Messages | Nouvelle branche de discussion | Répondre | Rechercher | | 7 gestes que les hommes détestent pdt l' acte Posté par spy le 04/11/2015 22:59:45 | 7 GESTES QU'ILS DÉTESTENT PENDANT L'ACTE
"Elle masturbe mal", "elle est trop vulgaire", "elle veut faire l'amour dans le noir"...
On interrogé les hommes sur leurs pires expériences sexuelles afin de savoir les gestes qui risquent de faire retomber l'excitation et les empêche d'atteindre l'orgasme.
Voici leurs réactions décryptées par le médecin sexologue Albert Barbaro.
Elle me demande de me retirer avant la fin
Dégoût, peur d’une infection ou simple moyen de contraception...
Certaines femmes refusent qu’un homme éjacule à l’intérieur de leur vagin.
Pourquoi ils détestent : “Il n’y a rien de plus frustrant pour moi
qu’une fille qui me demande de me retirer et de terminer à l’extérieur ”, explique Dominique 33 ans, père de famille.
L’avis du sexologue : “Pour l’homme ressentir l’extase à l’intérieur
de sa partenaire est un plaisir différent de celui de la masturbation.
Si au moment fatidique une femme lui demande de se retirer alors
cela casse le rythme pendant la montée de son plaisir”, explique Albert Barbaro, médecin sexologue.
Ce qu’il faut faire : parlez en avant le rapport de cette manière, votre partenaire peut tout à fait accepter votre décision mais il saura prendre les devants pour ne pas se retrouver couper dans l’élan de ses sensations au moment de l'apogée.
Elle masturbe trop lentement ou trop fort
Si la masturbation fait parties d’une des pratiques préférées des hommes, ils sont pour la plupart très souvent déçus lorsque c’est fait par une autre personne. Pas facile pour une femme de manipuler quelque chose qu’elle n’a pas et dont elle ne peut ressentir les sensations.
Pourquoi ils détestent : “ Très souvent la fille ne sait pas comment
y faire, soit elle est trop lente et le plaisir ne monte pas,
soit elle est trop vive et j’ai l’impression qu’elle va
m’arracher la peau”, raconte Peter, 27 ans, en couple.
L’avis du sexologue : “Il n’y a rien de mal à cela même en étant
en couple certains continuent de se masturber car c’est un plaisir différent. On sait mieux ce qui est bon pour soi.
Lorsqu’on est deux il faut savoir échanger et guider sa partenaire
en lui prenant la main, par exemple.
Attention à ce qu’elle ne se vexe pas ou ne sente pas "objetisée" tout de même", prévient le spécialiste.
Elle veut tout le temps éteindre la lumière
Quelques bourrelets, des boutons ou tout simplement un manque
de confiance en soi. Pas facile de se mettre à nu et de s’exposer
face à son partenaire. C’est pour cela que beaucoup de femmes
préfèrent faire l’amour la lumière éteinte.
Et pourtant mesdames quand il s’agit de passer à l’acte votre amant n’a que faire de vos petits défauts.
Elle est vulgaire pendant qu’on fait l’amour
Mesdames si vous pensiez faire plaisir à votre partenaire en employant le langage et l’attitude des actrices de charmes c’est raté. Parler cru pendant une relation sexuelle peut couper tout envie à votre partenaire.
Stimulation anale : “ça me dégoute”
Lorsque nous avons interrogé notre panel sur ce qu’ils pensaient
de la stimulation anale pendant l’acte la plupart ont affirmé
n’avoir jamais testé sauf un.
Pourquoi ils détestent : "Jamais je ne laisserai une fille toucher
à cette partie de mon intimité, cela me dégoute et j’aurais l’impression de perdre ma virilité", a déclaré l’un d’eux, ne souhaitant pas se faire connaître.
L’avis du sexologue : Certains aiment et d’autres non. Cela dépend
de la façon dont on a érotisé cette zone. La plupart des gens assimilent la pratique du sexe anal à l’homosexualité.
