Casshern

Casshern est une reprise d'un celebre manga japonai du même nom. C'est une histoire sur l'humanité comme on en a l'habitude de voir au cinéma : guerre, destruction de la moitiée de la planete. Rapidement : dans un futur proche, l'Asie aura conquit toute l'Europe. Pour compenser les pertes humaines, un savant effectue des recherches sur le génome humain afin de recréer des membres ou même des etres humains si possible. Lors d'un accident, des mutants vont s'échapper du laboratoire pour fuir dans la montagne. A partir de la, ils lancent une attasue contre la race humaine. C'est la que Tetsuya, le héro, va s'opposer à leur plan. Pris au millieu d'une guerre entre les Robots des mutants et l'armée d'Asie, Tetsuya ralisera que les ennemis ne sont pas forcément ceux qu'il croit etre. Mais se résumer à cela serait trop peu décrire le contenu du film, pour la suite y'a plus qu'à le regarder !


Un film nipon

Pour tout avouer, ce n'est pas l'histoire qui a retenue mon attention, ni le jeu des acteurs, qui est aussi présent qu'un cornichon dans une boite de ravioli ; mais plutôt la beauté de l'image, de la noirceur du monde qui est ici filmé. On se demande comment ces personnages arrive à survivre dans ce monde déchu et triste ou je me serais suicidé depuis longtemps, d'ailleurs à ce propos la fin est magnifique digne d'un jeu d'héroique fantasy. Quand je vous dit que casshern est un film croisé avec un manga, je n'exagere pas : personnage aux coupes de cheveux manga, combat vrément, vrément a la manga (petit arrêt à chaque gros coup et dérapage sur le terrain a la DragonBallZ) et répétion du prénom Tetsuya plus de 300 fois pendant le film (... Tetsuya...). Casshern, c'est plus un tableau qu'un film.


Attention !

Ce film c'est : soit on l'aime, soit on le trouve complétement nul. Je le conseil plutôt aux fans de manga et d'histoire épique à la final fantasy.
Après chacun ses gouts mais ne m'accusez pas de vous avoir gaché 3 heures de votre vie (oui, il dure 3 heures).