Biographie de la faim

Encore un chef d'oeuvre de notre belge favorite, qui nous ponds là, non pas un ouvrage, mais une pure merveille littéraire.
Un livre, une écrivaine fantastique, que demandé de plus ?
"Biographie de la faim", s'illustre dans le genre nothomb, un genre qu'on ne peut décrire, tant par sa qualité que par sa complecité, comme par exemple "Hygiène de l'assassin", qui n'est pas, il faut le dire, pour les petits lecteurs.
Un livre retraçant le jolie vie de notre amélie, du Japon aux Etats -Unis, une vie comme précedemment lu dans "Métaphisique des tubes" toujours la même jeune fille, et toujours une vie de voyages et d'amour.


Une suite des tubes

Après "Métaphisique des tubes", Amélie nothomb s'illustre dans "une suite", qui commence au même point que l'autre roman, mais passe la vie de trois a cinque ans (écrite dans "Métaphisique des tubes").
L'histoire d'une gamine qui vout un culte a sa soeur et sa mère (aucun changement par rapport a precedemment), et qui pense "Je vais me suicider à quatorze ans, j'ais tout vécu pourquoi continuer a vivre ? "
Un roman plus réfléchit que les autres, et qui fait plus réfléchir, sur des sujets quotidiens, l'envie de se suicider quand on est adolescent, les amis lointain, dans ce texte, l'écrivaine touche à tous les sujets, en allant jusqu'à parler de la misère des gens dans les autres pays, tout en continuant le périple d'amélie.


"La faim c'est moi", jolie 3eme de couverture, qui n'évoque rien, ni une envie de l'acheter, ni de ne pas l'acheter, un vide, trois mots une lettre et un apostrophe,
peu pour résumer tout le livre, mais après avoir lu l'ouvrage, sa résume beaucoup plus que tout le livre.


Apprendre à manger

On dévore un livre, celui la, on l'engloutit.
Elle décrit avec passion, le culte quelle a pour les sucreries, et toutes autres friandises, de quoi nous en mettre l'eau à la bouche. Comme quoi, elle sait décrire un mélange écoeurant tel que le cocktail au beurre et à la crème fraiche, dans "L'hygiène de l'assassin", et aussi des sucreries alléchantes.


Ce livre apprend qu'il faut vouer un culte à quelq'un, tel amélie qui le vout à Nishio-An, domestique du Japon, qu'elle adule.
Ou sa mère et sa soeur, qui partagent aussi une énorme place dans le récit, par rapport au frère et père qui sont très peu important pour elle.

C'est donc un livre pour les dix; quatre vingt dix neuf ans, pour ceux qui aime lire et aussi ceux qui n'aime pas, ceux qui ont marre des description de trente pages peuvent lire ce roman, qui réconcilira tout mauvais lecteur avec l'art que maitrise à merveille Amélie Nothomb.