Si une femme se lance dans ce genre de stimulation et que son partenaire pense de cette façon son plaisir risque de chuter d’un coup.
En revanche, si intellectuellement on a éduqué sa sexualité de façon
à considérer cette zone comme potentiellement érogène elle peut apporter du plaisir.
Pourquoi ils détestent :"Lorsqu’une fille est vulgaire elle perd
de sa féminité ça me coupe totalement l’excitation.
Je suis obnubilé par le fait qu’elle en fasse trop tout sonne faux,
explique Peter, 27 ans. Dans les films, les filles sont des condensés de tous les fantasmes masculins mais à l’extrême ce n’est pas ce que j’attends de la part de ma petite amie."
L’avis du sexologue : Tous les hommes ne détestent pas ça, cela dépend de la culture et de la personnalité de la personne qui reçoit cette attitude, explique Albert Barbaro, médecin-sexologue.
Le plus souvent un homme ne sera pas dérangé si c’est pour une
relation occasionnelle, en revanche cela choque plus souvent
lorsque cela vient d’une partenaire de longue date.
Pourquoi ils détestent : "J’aime pouvoir regarder ma partenaire
et profiter de ses formes cela participe à la montée de l’excitation", nous explique Dominique 33 ans.
L’avis du sexologue : "Si la femme réagit surtout aux mots et à l’ambiance,
pour l’homme l’excitation est essentiellement visuelle. Cela explique
pourquoi ce sont eux qui consomment le plus de films à caractère
pornographiques.Voir comment leur partenaire réagit aux caresses
et les sensations qu’elles leur procurent fait aussi partie de l'excitation."
Fellation : je n’aime pas quand ça râpe avec les dents
"En général, peut importe la façon dont elle s’y prend j’apprécie énormément la fellation”, nous explique Peter, 27 ans."
La petite gâterie est l’un des préliminaires préférés des hommes,
mais il y a tout de même une erreur à ne pas commettre.
Ce qu’ils détestent : "La seule chose que l’ont redoute à ce moment
c’est un coup de dent trop vigoureux ou alors que ça râpe
contre le pénis, cela n’a rien de plaisant", détaille
notre interlocuteur.
L’avis du sexologue : "Evidemment très peu d’hommes détestent
la fellation, la seule peur qui reste dans l’imaginaire est
celle de la douleur."
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8 CHOSES À SAVOIR SUR LE SADOMASOCHISME
Menottes, fouets, combinaisons en cuir… Le sadomasochisme (SM)
est une pratique sexuelle plus que taboue. On se demande
souvent comment certains parviennent à avoir du plaisir
dans la douleur ? Quels couples se laissent tenter ?
Quelles sont les règles et les codes ?
Medisite vous répond avec Manon Bestaux, sexologue clinicienne.
Le sadomasochisme c’est quoi ?
Le terme sadomasochisme (ou "SM" fait référence aux écrits
respectifs du Marquis de Sade relatant le plaisir de faire mal
aux autres et de Leopold Van Der Masoch qui a écrit l'éloge de
la soumission sexuelle. L'un a besoin d’avoir mal ou de se
faire humilier pour ressentir du plaisir, c'est le masochiste.
L'autre, le sadique, utilise les coups, les mots qui blessent
dans son scénario érotique.
"Comme dans toutes pratiques sexuelles, la dimension amoureuse
est essentielle. Se retrouver sans préparation dans l’une ou l’autre
des situations peut constituer un traumatisme.
Le dialogue est nécessaire pour comprendre et ainsi choisir
de rester ou non dans ce jeu érotique entre adultes consentants"
précise Manon Bestaux, sexologue.
Dominant ou dominé ?
Une relation sexuelle "SM" se déroule sous forme de scénario.
Un rôle est donné à chacun, il doit y avoir un dominant
et un dominé. "Le sujet dominant dirige la mise en scène.
Le but est en quelque sorte de révéler les capcités de son
acteur (ou actrice) fétiche à obéir sans réfléchir,
pour que la pièce soit réussie", explique la sexologue.
