Extrait du site https://www.france-jeunes.net |
Vers une meilleure compréhension du langage |
Ce texte est la suite d'un autre écrit sur la vérité. Je me suis mis à explorer le langage, parce qu'il me semblait qu'il y a des zones d'ombres dans ce domaine. Je me demande dans quelles mesures explorer le langage ne peut pas améliorer l"accès" à une certaine vérité dans les débats que l'on peut avoir. |
Pour comprendre comment fonctionne le langage, à mon avis il faut avoir une idée claire de la propre définition du mot "définition". Dans le 2nd paragraphe d'un article que j'ai écrit qui s'intitule "la vérité" (un lien vers celui-ci est en bas de page), j'en propose une, qui bien que n'étant pas celle que donne le dictionnaire, est utilisée en partie dans celui-ci : 'La définition du mot "définition" devrait être : "les mots qui peuvent se substituer à un mot dans une phrase qui garde le même sens" (c'est cette définition qui se substitue au mot "définition" dans une phrase). ' Dans le 3ème et dernier paragraphe de l'article que j'ai écrit sur la vérité, je remarque aussi que si les mots étaient définis selon ma méthode de nouveau précisée ci-dessus, il y auraient des mots qui n'auraient pas de définitions. C'est ce que je dis en disant : "(...) certains mots ne peuvent pas être définis. Cependant ils ont un sens." Mais maintenant je reviens sur mes propos et me corrige en remarquant que certains mots n'ont, de plus, pas même de sens individuellement comme on va le voir. Ces mots sans définitions, je les appelle des mots "unitaires". Beaucoup de mots n'ont pas de sens, c'est-à-dire qu'ils n'ont pas d'effets sur vous. Si on vous dit le mot "table" par exemple, il n'y a pas vraiment communication. Ce n'est pas une information sur votre façon de réagir. Parcontre au contraire un ensemble de mots, lui, une phrase, elle, a un sens parce qu'elle nous donne une information sur votre façon de réagir. Toutefois on peut aussi imaginer qu'un mot contienne un ordre entier et là il y a communication (bien que ces mots soient rares). Or pour les mots qui n'ont pas de sens pour évaluer leur définition, il faut les intégrer dans une phrase entière et comparer cette phrase entière (qui elle a un sens) à une autre plus longue (avec aussi un sens). J'ai décidé de nommé un ensemble de mots qui a un sens, une "unité de sens". On peut concevoir qu'il y ait des catégories diverses d'unités de sens. Or pourquoi les unités de sens ne sont elles pas toutes constituées d'un seul mot ? Pourquoi sont elles constituées de plusieurs mots qui n'ont pas de sens individuellement ? Et surtout quel est l'utilité de ces mots s'ils n'ont pas de sens ? La réponse, c'est que ça sert à produire une grande économie de mots. On réutilise les mêmes mots dans des phrases différentes et on évite par là même d'en créer de nouveaux. J'ai remarqué qu'en faisant des phrases de plusieurs mots et en réutilisant ces mots dans des phrases différentes, on utilise moins de mots différents entre-eux que l'on utiliserait si l'on faisait des phrases ayant un sens équivalent mais constituées d'un seul mot particulier à chaque fois. En faisant 20 phrases constituées chacune de 3 mots on peut économiser jusqu'à 7 mots de plus que si l'on fait 20 phrases de 1 mot. Je crois que cette économie de mots a une limite et n'est pas infini, c'est pour cela qu'à un moment on ne peut plus utiliser plusieurs mots pour définir un mot, et celui-ci n'a plus de définition à proprement parlé. Ma méthode de définition citée plus haut (et à laquelle je souhaiterais éventuellement donner un nom) permet de définir un mot selon une démarche bien précise et évite qu'il soit défini autrement comme je le pense un peu au "feeling". Les dictionnaires l'appliquent pour certains mots mais pas tous, à tort selon moi. Je me suis interessé aux conséquences d'avoir cette méthode. En particulier un mot peut avoir pour définition un nombre décimal (je veux dire par nombre décimal, tout nombre qui contient en lui une virgule) de mots : un mot, par exemple, peut être défini par 2,5 mots. J'ai une explication à cela. Admettons que le mot A soit défini par les mots B, C et D, que le mot X le soit par les mots B et C, et Y par D et E. On peut considérer que A est aussi défini par X et une moitié de Y. Enfin pour conclure je donne simplement deux définitions. Si un mot A fait parti de la définition d'un autre B. B est "croissant" vers A et A est "décroissant" vers B. Un mot ne peut être à la fois croissant et décroissant vers un autre. En mathématiques, par exemple, j'ai remarqué que la puissance est croissant vers la multiplication, qui est à son tour croissant vers la somme. J'ai trouvé cette constatation mathématiques intéressante. N. B : Voici le lien vers un autre article que j'ai publié intitulé "La vérité" auquel cet article fait à quelques reprises référence : http://www.france-jeunes.net/lire-la-verite-des-methodes-pour-mieux-la-capter-16219.htm |
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