Je m’appelle Amandine, ceci est mon histoire.
Je suis châtain clair avec de grands yeux verts, on me qualifie de belle fille, et j’aime que l’on me le dise. J’ai actuellement vingt six ans, et j’ai vécu jusqu'à ce jour avec une grande brune, possédant de grands yeux marron.
Tout le monde ne peut pas avoir de beaux yeux verts, ou bleus, bref cette belle brune étais mon amie et portait le doux prénom de Catherine, pas une simple copine, non mais mon amie et nous partagions le même lit. Vous allez me qualifier de lesbienne et vous auriez raison, car c'est en effet mon état.
Il est la conséquence d’une rencontre malheureuse avec un homme: je lui avais offert, le jour de mes dix neuf ans, mes charmes et le surplus, qu’il prit sans ménagements, me laissant avec un dégoût qui fait que , depuis, je fuis les hommes.
De ce fait, Je me suis renfermée sur moi même, et au collège je restais à l’écart des autres, mais un jour une belle brune, m’accosta: c’était Catherine..... elle sut me redonner goût a la vie, et me faire découvrir les joies de la vie et les plaisirs de la luxure.
Ayant du dégoût pour l’homme en général bien que j’en avais connu qu’un seul, Catherine n’eu aucun mal à m’emmener dans sa couche, j’étais devenu une lesbienne, et cela me comblait de plaisir.
Je me rappelle les approches de Catherine, et plus particulièrement nos premier ébats. C’était un jour de printemps, ce jour là elle me fit connaître ses intentions à mon égard.On était partis pour un déjeuner sur l’herbe, un pique-nique; la journée s’annonçait belle, on entendait gazouiller les oiseaux dans l’arbre sous lequel nous avions installé la nappe, sur laquelle Catherine avait déposée toutes les barquettes de nourriture qu’elle avait préparées avec grand soin:
elle aimait cuisiner, mais sur la natte je vis, parmi tous les ustensiles servant généralement à un pique-nique, un objet de couleur argent de forme ovoïde et de la grosseur du moulin à poivre qui se trouvait a coté.. Je compris par la suite à quoi servait ce bel objet.
Vous avez bien compris c’est ce jour que Catherine m’initia aux jeux de l’amour, je devrais dire aux plaisirs du sexe, et depuis Catherine et moi passions nos soirées avec nos petit joujoux, les sex-toys, et bien d’autres gadgets..... nous étions toutes les deux heureuses.
Mais au fil des jours je changeai, les sex-toys me semblaient être des objets sans vie, et le jour ou cet homme me déflora me revint à l’esprit je me rappelai toute la scène.
Après m’avoir complimenté sur ma beauté, il m’emmena dans son bureau, me prit par la taille, me déposa sur son bureau, arracha ma petite culotte, m’écarta les cuisses, et de son autre main déboutonna sa braguette, sortit son sexe et me pénétra sans ménagement.
Je ressentis alors une grande douleur, il faut dire que c’était ma première fois, j’étais vierge, avec une envie irrésistible de ce sexe dur et chaud, mais cet homme ne sut pas profiter du merveilleux cadeau de je lui offrais.
Je m’étais offerte à lui bien qu’il était de cinq ans mon aîné, mais il était beau comme un apollon, et j’avais une grande envie de me faire déflorer, ayant entendu quelques une de mes copines parler de la chose.
En prenant du recul je constate que ce qui me manque aujourd’ hui c’est la chaleur et la vie de ce sexe.
Catherine me rappelait sans cesse que les hommes étaient des butors, et en me référant à ma première rencontre, je ne pouvais être que d’accord avec elle, mais il m’arrive d'en parler avec des amis, et à les entendre il n’y a rien de mieux qu’un homme qui est dans de bonnes conditions, et cela me troublait.
Je décidai donc de connaître l’homme, le vrai, pas le butor, qui m’avait déflorée. Je me décidai donc d’en parler avec Catherine.
J’étais enfin prête et j’espérais pour cette grande première , partager cette rencontre avec Catherine, mais à ma grande surprise Catherine se mit dans une grande colère.
Catherine était une grande jalouse et cette jalousie m’étouffait et bloquait mon désir de découvrir le plaisir de la chair avec un homme,et je pris donc la décision de la quitter.
Cela ne se fit pas sans une grande manifestation de sa colère, puis j’eu droit à une pitoyable séance de pleurs, mais ma décision étais prise: j’avais trop envie d’être libre de découvrir les joies du sexe, tous les sexes.
