Bref, ici on peut parler de tout et de n'importe quoi et sous la peur tout se que tu sais s'efface irremédiablement. Il ne reste que tes instincts.
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par tequila_bamba le 01/07/2007 14:20:27
Chaminou> C'est incroyable comme tu prends ca a la legere ! Tu realise ce que c'est une vie humaine ? Je ne suis pas en train de dire que t'es une criminelle, je pense que chaqun devrait pouvoir choisir de porter son enfant ou non, mais toi c'est impressionant ! On dirait que finalement tu retourne un article achete dont tu n'es pas satisfait ! Et le coup du "surtout ne pas culpabiliser" je le trouve scandaleux ! Et la preuve, si tu avais realise, tu n'aurais pas recommencer quelques annes apres la premier fois ! Enfin je sais pas mais ca m'a pas l'air si complique d'etre responsable..
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par tequila_bamba le 01/07/2007 14:22:41
Petit rajout ...
Chaton b > cette remarque ne s'applique pas a toi, je trouve l'article excellent et je pense que tu as pleinement compris la dimension de l'acte et que tu a fait un choix eclaire et non dans une ignorance stupide. Tiens bon !!
Re: "l'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaminou le 04/07/2007 15:40:44
Tequila Bamba :
"C'est incroyable comme tu prends ca a la legere ! Tu realise ce que c'est une vie humaine ?"
> Oui, mais là on parle d'embryon de deux mois... Alors les leçons, merci bien. Tu t'en occupes, toi, des humains en vie, sinon ? ;o)
"Et le coup du "surtout ne pas culpabiliser" je le trouve scandaleux !"
> Tu veux quoi ? Que je me flagelle, que je fasse un popost-trauma ? & le géniteur, tu crois qu'il a culpabilisé, lui ? Mais bien sûr, on n'y pense même pas, à lui (je ne suis pourtant pas tombée enceinte toute seule !!!)
"Et la preuve, si tu avais realise, tu n'aurais pas recommencer quelques annes apres la premier fois !"
> Recommencé QUOI ? Et quelle première fois ? Je n'ai avorté qu'une fois. J'espère ne plus connaître cela, évidemment, mais personne n'est jamais à l'abri. Tu comprendras peut-être plus tard, qui sait (en espérant qu'il y aura quelques progrès rapport à cela, m'enfin, je rêve sans doute...)
"Enfin je sais pas mais ca m'a pas l'air si complique d'etre responsable.."
> Un accident peut vite arriver, tu sais. Sinon, je ne pense pas être totalement irresponsable, merci (un avortement en plus de douze ans de vie sexuelle, c'est pas à souhaiter, mais ça ne fait pas de quelqu'un-e un-e irresponsable, je pense...)
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par jacquesv le 04/07/2007 15:52:15
tequila_bamba,
J'ignore ton véritable age, mais ton post du 01/07/2007 14:20:27 fait preuve soit d'ignorance soit de fanatisme Plus que douteux dans les deux options.
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaton b le 04/07/2007 17:32:48
Téquila bamba: Il n'y a aucun jugement à donner à une personne qui a avorté surout quand on ne sait pas se que c'est. On peut parler, conseiller...Y'a aucune morale au fait de se faire avorter, simplement le désir de ne pas voir sa vie et celle d'un enfant (qu'on sait ne pas être e mesure d'élevé bousillé.
Chaminou: Ne soit pas agressive même si je comprends se que tu peux ressentir. Je doute que tequila bamba sache de quoi il parle, il suffit d'expliquer. Bonne continuation.
Re: "L'homme nait libre, responsable et sans excuse"... Posté par chaminou le 10/07/2007 14:59:40
Peut-être, mais il aurait dû bien me lire et réfléchir à deux fois avant de s'adresser à moi en ces termes. On souffre déjà assez comme ça, pas la peine d'extrapoler ainsi.