Aout 2003. La planète est en émoi : le plus sexy des footbaleurs (sois-disant !), David Beckham, est transféré au Real Madrid. Adieu la grisaille de Manchester, place au climat ensoleillé de la capitale espagnole. Le problème, c'est que la chaleur, Victoria elle n'aime pas ça ! Elle préfère les nuages et la pluie. Et puis à Madrid, elle ne sait pas où sont les boutiques. Même pas drôle. Alors, à peine arrivée en Espagne, elle retourne en Angleterre. Pas officiellement, mais de moins en moins souvent.
Une belle boulette. Parce qu'un homme, ça reste un homme, surtout dans la moiteur madrilène. Ainsi vient-on d'apprendre que le beau (?!?!) David a fauté et ce, dès septembre. Il n'aura pas attendu longtemps ! Abandonné par Spice Posh, l'homme qui changeait de coupe de cheveux plus vite que son ombre a succombé aux charmes de son assistante, Rebecca Loos. L'affaire a été révélée par un tabloïd anglais qui s'est procuré les SMS échangés à l'époque entre le footballeur et sa collaboratrice (de chambre).
Parmi ces messages, des questions ("Quel hôtel ?", "A quel heure ?"), des mots ("Je veux t'entendre grogner et miauler") et quelques messages censurés par le magazine ("Quand ta langue courait sur moi, jamais je n'ai... b
ip... si fort", "je suis très, très...
bip... je pense à ton...
bip... et à ta...
bip... ").
Dans un communiqué, pourtant, David a tout nié, qualifiant ces accusations de "risibles", rappelant qu'il avait "une femme formidable". Une femme formidable qui a quitté l'Angleterre dès les premières révélations, direction Courchevel, loin de la presse... Où David l'a rejointe en cathastrophe pour jouer la comédie de l'amour. En apparence, donc, Posh a déjà pardonné.
Mais parions que dans l'intimité, elle a dù adresser à son footeux chéri un tas de mots gentils ("pauvre...
bip... ", "espèce de...
bip... ")...