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Pèlerinage à l'Himalaya : l'incroyable aventure |
Etre sur Himalaya, vous donne l'impression de vous retrouver sur Mars, c'est la plus incroyable d'aventure que vous puissiez imaginer. Mukeshtwar, Un paradis oublié entre le ciel et la terre est l'unique place de la vie où vous puissiez atteindre la paix absolue de l'esprit. La vie dans toutes ses formes n'est qu'une combinaison d'aventures. |
La vie dans toutes ses formes n'est qu'une combinaison d'aventures. Etre sur Himalaya, vous donne l'impression de vous retrouver sur Mars, c'est la plus incroyable d'aventure que vous puissiez imaginer. Mukeshtwar, Un paradis oublié entre le ciel et la terre est l'unique place de la vie où vous puissiez atteindre la paix absolue de l'esprit. De beau matin, l'équipe se prépare pour une aventure qui ne s'effacera pas avec les temps. Ce matin, tous nous somme pousser par le gout du risque, il est six heure du matin, nous revenons tous du grand sommeil, beau, vivant et élégant. Nous partions à la rencontre d'un paradis oublié entre le ciel et la terre, d'une terre perdue. Au départ, Nous faisions semblant de ne s'être jamais connu ni rencontrer, nous nous regardions d'un faible regard sans pour autant dire un mot. Le silence nous gouvernait, soit on s'est dit parfois un timide bonjour. Cette expérience est certainement la plus magique de ma vie. A sept heures pile, notre aventure commence, très vivants, nous embarquions le bus. A l'arrière du bus, naissait une équipe jeune d'animateurs, comme toujours, le jeu de carte et de tombola sont au menu. Le ciel très clair, nous donne son sourire comme un petit tournesol. Nous avions tous les cœurs chauds, nous faisions des vraies marchant des rêves. Mais à vraie dire, nous semblions tous des hommes à problème à la recherche de la paix de l'esprit, une telle tranquillité de l'amé que même le Nirvana ne pouvais nous donner, mais qui se trouvait cacher dans un paradis entre le ciel et la terre. Bon, la cadence été tout de même froide car nous choisîmes un dialogue des sourds. Notre point d'équilibre était le sommet de la terre, nous le savions tous et attendions ce moment. A peine parti de Delhi, la vie devient quelque peu ennuyante, nous avions choisi un langage des sourds, notre silence nous a crucifier. Nous nous réalisions enfin que Delhi n'été plus au coin de la rue, et que nous constituons désormais une famille, une vraie alors ! Aussi parce que, nous comprenions aussitôt que nous avions entreprit un chemin sans retour peut-être, et que les derniers moments de jouir de la vie été ces derniers, et la vie qui est comparable à un voyageur qui laisse trainer son manteau pour effacer ses traces, il faut le tenir avec beaucoup d'attention. Onze marchants des rêves, à la recherche d'un paradis perdu entre le ciel et la terre, entre la vie et la mort. Maman j'ai raté le gange Delhi est distant de quelques milliers des kilomètres maintenant, et les petites merveilles commencent à ôter leur bouqua, dans l'horizon je vois reflète une vaste étendue d'eau sans fin, un grand fleuve aux couleurs du ciel dans la province d'Uttar Pradesh, la terre sainte de l'indouisme. Je somnolais, ça faisait bel lurette que j'avais encore le sens de dormir, vous vous étonnerais peut-être mais je suis un homme hibou, un insomniaque et c'était un peu spéciale pour moi de ressentir quelques sommeils. Un marchand de rêve qui deviendra par après mon pire ami, vint courant à mon siège et dit : "Regard, regard c'est le ganga qui passe là !" Vous voyez, il a dit Ganga je ne lui ai pas du tout capté. Mais, en homme de reflexe je réplique par une question directe : "Parlez-vous du fleuve Gange ?" et c'été un oui que j'entendais. Le