De ce jour ma vie changea, mes amis me disent que je suis devenue une coquine: aujourd ’hui je le revendique, et je l’assume.
J’étais donc seule avec de grandes idées... pourrais-je les réaliser ? l’avenir me le dira...
Je me réveillais donc ce samedi matin, de bonne humeur, devant moi se dressait mon avenir, je parle de mon avenir amoureux, et je comptais bien prendre la vie à bras le corps.
Le réveil annonçait dix heures, je pris donc une douche, j’adore les douches, j’en profite pour me caresser, les mains enduites d’un gel énergisant, répondant au nom de "ma Dame". J’aimais me le passer sur mes seins bien fermes, et aux tétons gonflés de désir,
J’aime me les titiller sous la douche, cela me procure du plaisir et immanquablement une de mes mains descend, en effleurant mes flancs, puis sur mon sexe tout doux du fait que je me l’épile souvent, au moins une fois par semaine ( Catherine l’exigeait, et ma foi je trouvais cela plutôt agréable lors de mes douces caresses intimes).
Propre comme un sous neuf, je me rendis à ma chambre et entrepris de me faire belle.
Je pris dans le tiroir de la commode mes plus beaux dessous: j’en ai toute une collection, tous plus affriolants les uns que les autres.
Une idée me vint, et si je ne mettais pas de dessous: " Amandine ne réfléchis pas à cette question, fait le", me dit-je, "je pris donc la décision de suivre cette idée" , j’avais souvent de drôle d’idées.... Catherine me le disait souvent "tu est folle", puis mon choix s’arrêta sur une petite jupette plissée d’un vieux rose et sur un chemisier blanc
Ainsi vêtu et maquillée légèrement, je me rendis sur les Champs-Elysées.
J’avais choisi ce quartier comme terrain de chasse. Dans un premier temps il me fallait trouver une amie: elle devait être belle, brune, blonde ou châtain comme moi cela n’avait pas d’importance, il fallait qu’elle soit ouverte, hum, j’aime ce terme, pas jalouse et prête â tout mes caprices, mes désirs, en deux mot la perle rare.
Je déambulais en me déhanchant mais pas autant que les mannequins, d’une façon plus discrète: je sentais sur mon sexe l’air vivifiant de ce mois d’octobre, et cela me grisa, je sentais aussi sur moi les regards, certains critiques, d’autre admiratifs, mais mon but était tout autre: je voulais que l’on me désire.
Devant moi se trouvait un petit café bien accueillant, je m’en approchai et sur la terrasse se trouvait une blonde, ma fois de belle prestance, les jambes croisés: elle portait une jupe serrée de couleur noir et je devinais sous cette jupe des bas jarretelles; son chemisier également noir laissait entrevoir le galbe de ces seins, qui me semblaient bien fermes, et cette belle créature ne portait pas de soutien-gorge, un bon signe me dit-je.
Je m’assis donc également à la terrasse face à cette belle nymphe, je tremblais de désir.....
Elle croisa mon regard et un beau sourire se dessina sur ses lèvres, "aurais-je une chance" me dis-je.
Je commandai donc un kir, en exigeant qu’il soit fait avec un bourgogne blanc aligoté et une crème de cassis, et tout en sirotant mon apéritif, je ne détachais pas mon regard de ma proie. Je plongeai mon regard dans le sien et nous restâmes un petit moment les yeux dans les yeux, et elle baissa son regard...
Je me lèva et alla m’asseoir à sa table: elle sourit, je lui offris un verre qu’elle accepta avec plaisir..... je me disais, la chance me sourit t’elle, et en espérant que cela soit le cas, je me mis à parler de tout et de rien; nous échangeâmes nos prénoms, j’en espérais plus, elle s’appelait, Christine et était depuis peu dans le quartier qu’elle aimait beaucoup, nous étions donc toutes les deux à papoter comme de vieilles commères, lorsqu’ elle prit les devants: sa main se posa sur la mienne et son visage s’approcha du mien, pour me murmurer,
- j’ai envie de toi, viens chez moi,
J’en suis restée un moment sans rien dire ne m’attendant pas à cette réaction; j’avais mis au point tout un stratège pour la séduire, mais me reprenant et avec un beau sourire j’acceptais sa proposition.
Ayant réglé nos consommations nous nous dirigeâmes vers son appartement, situés non loin des Champs, précisément rue Marbeuf, un petit immeuble de grand standing, probablement réalisé par un architecte de renom, son appartement se trouvait au troisième.
