Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Jeu impérieux


Ce que je pense de l'amour. Les solutions à ceux qui croient que l'amour est une distraction. L'amour a le pouvoir de confondre la nature. Pourquoi les dragons ont disparu ? Pourquoi craignons-nous les déceptions ?



L'amour, l'utilité de l'existence, la marche de la subtilité humaine par la naissance, est vu par notre main comme une activité ludique sans règle universelle. D'aucuns en définissent des suggestions sine qua non à élargir mais plus on les énumère plus ses épingles s'éloignent de la lucidité terrestre. La large cohérence, de part le sens et l'option suprême de cette discipline apodictique de la fleur vitale. La seul chose au monde qui connaisse exactement les impulsions conceptuelles de la vie, les péripeties ou moeurs de l'existence prénatale. La marque sompteuse de la sanctification, la seule valeur qui jugera la religion par dessus le temps.


Le jeu ne nécessite pas seulement une phrase à l'enseigne de "JE T'AIME" mais bien plus de la compréhension, la maturité, la perspicacité, la tolérance tant de parfumeries que nous ne trouverons ensemble que chez la grandeur divine. Par moment, cela nous peine d'entendre la barrière se dresser par l'espritmalenconteux d'une tirce personne qui est ou qui semble incapable de déchiqueter la jalousie. Qui peut aimer sans éprouver une certaine jalousie ? Est-ce là la lucidité, la limpidité de l'amour ? Aimer c'est un monde glorieux, une peine trépidante. Et dame deception que tout le monde craint de manière subrptice ou occulte, à quoi sert-elle ? Souvent, elle nous convainc de la précarité touffu de ce jeu primordial, de la végétation libératrice, chatouillante. Cet aspect abjet et griffu de la candeur est une vitre : à lecher doublement à cause de sa démystification de truculence sourcilleuse. Celui qui n'a jamais été deçu ne connais pas la transcendance, la fluidité, la tonicité, la suprématie de l'amour.


"Les amours aussi passent", à chanter C. DION, mais non aucun amour ne pourra passer si il est bien définie, soigné, séquestré. L'amour est un, les coups de foudre multiple, les séductions infinies. Les dragons ont disparu par manque de distinction précise du terme amour. Et les hommes, ausssi, si nous poursuivons notre périple à confusion, nous rejoindrons les musées et l'on dira de nous ce que nous disons des drogons et des dinosaures.

Je prends une part pour exprimer ma peur face à ce que j'écris à propos de l'amour. Qui suis-je pour pouvoir définir si pas structurer l'amour ? Qu'est-ce qui fat que je puisse me permettre de sanctionner ou d'articuler les outils huileux de l'affres des coeurs ? Et si l'amour se revoltait contre moi ? Voilà l'objet de ma peur, que l'amour puisse me priver de cette personne si importante pour mon existence. Je m'imagine devant la furie, de cet être, causée par la contre-attaque de l'amour parce que j'ai osé l'opprimer. La gloire de vivre l'amour ne suscite jamais exactement ce que les hommes attendent de la nature cordiale. Comment pouvons-nous nous permettre de fustiger une scie qui couvre les veines de nos inconsciences ? Le jour où l'amour cessera de molester la terre, elle s'écroulera.
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