fleuve Gange ! J'étais époustoufler, émerveiller et je fis un grand cri de joie, j'ai vu les petites pirogues contemporaines, des gens qui avaient la même tenue que Gandhi avait quand il partit pour la conquête du sel. Vous savez, j'étais dans les terres saintes de l'indouisme ! Magique n'est-ce-pas ? Là se sont créés tous les dieux aux multiples facettes indiens, un moment inoubliable. Mais tant pis pour moi, je ne pouvais finir ma fête, le Gange je n'ai aperçus que peu car Vishnu notre chauffeur ne s'arrête pas, continu son chemin. Ce matin-là c'est la mousson, le niveau de la mer est en hausse, je ne peux prendre un bain sacré. Mon souhait été d'avoir un souvenir vivant du Gange, Je voulais écrire mon nom sur une grotte qui fonce dans l'eau enfin de dire à mes enfants plus tard que mon nom serait écrit quelque part aux confins de la terre, et que mes anges racontent à leurs professeurs d'histoire que notre papa y a été, en plus le nom de notre papa est graver sur une grotte. J'aurais voulu aussi plongé mes deux pieds dans l'eau bénie car là tous les hindous viennent se purifier une fois la vie. Rien n'à marcher enfin, mes illusions n'ont pas vu le jour, c'était un rendez-vous manqué, pauvre-moi ! J'ai raté le Gange. Sur cette terre sainte, brille aussi l'irremplaçable Vârânasî. La place de la dernière ère, la terre sacrée selon l'Hindouisme, Vârânasî est la source vivante de l'hindouisme, selon la mythologie indienne, Vârânasî est la place sainte de l'humanité. Ceux qui meurent à Vârânasî ne sont pas réincarner, ils atteignent directement la divinité. Vârânasî est l'endroit où le monde entier vient décéder pour mettre fin au cycle interminable de la vie, j'ai raté d'écrire mon propre histoire. Premier arrêt : le petit déjeuné qui devient amitier Après plus de quatre heures de route, Vishnu fait son premier arrêt dans un village à Uttar Pradesh. Nous sommes invités à partager un petit déjeuné en famille et là nous avions appris à nous connaitre, l'ambiance été bonne. Le déjeuner finit, sac au dos, nous postions sur une première photo de famille, photo souvenir pour les marchands des rêves, on dirait Lens Armstrong et ses coéquipiers en dix-neuf-cent soixante-neuf quand ils entreprirent leur première aventure à la conquête de la lune avec l'espoir de revoir un jour la vie. Nous aussi nous signions là un au revoir. Vishnu repris sa route, nous nous offrîmes des bonbons et chocolats d'amitié, Cela m'a fait revenir aux paroles de la chanson préférée de ma mère qui disait : Met ta main dans la main de celui qui tend la sienne, met ta main dans la main de celui qui dit bonjour, il sera ton ami et le sera jusqu'à la fin des jours, la main que tu tiens est comme celui qui tient un poignet d'amour. L'orageuse arriver à uttar khand Notre arriver à Uttar Khand, communément abrégé UK, était orageuse, Vishnu est aperçut de loin, quelque chose cloche chez-nous ! Les gardes de frontière nous interdise d'avancer et interpelle Vishnu. Vishnu est auditionnée sur le nombre des passager à bord de son bus, se croyant malin, Vishnu tente de tromper la vigilance des côtiers en gardant secret deux de notre, et oui ! Il y avait excèdent. Mais nous étions touriste, il fallait quand-même un peu de tolérance, ouf ! Un casse-tête. Les tracasseries policières sont énorme, La loi c'est la loi, nul n'est censé ignorer la loi. Un jeu qui risquait gros et qui finalement avait mal tourné. Nous somme transférer dans un autre bureau un peu plus loin où nous somme passible d'amende. On exige de Vishnu le paiement des taxes exorbitantes, nous somme alors contraint d'attendre pendant plus d'une heure pour enfin partir de la frontière d'Uttar Khand. Les gardes de côte travail avec une lenteur