En chemin elle me parla d’elle et cela me permit de me faire à l’idée d’avoir une nouvelle compagne; on entra dans une petite entrée assez accueillante et je constatai que ma nouvelle amie était une personne de bon goût, et certainement avec des revenus aisés.
Dans le salon je fus surprise de voir un homme assis de manière très décontracté devant son ordinateur: il tourna la tête vers nous et j’eu aussitôt un petit frison tant il ressemblait à un apollon, brun style Andalous, une chemise blanche ouverte sur son torse musclé manches relevées négligemment et un jean un peu délavé; il se leva , me souhaita la bienvenue et se présenta,
- je suis François le mari de Christine,
Je venais de comprendre elle recrutait pour son homme!!!!
A ce moment je faillis faire demi tour, mais une petite voix me disait "reste c’est une expérience à faire".
En cette belle journée d’automne où je pensais me dénicher une compagne, je me trouve dans l’appartement d’un couple.
Si ce matin on m’avait prédit cette situation j’en aurais rit, quoiqu’il en soit les présentations faites, Christine me servit un verre de champagne et m’annonça que bien que mariée à un homme, elle avait une attirance pour les belles filles!!
Là , elle marquait un point, pendant ce temps François pianotait sur son PC, et ne tournait même pas la tête vers nous, je me disais ok je vais faire l’amour avec Christine ( je l’espérais, n’étant pas encore tout a fait prête de le faire avec un homme.)
Après moult papotages, Christine me prit la main et gentiment m’emmena dans sa chambre, là se trouvait un très grand lit avec des tentures, rappelant l’orient; elle me débarrassa de mon chemisier et de ma jupe, et fit hum en voyant que je ne portais pas de petite culotte , et fit une petite plaisanterie, « enfin un petit berlingot tout frais », et elle se dévêtit avec lenteur de façon à me faire apprécier ses charmes, puis enleva en dernier son string: son sexe était soit rasé soit épilé ...
Une prochaine approche me l’apprendrait; Christine était une belle femme et j’était heureuse de découvrir son intimité.
Elle se mit prés de moi et tout en me caressant les seins, elle me murmura, Amandine, fais de moi ce que tu veux.. Moi, qui depuis un bon moment, mouillais, je ne me fis pas prier:
je l’allongeai sur ce grand lit , elle se hissa et en ondulant, alla blottir sa tête sur un énorme oreiller ; moi je me mis tout près d’elle, lui mordillant les lobes de ces belles oreilles, mes mains caressant le galbe de ses seins et ses tétons tout gonflés de désir ; elle apprécia mes caresses en émettant de doux gloussements..
Devant ce corps qui m’était offert, je ne savais pas par où commencer tant les courbes était parfaites: mes mains allaient du galbe des seins, titillant les tétons, aux flancs de ma belle conquête, j’étais aux anges.
Christine gémissait d’impatience, je fis par-ci par-là quelques bisous humides et avec une main je lui écartai doucement les cuisses tout en la caressant....: elle était entièrement ma chose, offerte comme un présent à un prince, et j’étais ce prince, du moins sa princesse, je caressais ce sexe tout doux, m’y approchant tendrement j’y mis un doigt: son sexe était humide à souhait...
Avec la langue je me mis à chercher son clitoris, et là un gentil clito se gonfla sous mes petits coups de langue.
Christine gémissait doucement, moi je me mis un doigt de ma main libre histoire de ne pas être en reste, je me délectais des jeux à venir, j’étais sur Christine arqueboutée ,mon fessier en l’air, ma langue labourant son sexe et son clito.
De temps en temps avec un de mes doigts je fouillais dans cet antre humide: sous mes caresses répétées son sexe s’ouvrait comme un pétale de rose.
Soudain deux mains me prirent les hanches, et avant que j’aie le temps de tourner la tête, je sentis une douce chaleur me pénétrer , je compris que c’était un sexe d’homme !
Machinalement sans réfléchir je retirai aussitôt mon doigt, afin de laisser le passage, c’était François, je l’avais oublié et pendant un moment j’avais cru pourvoir être seule avec Christine, (que je peux être naïve), mais mon envie d’avoir du plaisir avec un homme arrivait.