Même s'il est vrai que l’on voit plus souvent des images
de femmes les mains attachées ou les yeux bandés,
le rôle de chacun n’est pas définitif.
"C’est comme un jeu, il faut se laisser aller et tout essayer,
intervertir les rôles parfois. Par exemple dans un cas
de dysfontion érectile , il peut-être rassurant pour
l'homme de décider d'un jeu où il n'a pas le droit de pénetrer.
Il n'y a plus de pression de performance et il peut lâcher prise.",
ajoute notre interlocutrice.
Le safeword : établir des limites
Dans une relation "SM", il peut arriver que certains couples
utilisent des safeword. En clair : des mots de passe
qui permettent de prévenir l'autre qu'il dépasse les limites.
"Ce genre de code est important. Lea confiance est
essentielle puisqu'il y a douleur et plaisir, chacun
doit être libre de cesser le jeu.
Dans une relation "SM" il n’y aucune notion d’obligation",
explique Manon Bestaux.
Faut-il absolument utiliser des accessoires ?
Cravache, menottes, combinaison de cuir… Le "SM" est souvent
associé à ce type d’accessoires. Au-delà d’une utilisation
scénaristique, ils servent également à stimuler les personnes
qui ne connaissent pas leur corps… ou qui n’osent pas le connaître.
"On peut se débrouiller sans, mais cela peut par exemple
servir d'intermédiaire lorsqu’une personne n’ose pas laisser
l’autre toucher à son intimité" explique la sexologue.
Par exemple, "un objet plutôt qu’une main peut aider
à dépasser la honte pour quelqu’un qui n’ose pas masturber".
Un truc de riche ?
Banquettes en cuir, masque à plumes, tenues affriolantes...
Quand on parle de sadomasochisme, la plupart des gens imaginent
de riches PDG qui laissent libre cours à leurs fantasmes
dans des clubs libertins branchés.
Pourtant les relations "SM" ne sont pas réservées
à une certaine classe sociale. "Les accessoires peuvent être chers.
Mais on peut faire sans. Il s’agit de laisser libre cours
à son imagination, on peut tout simplement se servir d’un foulard"
fait remarquer la sexologue. "Le principal est de trouver
ce qui fait monter le désir de soi et de l’autre."
Le SM, une perversion ?
Immorale, perversion, déviance… Dans l’imaginaire collectif,
les relations sadomasochistes sont considérées comme anormales.
Pourtant, elles peuvent permettre à certains couples qui
ont du mal à faire monter le désir de retrouver leur libido.
"Ce n’est pas conventionnel oui, on sort de la routine :
préliminaire puis pénétration" reconnaît Manon Bestaux, sexologue.
Mais "il ne faut pas oublier la dimension amoureuse
dans une relation sadomasochiste, il faut le prendre sous forme
de jeu, de mises en scène qui permettent de sortir de cette routine".
Une relation consentie
Même si une relation sexuelle "SM" impose à l’un d’avoir mal,
cela n’a rien d’une relation forcée. Elle doit avoir lieu
entre deux êtres libres et consentants. Une relation de ce
type implique d’ailleurs plus de confiance que les autres.
"La communication avant est importante, il ne faut pas avoir
peur d’en parler et de bien définir les règles" souligne Manon Bestaux.
Il est nécessaire de se connaître, savoir pourquoi on en a besoin
et oser le faire traverser à l’autre.
Un risque de manipulation ? Il ne faut pas confondre
le sadisme psychologique et une relation "SM" dans laquelle
il ne doit pas y avoir de manipulation. Dans une relation sexuelle
de ce genre, l’un prend du plaisir à rabaisser l’autre
mais ce dernier aime également sa position de dominé.
Le plaisir est égal, personne ne doit tirer profit de l’autre.
Une nuance tout de même : "Si une femme pense qu'il n'y a
qu'un seul homme capable de lui donner du plaisir,
elle peut se retrouver à suivre cet homme là dans tous
ses fantasmes sans être consciente de sa soumission",
explique la sexologue.