exceptionnelle, Méfiez-vous d'irrégularités quand vous prenez ce chemin. Nous avions certes passé du temps à UK, mais cela faisait partie de notre petite expérience, mais surtout, nous sommes excités et nos cœurs brillent de soleil car le fameux Himalaya se dessine dans l'horizon, l'Himalaya ! L'horizon devenait ombrageux et la fraicheur nous frappait des yeux. Deuxième arrêt : le repas d'après-midi qui devient cauchemar Désormais nous somme au pied de l'Himalaya, je vous dis, le pied de cette merveille est d'une fraicheur romantique, bien pour les amoureux, et une senteur paradisiaque. Au pied de l'Himalaya, nous avions partagé notre repas d'après-midi en famille, dans un restaurant végétarien. Nous sommes vraiment les bienvenus, les visages des villageois les témoignent, surtout moi, attirer par ma couleur tendre de peau je fais vraiment objet d'une grande attention, un prince à l'Himalaya ! Tous les visages étaient braquer sur nous, nous nous amusions et avions passé du beau moment. Alors que nous nous réjouissions de la vie, nous faisions notre plein, à l'extérieur l'histoire tourna à son combe. Nous quittions le restaurant pour entreprendre notre incroyable monter sur l'Himalaya, mais quelque chose cloche, Vishnu vint et informe à monsieur Haru que le bus n'était pas en Etat d'entreprendre cette tragédie, que le bus avait besoin de quelques entretiens. Nous étions obligés d'user de patience, nous ne verrons pas les pointures de l'Himalaya aussi tôt. Je voyais un rêve m'échapper, alors je prie dans mon coin. Cela ne sera pas mainte affaire car nous restions incertains pendant plus de cinq heures de temps. Fatiguer, épuiser et désespéré, monsieur Haru tente à plusieurs reprises de négocier un bus de relais mais personne ne veux non plus prendre le risque à cette heure-là, nous n'étions pas chanceux du tout. Le brave Haru se tourmente mais nous ne sommes que contraint d'attendre. Mais quelque chose me tique, pourquoi tous ces gens refusent-ils de grimper sur l'Himalaya ? Ce n'est qu'en ce moment que nous nous rendions compte que nous étions dans un grand danger permanent, grimper sur l'Himalaya à ceux heures tardives c'été la vie ou la mort. Un vrai cauchemar, le sourire nous a tous échappé. J'avais tellement envie de retourner à Delhi, mais Delhi je ne pouvais le voir ni devant ni derrière moi. Qui ne risque rien n'a rien Apres plus de cinq heures d'attente, Vishnu enfin réapparait au bord de son bus, et nous applaudîmes. Il faisait noir déjà, nous avions commencé à écrire notre comédie. Objectif : "Grimper sur l'Himalaya et se poser sur son sommet" Voyez-vous ? Des marchands des rêves ! Une épreuve à haut risque, mais Vishnu est natif de ce coin du pays, il maitrise bien le coin ainsi que ses routes mesquines qui font presque deux mètres et demi de largeur. Ne peux grimper sur l'Himalaya qu'un chauffeur expérimenté. Cette route contourne les montagnes et c'est la plus grande des merveilles que les anglais ont offerts aux indiens. Là mon cœur me lâche ! Je me retrouve entre la vie et la mort, mais je répète sans cesse : "Richie, soit fort car qui ne risque rien n'as rien". C'est vraie, si je ne pouvais supporter, je ne vous larguerais pas ce brillant article sur l'Himalaya. Voilà pourquoi j'introduis cet article en disant que la vie dans toutes ses formes n'est qu'une combinaison d'aventures. Durant la monter certain ne préfère pas assister à ce théâtre, ils choisissent de s'endormir. Se disant, soit je rêverais la vie, soit je me lèverais dans une autre planète peut être. Nous somme parti à la recherche de Mukeshtwar, le paradis perdu entre le ciel et la terre, nous ne voyions les hommes plus que comme des petites fourmis, le ciel comme la terre et la terre comme le ciel avec des