François m’ayant pénétré sans difficulté tant j’était humide de désir, que dis-je trempée, et voyant que cela n’avait pas l’air de me déplaire il se mit a effectuer des va-et-viens doucement avec application et me pénétrant profondément, avec des petites claques sur mes fesses histoire de me détendre... Son sexe chaud et bien dur, par le désir qu’il avait, me fit énormément de bien, et je me mis à continuer ma douce besogne avec Christine qui penchait la tête sur le coté pour voir son mari me prendre en levrette.
Après un bon nombre d’aller et venues, qui me firent un énorme plaisir, me donnant des frisons de bonheur, François ,me réconciliant avec le sexe de l’homme, se retira et partit, puis revint avec un strap-on-dildo qu’il me dit de mettre: je compris sans difficulté, ce qu’il attendait de moi, Christine me dit que cela lui plairait énormément.
Equipée de mon strap-on-dildo, Catherine mon ex, le mettait très souvent, je m’allongeai sur Christine ...
François m’arrêta, il me dit non pas comme cela, Christine se mit à quatre pattes son petit cul tourné vers moi, attendant l’estocade, elle voulait simplement que je la sodomise et je me mis donc à l’ouvrage: d’habitude c’était moi qui était à sa place.... mon avenir changeait de manière très significative, et ma véritable nature se dévoilait.
Je pris plaisir à posséder Christine et sentis de nouveau les mains de François sur mes hanches, mais là il prit un chemin différent et c’était au tour de mon petit cul, d’être sodomisé: je me mis à rire, je m’imaginais un grand nombre de filles et d’hommes se sodomisant mutuellement et formant une chaîne.
Après avoir prit beaucoup de plaisir nous primes une autre position, Christine me demanda de la baiser normalement, afin qu’elle puisse me caresser, palper mes seins, titiller mes tétons.
François se mit à la tête du lit ces cuisses entourant la tête de son épouse, je compris le message.
Tout en labourant la belle, je pris le sexe de François et fit comme avec une sucette: après quelques coups de langue, il me prit les cheveux et s’engageât doucement en moi, je n’eu pas de haut de cœur comme je le craignais, même que celà me plut et, je me mis à l’œuvre avec frénésie.
Christine sous mes coups de strap-on-dildo, prenait son orgasme en poussant des petits cris....
En entendant son épouse jouir, François se lâcha, je fus surprise par cette éjaculation buccale, son sperme était chaud, j’avais entendu dire qu’il avait un goût amer: personnellement je ne lui ai pas trouvé un quelconque goût, mais c’étais jouissif.
J’ai pris beaucoup de plaisir avec ce couple, mais en restant toutefois sur ma faim.
François me coucha, après m’avoir enlevé le strap-on-dildo, puis ils se mirent à deux sur moi avec des sex-toys afin de me donner du plaisir: j’étais leur chose !!! François s’occupait de mon petit cul, tandis que sa coquine d’épouse s’occupait de mon petit minet, et ils ne ménagèrent pas leur peine.
François tout en s’occupant de mon petit cul avec un sex-toy de bonne taille me caressait les seins les tétons; je ne savais plus ou j’étais je perdais le controle, toutes ces caresses me rendaient folle, je gémissais à chaque mouvement, et le plaisir me fit frissonner ; je l’avais à fleur de peau, je poussais de petit cris, jamais j’avais éprouvé tant de plaisir, et il montait en moi de façon crescendo, j’en tremblait et soudain, ce fut l’explosion, je me mit a crier.
Ce fut un orgasme puissant qui me fit presque hurler, moi qui étais si discrète quand j’obtenais mon orgasme, ce fut un jour mémorable, et je m’étais réconcilié avec l’homme.
C’était leur façon de me remercier, et je leur en étais reconnaissante.
Nous restâmes un bon moment inertes tout les trois étendus sur ce grand lit, savourant notre plaisir.
Puis je pris congé de mes nouveaux amis après avoir pris une bonne douche et nous échangeâmes nos numéros de téléphone, avec promesse de se revoir.
Me retrouvant seule chez moi j’étais heureuse de n’avoir pas eu de dégoût quand François m’eut pénétré, il faut dire qu’il l’avait fait doucement et avec gentillesse pas comme ce butor qui avait prit ma virginité; je suis également très étonnée d’avoir pris en bouche son sexe et d’avoir avalé sa semence.
Cette rencontre déclencha chez moi le désir d’être une coquine, dominatrice ou soumise selon mes partenaires qu’ils soit femmes ou hommes. Certaines personnes diront que je suis une salope, en fait ils emploient ce mot n’aimant pas le plaisir, ceux qui aime disent coquine. Toute la nuance est dans le choix de notre vie amoureuse avec des tabous, ou sans tabous; balayons les tabous et laissons l’imagination , le plaisir prendre le pas sur une vie triste et sans piments.
