Lettre pour moi-même

A vous qui lisez ceci n'y chercher pas forcement un sens car je n'en donne pas. C'est juste une histoire, une idee, une pensee, rien en fait a vrai dire.
C'est un rale, un mal profond et indicible qui me bouffe litteralement. D'ou il vient où il va nul ne le sais ou peut etre le sais je trop bien. C'est une révolution intérieure une envie subite de changer tout mon etre toute ma maniere d'etre, une jalousie envers les autres et une haine envers ces même personnes. Une haine de moi même de mon mal être qui sue par tous mes ports mais que personne ne percois. Un ras le bol de la vie si dur et si necessaire, vie que je subis sans avoir la force et la volonte d'en changer, je ne suis peux etre qu'un lache conscient de sa propre lacheter et donc irratrapable condamne a etre porter par sa vie sans jamais la dominer.

D'ou viens mon mal d'un declenchement, d'un choix de vie fais a moitier. Choix obligatoire en raison de cette vertue superieure qu'est l'avenir, si trouble et si incertain.

Ma revolution j'aimerai tellement la faire, devenir meilleur, superieur a ce que je suis, plus confiant en moi et en mes capacites. Enlever cette partie enfantile qui est en moi et cette insouciance qui me caracterise. Raboter cette gentillesse envers la vie afin qu'elle ne me trahisse plus et apprendre a communiquer avec les autres sans etre ce pantin sans parole droit comme un piquer qui ne prononce un mot que pour affirmer ou infirmer les dires des autres sans jamais vraiment parler. J'aimerai devenir plus bete et faire plus d'erreur afin d'apprendre la vie et surtout de vivre sans sentir cette conscience de moi même qui me tarode et me force a rester moi meme.

Une jalousie envers les autres eux qui vivent comme je le souhaiterai pleinement ou qui semble vivre comme cela dans ma grande illusion qu'est la vie.
Une folle envie qu'un d'entre eux me foute un coup de pied au cul afin que je change que je devienne un autre pour le meilleur et pour le pire.

Je me hais egalement, peu etre comme chacun d'entre nous plus ou moins, je me hais donc pour mon incapaciter a communiquer a dire ce que j'ai a dire ou peu etre a ne pas pouvoir parler de tout et de rien comme tout le monde. Et plutot que de ne parler de rien je reste cloitrer dans mon mutisme a observer sans rien dire dans ce milieu que je ne connais pas loin de chez moi.

Enfin voilà mon espiation de la vie tirer dans tous les sens par elle, elle m ecartéle jusqu'a ce que je ne sois plus. Elle me dirige et comme un tendre mouton imbut de moi même je me laisse flotter et porter par cette vie choisi à moitié.
Finalement je m'excuse aupres de toi lecteur car malgres tout cela je reste quand même trop moi même a penser au autre. Je m excuse pour cette article brouillon et decousue que je te ponds a cette heure tardive. Alors passe ton chemin et oublie moi comme tant de personne qui passerons dans ma vie.

Adieu...