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5 CHOSES QUE VOUS NE SAVEZ PAS SUR LES SEINS
La poitrine est l'attribut féminin par excellence.
Mesdames voici quelques secrets sur votre poitrine
que vous ne connaissez pas, quant à vous messieurs
voici l'occasion de tout savoir sur la partie du corps
de la femme que vous préférez.
Découverte avec le Dr Elizabeth Paganelli,
secrétaire générale du Syngof et gynécologue
médicale à Tours.
Nos deux seins ne font pas la même taille
C'est à dire : au moment de la puberté, lorsque les seins apparaissent,
il est fréquent qu'ils ne grandissent pas tout à fait en même temps.
Cela s'estompe cependant à la fin de l'adolescence.
Il arrive toutefois que même après cette période,
un sein soit un peu plus gros que l'autre (le gauche l'emportant),
ou qu'un mamelon soit différent.
Pourquoi : "On ne connaît pas la raison. Mais en cas d'asymétrie
majeure des seins, la chirurgie esthétique est proposée
chez l'adolescente et peut être prise en charge par
la caisse d'Assurance maladie", explique le Dr Paganelli.
Rassurez-vous cependant : les différences sont bien souvent discrètes.
Le cancer du sein concerne également les hommes
C'est à dire : si le cancer du sein touche le plus souvent les femmes,
les hommes peuvent être également concernés.
Moins de 1 % de tous les cancers du sein affectent ces messieurs.
Pourquoi : les hommes, comme les femmes, ont des tissus mammaires
et ne sont donc pas à l’abri d'un cancer du sein.
Le cancer se développant de la même façon chez les hommes et les femmes,
avec souvent comme premier symptôme une masse non douloureuse (nodule) au sein.
"Plus rarement, on observe un écoulement de sang au niveau du mamelon,
une modification du mamelon ou de la peau du sein, ou la perception
d'un ganglion dans l'aisselle.", explique le Dr Paganelli.
Attention : il est redoutable car rare* et non connu.
Peu informés, les hommes consultent lorsque la maladie
est déjà à un stade avancé.
* Les facteurs de risques : les antécédents familiaux
de cancer du sein (homme comme femme),
l'âge (il concerne principalement les hommes de plus de 60 ans),
les prédispositions génétiques (mutation d'un gène),
les irradiations du thorax , une cirrhose,
le syndrome de Klinefelter (une anomalie des chromosomes
sexuels relativement fréquente).
* Les facteurs de risques : les antécédents familiaux
Les seins sont sensibles aux radiations
C'est à dire : les seins des jeunes femmes, surtout avant 30 ans,
sont sensibles aux radiations.
Pourquoi : "comme toute radiographie, la mammographie nous expose
à des rayons. Une exposition répétée peut entraîner,
dans de rares cas, l'apparition d'un cancer.
Ce risque est de 1 à 5 décès pour 100 000 femmes ayant réalisé
une mammographie tous les 2 ans à partir de 50 ans.
Il est plus élevé chez les femmes jeunes dont les seins
sont denses et nécessitent une dose de rayons plus élevée
pour garantir la lisibilité des clichés", explique le Dr Paganelli.
Un conseil: "il est alors préférable d'éviter les radiographies
du thorax et les mammographies inutiles, et privilégier l'échographie", explique le Dr Paganelli.
L'allaitement prévient certaines maladies
Les vertus de l'allaitement sont bien connues pour l'enfant.
La composition du lait maternel évoluant dans le temps
pour correspondre à ses besoins.
Ce qu'on sait moins : l'allaitement protège également la mère
de certaines maladies comme le cancer du sein et de l'ovaire.
Cependant : "Les études sont rares, mais il semblerait
qu'il faille allaiter 7 ans dans sa vie de femme pour espérer
éviter le cancer du sein. Globalement, une femme qui a allaité
a encore un risque de ce cancer", explique le Dr Paganelli.
Modifié le 04/11/2015 23:36:42 |
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