Pour moi cela ne fait aucun doute, ma vie sera une vie de plaisir et de débauches, le marquis de Sade notre maître, fit cette citation...
Une jolie fille ne doit s’occuper que de foutre et jamais d’engendrer, et je compte bien suivre cette citation, adviendra ce qui adviendra.
Le lendemain je pris comme d’accoutumé ma douche en suivant le même rituel, je pris nue mon petit déjeuner, et entrepris de me maquiller légèrement comme la vieille; je choisis comme appâts des bas-jarretelles blancs et mis une jupe plissée de couleur jaune pastel, sans culotte comme j’en prenais goût.. Je me regardais dans la glace, j’avais une grande glace ou je me reflétais toute entière, et j’aimais m’y admirer nue ou en petits dessous: le reflet me renvoyait l’image d’une coquine partant à la chasse; on apercevait le haut des bas...... pour le haut je pris un petit tailleur très échancré de la même couleur que ma jupe et à même la peau, je regardais encore l’ensemble, je me dit oui je suis une coquine, une gourgandine, une salope ou tout simplement une pute, chacun trouvera le qualitatif qu’il souhaite me donner.
Je partis de nouveau en chasse, je descendis les escaliers en colimaçons de l’immeuble ou je résidais, je vis en bas Eric mon petit voisin de dix huit ans qui se penchait pour regarder sous ma jupe, je fis mine de ne pas le voir et fis un mouvement qui permis à la dite jupe de se soulever et je me dis « Amandine tu es une garce »..
Eric monta vers moi me dit un petit bonjour et mit subrepticement sa main sous ma jupe, je fus surprise par son geste, tout en l’appréciant,
- Eric que fais-tu,
- Amandine cela fait pas mal de temps que je t’observe et tu me rends dingue, j’ai une putain envie de toi, si mon geste te gène excuse moi, je n’y tenais plus,
Je lui répondis,
- ce n’est pas grave,
Et en disant cela, l’envie me prit de prendre ce jeune homme en main, je le pris donc par la main et lui chuchota a l’oreille: "viens je vais te donner de quoi rêver".
Moi qui était une lesbienne me voila devenue une accroc au sexe d’homme, mais au fond de moi ma préférence allait aux filles, on ne change pas entièrement au bout de six ans, et oui j’étais restée six ans avec Catherine, et je n’avais connue que ses caresses ses attouchements qui, certains soirs, me manquent.
Donc je fis monter Eric dans ma chambre, il n’était plus puceau, dommage me dis-je je lui aurais bien pris son pucelage , il m’apprit que cela avait été bon, mais sans saveur, je le comprend à son âge, les filles comme les garçons ne connaissent pas les diverses façon de prendre du plaisir, bien que j’en avais pas l’habitude avec les hommes, François m'a dit "tu es une experte", joli compliment qu’il m’avait fait ce jour là,
J’entrepris donc de défaire sa ceinture et de lui descendre son pantalon, ainsi que son caleçon, son sexe se mit au garde à vous, et il était bien monté le petit Eric, j’étais aux anges et je me mis à le lécher doucement, en insistant bien sur la base du gland et ensuite goulûment, l’enfournant en faisant des aller et venues: Eric se cabra tel un pur sang, j’arrêtai les vas et viens, je voulais garder ce sexe bien chaud et bien dur pour mon petit minou; je m’allongeai sur le lit et Eric se plaça sur moi il me fit un petit doigté , histoire de m’humidifier: il n’était pas très doué pour les massages intimes, mais je comptais bien remédier à cela par la suite... Pour notre première baise je décidai de le laisser faire, il me pénétra avec douceur tout en caressant mes tétons, et entreprit les vas et viens: il n’était pas doué pour les caresses clitoridiennes, mais pour la baise il l’était, et j’avais de plus en plus l’intention d’en faire mon compagnon personnel, mon petit étalon....
Au fait je ne vous l’ai pas encore avoué, je suis plus clitoridienne que vaginale!!
Mon avenir, du moins en ce qui concerne le sexe, et ce qui va avec c'est-à-dire le plaisir se présentait sous de bon augure.
