Extrait du site https://www.france-jeunes.net |
J. K. Rowling |
Abracadabra... La célébrité ! |
Tout vient à point à qui sait attendre, dit le proverbe. J. K. Rowling a écrit son premier livre à six ans. Elle n'a jamais cessé de griffonner, mais il lui a fallu attendre un quart de siècle pour sortir de l'anonymat. Jamais cette mère divorcée, dépressive et sans le sou, n'aurait pu prévoir que son histoire de petit sorcier à lunettes, rédigée dans les cafés d'Édimbourg tandis que bébé Jessica faisait la sieste à côté, allait la rendre aussi riche et célèbre qu'une pop star. Les nombreux éditeurs qui ont refusé son manuscrit non plus. Quand paraît finalement Harry Potter à l'école des sorciers en 1997, c'est le succès immédiat en Angleterre. Couronné de multiples prix, le livre atteint les États-Unis un an plus tard et ne tarde pas à faire partie de la liste des best-sellers de New York Times. Au troisième tome, Joanne Kathleen Rowling, qui s'est elle-même décrite comme " une pauvre fille à lunette vivant de l'aide sociale" avait déjà récolté plus de 400 millions de dollars américains. En novembre 2001, quand paraît sur les écrans de monde entier Harry Potter à l'école des sorciers, le filme génère en trois jours seulement des recettes de plus de 90 millions de dollars américains. Sans parler des produits dérivés. À ce jour, plus de 100 millions d'exemplaires des quatre premiers volumes de la série se sont envolés. La "pauvre fille" figure aujourd'hui parmi les femmes les plus riches du Royaume-Uni. Mais elle ne se laisse pas distraire. Elle avait prévu une série de sept livre pour raconter cette histoire abracadabrante, qui a germé dans son esprit à bord d'un train entre Londres et Manchester, elle ira jusqu'au bout. D'ailleurs, le dernier paragraphe de septième livre est déjà écrit. Inutile de dire que la cinquième tranche des aventures de Harry Potter est très attendue. Si tout va bien, petits et grands pourront mettre la main dessus au milieu de l'année. À moins que... La romancière britannique de 35 ans s'est mariée à la fin de décembre avec Neil Murray, un anesthésiste à lunettes rencontré il y a un an. Aux dernières nouvelles, elle était introuvable. Les formules magiques d'usage n'ont donné aucun résultat. Pas moyen de lui parler. Même son éditeur britannique, Bloomsburry, n'arrivait pas à la joindre. |
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