Textes d'un éternel déprimé

Plus rien, il n'y a plus rien, j'ai tout laissé derrière moi, je n'ai rien conservé, pas même l'amitiée, me voilà seul et condemner a errer dans mon esprit corrompu m'inspirant le mal, puisant sa force sans doute j'usqu'au coeur des enfer. Il me faut du sang, seul l'apocalypse pourrai me sauver de ses griffes, je ne suis qu'un esclave parmi tant d'autres, un esclave du sang et de la coruption la plus pur. Ma nature est devenue incompréensible pour un simple mortel, je suis poussé a faire couler le sang et a répandre la coruption. J'ai changer, j'ai changer a un point inimaginable, mon esprit est maintenant condamné, bien des personnes ont voulu me délivrer, je leur ai craché a la figure, mé ce n'était pas moi, c'était lui. Maintenant ils me considère comme un malade, mais je sait que je ne le suis pas, ils me croient fou, je me sait different


Un ami imaginaire

-"Salut, combien ton moral est bas ? "
Surement plus bas que celui qui s'est tirée une balle hier...
Et tout le monde n'a que faire d'une ame en peine.
Sauf vous, monsieur, vous qui etes la, vous qui me comprené, a défaut des autres. L'hysterie est colléctive.
Je veux partir, partir loin, la ou on ne me retrouvera pas, de toute facon, qui irait me trouver ?
Et vous viendrez avec moi dans cet endroit, il n'y aura que vous et moi, on sera a l'abri de tout, l'hysérie est colléctive, l'hysterie est partout, partout sauf la-bas, la ou la tranquillitée règne, quitter mon quotidien serait la meilleur des choses, je ne peut plus tenir, je veut partir, je ne reviendrait jamais, jamais, jamais.
Plus rien n'aurai d'importance, la vie pourrai fierement porter son nom, plus d'obligation ni de contrainte, sauf celle de vivre heureux.
Ca y est, j'i vais, adieu...
BANG
ainsi se termina la vie d'une conscience lassée par la vie.


Vie futile

Pourquoi suis-je la ?
A quoi est-ce que je peut bien servir ? Ma vie pourrai etre décrite comme un fiasco, je souffre, et je ne sert a rien. Je vois dans la mort une renaissance et un soulagement, je pense differament des autres, il n'y a d'ailleur pas seulement ça a l'écart, je suis très different des autres, mais je sais pourquoi... Je ne suis qu'une larve, j'ai l'impression d'appartenir a une race infèrieur, vivat dans l'ombre des autres, je voudrai etre comme le commun des mortel, etre ne serait- qu'un peut utile, que suis-je au fait ? Il je prefererai ne pas connaitre la réponse, sans doute suis-je comparable a un virus, une larve dans un monde de cruautée et ou le sang coule abondamment, et si c'est pour souffrir, autant mettre fin a ses jours...