Mon congé arrivait à terme, et il fallait reprendre le travail, j’étais employée dans une grande société d’import-export en qualité d’hôtesse d’accueil, la tenue vestimentaire stricte était de rigueur, je portais lors de mes services, une courte jupe bleue, un tailleur de la même couleur porté sur un chemisier blanc, avec tout de même des bas jarretelles blancs .. ; cela me donnait un air sévère, mais pas inaccessible heureusement.
Donc ce lundi matin je me rendais comme d’accoutume à mon lieu de travail, Corinne ma collègue avec qui je travaillais était déjà à son poste, elle m’aperçut et vint vers moi avec un grand sourire: elle m’apprit qu’au sein de la direction venait d’être nommé une directrice, et qu’elle était plus que bien physiquement!!
Cool ça changeait du vieux directeur grognon, jamais content,
Sur ce petit rapport de commère je me mis à mon poste, la journée se passa agréablement, j’avais retrouvé mes collègues et amis, la semaine se passa sans luxure, Eric était partit pour deux semaines faire un stage dans le Morbihan, mais je comptais bien pour la semaine à venir me remettre à l’ouvrage en y mettant les bouchés doubles.
Nous étions à la fin de la semaine, et vers les dix sept heures, une demi heure avant la débauche, la directrice vint nous rendre visite. C’était la première fois que nous avions l’honneur de sa présence, elle se dirigea donc vers Corinne, et lui donna des consignes, en partant elle me regarda droit dans les yeux, puis son regard passa en revue ma personne, elle m’adressa la parole et me dit : "venez dans mon bureau à dix sept heures trente, je vous y attends".
Je me rendis donc au bureau de la directrice , il se trouvait au dernier étage; arrivée devant la porte, je réajustai la jupe de mon tailleur, et frappai: une voix autoritaire me dit d’entrer, ce que je fis, la directrice me pria de m’asseoir, je pris donc un siège et m’installai en croisant les jambes.
Curieusement les sièges était légèrement éloignés du bureau, elle se leva et s’approcha de moi, me dévisagea sous tous les angles, elle était encore plus belle que ce qu’on le me l’avait décrite.
Une princesse: elle portait une robe noire, avec des manches ballons, ceinturée à la taille, elle avait une grande classe avec une touche sexy.
Elle me demanda si mon travail ici me plaisait, je lui répondis,
- oui,
- oui madame la directrice dit-elle, on dit madame la directrice,
Surprise par sa réaction, et le ton qu’elle avait employé, je m’entendis dire,
- oui madame la directrice,
avait une petite voix de jeune fille que l’on vient de gronder...
Bien à la bonne heure tu me parais être une jeune fille obéissante, je me posais depuis un bon moment, la question sur son âge, mais sans résultat: lève toi me dit-elle en employant toujours ce ton autoritaire, ce que je fis aussitôt, comme elle se trouvait devant moi dans une posture d’attente ces mains posés dessus son bureau, et immanquablement en décroissant mes jambes, son regard se posa sur mes entrecuisses apercevant mon sexe nu, je vis à cet instant l’espace d’une seconde, un beau sourire sur son visage d’habitude sans expression..
Elle me fit tourner sur moi-même, et dit,
- tu es une belle fille, tu sais,
- oui madame la directrice dis-je,
Sa main se posa sur un de mes seins pour constater leur fermeté.... Comme elle vit que ce geste m’avait surprise, elle m’annonça : ma belle j’ai appris que tu t’intéressais aux femmes plus qu’aux hommes, c’est mon cas et tu me plais, et elle ajouta ce qui me plait...
je le prends.
Sur ce discourt qui ne demandait aucune réplique, elle me pria de m’asseoir sur le bureau ce que je fis, je pensais "ça va être ma fête, humm j’aime la tournure des événements", gentiment mais fermement elle écarta mes cuisses, je l’aidai en remontant légèrement ma jupe afin d’écarter les cuisses à sa convenance,
- Amandine tu es ravissante, c’est bien Amandine n’est-ce pas,
- oui Madame la directrice,
- moi c’est Diane, mais continue à m’appeler madame la directrice,
- oui Madame la directrice,
- bien, j’ai vu ce que je voulais voir, rentre chez toi, on se reverra demain, passe une bonne nuit.
Arrivée chez moi, je réalisai que cette aventure allait me propulser dans ma quête du plaisir, et sur cette bonne réflexion, j’allai me coucher.
Le lendemain toute joyeuse, je me rendis à mon lieu de travail, Corinne était comme à son habitude sur place, accompagnée d’une jeune fille qui apparemment avait prit ma place. Corinne m’apprit que Hélène c’était son nom prendrait ma place, et que j’étais attendue chez la directrice.
