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Défier la guerre |
1918, la guerre frappe le monde entier, plus de 45 millions de soldats meurent tués par leurs propres frères d'armes... Allemands et Français, sont affamés. Presque tous, à leur départ étaient encore des enfants, maintenant ce ne sont que des hommes en permission et des bêtes au front... La guerre fera bien des morts et surtout des malheureux... |
1918, la guerre frappe le monde entier, plus de 45 millions de soldats meurent tués par leurs propres frères d'armes... Allemands et Français, sont affamés. Presque tous, à leur départ étaient encore des enfants, maintenant ce ne sont que des hommes en permission et des bêtes au front ... Tous ont étés changés, et la guerre les a transformés en un rien de temps... Tel que si leurs pères se présenteraient là avec l'ennemi, ils n'hésiteraient même pas à leurs jeter leurs grenades. Tous voient leur pères, leurs frères, leurs compagnons mourir chaque jour ... Albert Kleider, jeune soldat allemand, de la 6ème compagnie, ne redoute pas cette guerre, elle n'a pour lui aucuns secrets, les obus, les fusées et les tanks, ils sait tous les reconnaître et les évités, mais malgré cela, la guerre le dépouillera et le rendra misérable... 11 Avril 1918, la compagnie très soudée est envoyée dans la tranchée, 3 de ses camarades meurent à un mètre de lui sans qu'il ne puisse rien faire. 2 jours après sont meilleur ami Stanislas, marié et père de famille, meurt d'une balle en pleine poitrine le sauvant ainsi. La guerre le dépouille ainsi de tout ce qu'il a de plus cher et de plus précieux, ses camarades... Il s'en voulait, un grand sentiment de haine l'envahit, il s'en voulait, pour lui, ses camarades, certains qu'ils connaissait depuis l'enfance l'aider à tenir le coup et sans eux il n'était plus lui-même, il était une autre personne à présent un meurtrier, un simple et pure meurtrier, un homme raté ... Ainsi, il est le seul rescapé de sa compagnie, c'est presque la fin de la guerre, des rumeurs courent comme quoi il y aurait traités annonçant ainsi la paix, mais Albert s'en fiche, il a tout perdu, tout ce a quoi il tenait, maintenant il n'est plus rien. Tous les rescapés sont obligé de repartir au front dans les tranchées, Albert faillit mourir à 6 reprises, il l'aurait bien voulut, mais pour lui le pire c'est de rester là alors que tout ses camarades sont morts et abandonnés car quand il a voulut les transportés et les enterrés ses camarades l'ont saisit et l'ont emmener avec force, pour lui, il a tout rater, en défiant la guerre, elle la ruinée et la méprisé jusqu'à le faire souffrir et le rendre responsable de la mort de ses camarades. La guerre est une garce et nous devons lutter contre elles même si nous devons arrivés a en mourir, la guerre est la forme de haine qui est enfouie au plus profond de nous, c'est le manque de communication qui mène à elle. Albert périt en Octobre 1918 avant que le traité de paix soit signé abattu par son propre frère. En fait les français étaient venus dépouiller une caserne allemande et avaient pris avec eux les recrues allemandes, le petit frère de Albert, Gildas était l'un d'entre eux et à été forcé à combattre, contra sa partie. Cela et certainement mieux comme ça, Albert fut abattu par son propre frère et la guerre avait gagné ! Sa fiancée, Josy, accoucha d'une ravissante petite fille qui grandit sans même connaître son père ... Et sa vie fut ronger par l'envie de venger son père en évitant que la guerre revienne voler la vie de filles innocentes comme elle, en perdant leurs pères ayant défié, un jour cette satanée guerre, sans qu'elles ne puissent les connaîtrent... |
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