Extrait du site https://www.france-jeunes.net |
La joie des malchanceux |
Il est vraiment idiot de s'imaginer que tous le monde a de la chance. Moi par exemple... J'enchaîne les malchances. Je vous explique... |
En fait, mon avis sur la chance et la malchance a commencer le jour où j'ai passer la plus sale journée : en gros c'est simple; un beau matin pendant ces radieuses vacances de Toussain, alors que j'avais pris des bonnes résolutions pour les jours qui allaient venir, c'est à dire faire du sport et étudier ; je me levis, sans aucunes craintes. Peut-être aurais-je dû ne pas poser le pied gauche en me levant... Je ne m'en souvient pas très bien, mais après tout, c'est peut-être pour cela que ma journée fut gaché... Donc ce matin-là je me lève (de bonne heure s'il vous plait : 10h), me prépare, et vais courir dans mon quartier. J'ai pas fait dix minutes de jogg, que "plaff !" je m'est le pied dans une crotte de chien encore toute fraîche. J'essuie comme je peut mes chaussure dans l'herbe, et reprend ma course. Je peut pas tenir plus de 30 seconde que je suis déjà essouflé, s'arrêter en pleine côte... Pour reprendre c'est dur ! Surtout si on est gollé comme moi, avec mes 93 kilo pour 1 mètre 63, même là j'ai pas de bol. Donc je me met à marcher. Tranquillement j'emprunte des sentier où je ne peut rencontrer personne. Et là qui c'est que je vois ? Mon prof de sport, suant comme un port sur son vélo qui me fait : " Tu fait quoi alex ? Tu sort les poubelles ?". Super la blague ! Heureusement que j'ai fait mine de ne pas entendre lorsqu'il m'a dit "bon allez, roule bien !", parce que je ne voulais pas que ma journée commence par cela. Enfin j'arrive au stade, où beaucoup de coureurs en colants moulant se trémousse. Et c'est là que je glisse sur une peau de banane et que je m'étale de tout mon poid. Tous les regards se sont tournés vers moi. Le malaise total. Que faire dans pareil situation ? Il y avait une peau de banane en plein milieu du chemin, et il fallait que j'y marche dessus ! Le pire c'est que autour de moi personne n'a levé le petit doit pour savoir si je n'avait rien. Par contre des rires fusèrent ! La honte de ma vie je vous dit... J'ai pas courru, je suis rentré directement chez moi. Là je commence à vouloir à ouvrir la porte... Plus de clées. J'avais perdu mes clées en courant ! Heureusement ma mère était là. Et après m'avoir engeulé parce que j'avais cassé un de ses précieux vase (je n'avais pas du le faire exprès parce que je ne m'en souvient pas !), elle m'a laissé monter dans ma chambre. Là, j'essai de faire des altèr et des abdo. Je ne lâche pas un poids sur mes pieds ! Vite, je vais me passer de l'eau dessus. Je cours à la salle de bain, et là "bam !" la porte de ma chambre s'ouvre brusquement par mon frère. Je me retrouve assomé, étendu sur le sol, et attendant que tout cela soit passé. Mon frère s'excuse et m'aide à me relever. Puis il s'en vas en refermant la porte, dans laquelle malheureusement j'avais mes doit. J'ai crié. Enfin j'ai pû aller à la salle de bain pour me doucher. Là, plus d'eau chaude, que de l'eau froide. Tant pis je me suis dit, ça me réveillera. Vers trois heure, je vais retrouver des copains en villes. Qui c'est que je vois au loin ? Ma copine dans les bras d'un autre gars. Je vais voir, pour mettre les choses au point avec le mec. Ils s'embrassaient. Je le tire violament en arrière pour le frapper, lorsque mon geste reste figé : c'était pas ma copine ! Le gars lui, m'a pas évité, il m'donner un beau coup droit, et si mes copains ne m'avaient pas emporté, j'y serai peut être resté ! Enfin vint le soir, et j'eu la satisfaction de pouvoir me coucher, après avoir remarquer que j'avais pris 5 kilos en un jours. "Peut être que demain sera meilleur !". Cette histoire ne m'est jamais arrivé, vous imaginez bien... Mais tout de même il m'en arrive des choses de temps en temps ! |
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