Diane m’attendait, elle m’apprit que dorénavant j’étais à sa seule disposition, je devais la suivre dans tous ses déplacement. Diane, ne m’en dit pas plus.
Je ne savais pas quel était ma fonction, mais j’en avais une idée assez précise, Diane voulait que je sois sa soumise, cela ne me déplaisait pas du tout du reste.
Diana s’adressa à moi de son ton autoritaire.
- J’espère que comme à ton habitude tu n'as pas mis de dessous, hormis tes bas jarretelles,
- non madame la directrice dis-je,
- bien à la bonne heure,
Elle me pria de m’asseoir à son bar, qui se trouvait être dans un coin du bureau, j’y pris place.
- à l’approche d’un visiteur ou une visiteuse, tu décroises les jambes et tu écartes très légèrement les cuisses
- Bien madame la directrice
Perchée sur un haut tabouret, je remontais légèrement ma jupe et croisa les jambes, que je décroiserais lors de la venue d’un client, afin de l’aguicher.
Je devenais un appât pour ces clients, hum ou cela va me mener, pensais-je on verra bien.
Donc j’étais dans cet immense bureau assise sur mon tabouret à la manière de l’ange bleu, un film de Joseph Von Sternberg, sorti en 1930, joué par l’incomparable Marlene Dietrich, film que j’aime énormément.
La matinée se présenta tranquille, Diane me fit prendre une pause d’une demie heure, enfin une maîtresse qui prend soin de sa soumise, cela me plaisait, j’étais prête à tout, pour ne pas lui déplaire.
Elle m’emmena déjeuner à son restaurant, une superbe fille blonde, habillé sexy l’accompagnée, fille que je regardé comme une rivale, l’hôtesse du restaurant nous plaçâmes à une table déjà occupé par un homme d’âge mur, et de belle prestance, au cours du repas, je compris pourquoi Diane avait invité la superbe blonde, c’était une call girl offerte par Diana à son client.
Personnellement j’aurais bien aimé être la call girl, L’homme avait une grande classe, et de lui émanait une grande force.
Le déjeuner se passa de façon très agréable, Diane menait les débats, l’homme fut ravi de ce déjeuner et parti avec la belle blonde, le contrat venait d’être remporté par Diane.
Nous rentrâmes, arrivés au bureau Diane me dit je suis fière de toi, tu ne m'as pas être déçue, je fus étonnée je n’avais pas dit un mot hormis les formules de politesse habituelles.
Dans l’après midi vint un homme de grande stature et bien mis de sa personne, Diane et lui avait l’air de se connaître de longue date, ils se mirent à parler affaire, et pendant tout le temps de la discussion l’homme n’arrêtait pas de jeter un œil sur mes cuisses, et surtout mon entrecuisse.
Je me mettais à sa place: voir une belle décroisant ses jambes pour en montrer ce qu’elle avait de plus chère, avait de quoi captiver le regard.
Diane, ma maîtresse c’est comme cela qu’il faut que je la nomme en dehors du travail, au bureau c’est toujours la madame la Directrice.
Apparemment satisfait l’homme, se leva et quitta le bureau en me faisant un clin d’œil au passage, Diane me sourit, elle paraissait très satisfaite autant par ma prestation, que par le contrat qu’elle venait de signer, se tournant vers moi elle me dit,
- ce soir c’est la fête, et tu viens avec moi,
- oui madame la directrice,
J’étais aux anges.
Nous rendîmes, chez elle, une bien belle demeure à l’architecture fluide, situé non loin de la forêt domaniale de Fontainebleau, elle me la fit visiter, ce qui me plus le plus était la grande terrasse donnant sur la forêt.
Nous primes le dîner, servi par une belle servante brune, et sexy de surcroît, Diane surprit mon regard admiratif posé sur sa servante,
- oui j’aime m’entourer de belles femmes que ce soit des servantes ou des amies.
Le dîner prit fin, Diane se leva et mit de la musique,
- je t’ai dit que ce serait la fête mais ce ne sera que pour nous deux,
Sur ces mots elle me prit par la main et me serra contre elle, et nous nous mimes à danser.
Tout en dansant ces mains me parcourait le corps allant de mes fesses à mes seins, moi j’étais au paradis une femme qui me désirait, et pas n’importe quelle femme,
- Amandine dans l’intimité comme en ce moment tu peux m’appeler Diane,
- oui Diane.
Tout en dégustant notre champagne, assis sur le canapé du salon, Diane, entreprit ses fouilles en profondeur, sa main se faufila entre mes cuisses, que j’ouvris progressivement, sa main atteignit mon petit minou, et oui j’aime l’appeler de ce doux nom, tout en y pénétrant son doigt elle m’attira vers elle et m’embrassa avec passion, je mouillais de plaisir et d’envie.
Diane le pressentit, elle me prit par la main et me conduisit dans sa chambre.
Une fort belle chambre avec une grande baie fenêtre, et au centre un grand lit, toujours dans un style contemporain de bon goût aux couleurs pastel.
Nous ne primes pas le temps de nous déshabiller, installées sur le lit, nos mains palpaient, titillaient, caressaient.
Diane m’embrassait sans cesse déclenchant chez moi un énorme désir.
Sa main quitta mes entrecuisses, elle s’étira sur le lit afin d’aller ouvrir le tiroir de sa table de nuit, elle en retira un énorme sex-toy, qu’elle déposa sur le lit à porté de main, moi j’en avais profité pour lui enlever sa petite culotte, pour et déposer mes lèvres sur son petit berlingot, tout comme moi elle était épilée, j’y introduisis ma langue, à ce moment la rien ne pouvait me détourner de ma dégustation du sexe de Diane, qui de son coté se retourna pour en faire de même... Toutes les deux, tête bêche, nous étions au paradis.
Diane attrapa, son sex-toy qu’elle se fit un plaisir de m’enfoncer dans mon sexe qui était en attente de la chose, sex-toy qu’elle manipula avec brio, tout en m’embrassant fiévreusement, je pris beaucoup de plaisir, et mes gémissements en était la preuve.
Ne restant pas inactive je lui palpais le sexe et lui enfonçais autant de doigts que je pouvais.
Elle me remis son sex-toy, pour qu’à mon tour je lui enfonce dans son sexe, ce que je fis avec un grand plaisir, nous étions heureuses.
Diane prit un autre ustensile, un strap-on-dildo, qu’elle se mit à la taille, je m’empressai d’écarter les cuisses pour lui faciliter la tache, elle fit ce que tout homme fait dans cette situation, mes gémissements se firent de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts pour finir dans un cri, qui annonçait l’orgasme qui montait en moi me donnant de légers frissons, et finit par éclater dans une apothéose de couleurs.
J’étais heureuse, nous fîmes une légère pause.
Diane enleva sa ceinture et me la remit, je me l’installais et ainsi équipée je lui rendis le plaisir qu’elle m’avait donné.
Nous restâmes, un long moment, couchées sur ce grand lit, nos minous ronronnant de plaisir, savourant les moments d’extase, de nos ébats.
Nous remîmes le couvert, et l’extase se prolongea toute la nuit.
Au petit matin, heureuses mais fatiguées, que dit-je éreintées, nous primes le petit déjeuner au lit, qu’une de ses servantes nous servit.
La servante de Diane était très belle, habillée très, très sexy, elle était nue, portant un petit tablier en dentelle blanc.
Diane me dit en voyant mon regard posé sur sa servante,
- si ça te dit la prochaine fois, on peut faire à trois,
Je répondis,
- avec plaisir.
Nous allâmes toutes les deux sous la douche, dans sa très grande salle de bain: il n’y manquait rien, il y avait même un grand bal néo.
Sous la douche nous réprimes nos attouchements, avec le gel douche c’était divin, je butinais son petit berlingot, j’y introduisis ma langue, hum comme j’aime cela, elle se laissa faire, l’eau ruisselait sur ses seins, elle légèrement en arrière prenait son plaisir, elle en profitait pour se masser les seins, elle en gémissait de plaisir.
Je passais mes bras sous ces cuisses, tout en la butinant, pour lui tenir à pleines mains ses fesses, que j’attirais sur moi, ma tête enfouie dans son minous, ma langue à fond, j’aspirais ce doux clito, j’en bavais de plaisir.
Diane gémissait de plus en plus, et cela m’excitait, je redoublais de pression sur ses fesses et ma langue s’activât davantage, j’aurais voulu avoir une plus grande langue, Diane cria de plaisir, tant son orgasme fut violent.
Notre douche prise, nous allâmes sur la terrasse, nous prélasser, la journée s’annonçait sous un beau soleil, la forêt avait revêtu sa plus belle tenue, elles arborait avec fierté ces plus belles couleurs mordorées de l’automne.
A suivre
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