milliers des lampes qui brillent sur terre qui vu d'espace vous forme vraiment des merveilleuse étoilés. Vishnu nous rassure vraiment par son air très calme, mais à vraie dire, à chaque fois que le bus fait un arrêt sur la montagne on se sent perdu... Parti à la recherche d'un monde imaginaire. En ce moment, moi je pense à ma mère Kathy qui attend me revoir avec impatience. Mukeshtwar, le paradis caché entre le ciel et la terre Loin dans les hauteurs, apparait une merveille, un patrimoine pour l'humanité, que nombreux d'entre nous ignore, cette merveille c'est le lac Bhimtal situé sur le cratère de l'Himalaya. Un lac sur la montagne, passionnant ! Vous serais éblouies de rencontrer un tel patrimoine sur le toit de l'humanité. Le nom Bhimtal tire ses origines directement de la mythologie indienne qui dit qu'un homme du rang des princes s'appelait Bhimtal, il était mal aimé par ses frères et sœurs qui lui traumatisèrent alors il décida de partir vivre loin dans un monde unique où il pouvait se construire une tranquillité d'esprit. Bhimtal trouva refuge sur l'Himalaya où il vivra une grande pénurie d'eau et qui départ ses pouvoir il créa le lac Bhimtal pour se baigner, Une merveille à Mukeshtwar. J'ai eu la reflexe de regarder au bas de nos pieds et j'ai vu la terre, au-dessus de nos têtes le ciel, et un patrimoine entre le deux. Quelques mètres plus tard, on retrouve une autre merveille du nom de Rita, un fruitier que vous connaissez bien sûr aux fruits très amers. Mais ici je vous relaterai une petite magie, et bien, ici c'est n'est pas la même histoire, les fruits de Rita sont bien sucrée, l'unique place au monde où vous retrouver ce type. Cet arbre à aussi sa place dans la mythologie indienne. Nanak été un chef spirituel communément appeler ici guru, il était en pèlerinage sur l'Himalaya avec ses adeptes, ses adeptes firent affamer et lui rapporta le problème qu'ils étaient en pénurie alimentaire, l'homme tourne son regard, dit aux adeptes, allez-y prenez les fruits de cet arbre et manger. Les adeptes répliquèrent : "Maitre, ces fruits sont amères", l'homme se retourna et dit : "Prenez ces fruits et manger, à partir d'aujourd'hui il est béni et ses fruits sont sucrés" soudain, les adeptes prirent quelques-uns et mangèrent, le fruit fut doux comme du miel, depuis ce jour c'est l'unique place sur terre où Rita donne les fruits sucrés, raconte la mythologie indienne. Impressionnant n'est-ce-pas ? J'étais personnellement intéressé à ce nom car cela me rappelle ma tante Rita qui perdu la vie dans un accident tragique d'avion, que son âme repose en paix. Au fur et à mesure que nous grimpions, le ciel devint une nappe céleste folle d'étoile et d'êtres célestes, à onze heures pile enfin l'odyssée prit fin, nous arrivâmes sur les bouts de l'Himalaya à Frehindi village. Merci Vishnu ! Venez vivre la vie comme dans ses débuts Nous avions enfin atterrit ! Les villageois arrivèrent, un accueil chaleureux nous a été réserver, dans un monde nouveau, on ne se sent pas intégrer dans les premières minutes. Les villageois vraiment sympathiques, ils déchargent le bus, mais avant tout un dîner traditionnel nous a été réserver. Apres, le chef du village nous a présenter nos locaux de rêves. Moi j'étais dans une caserne semblable aux petites casernes de bande dessinée, cela m'a permis de revivre mes jours d'enfance enfuient. Ma caserne au sommet de l'Himalaya, mes jours de rêve ! Rataplan. La vie est encore vraiment traditionnelle sur Himalaya, on dirait qu'elle serait encore dans ses débuts, tout est vert, vous avez le beau décore des nuages qui vole sur les montagnes à quelques mètres de vous, l'inoubliable ! De beau matin, à cinq heures, le soleil se lève, tout grand. Les villageois nous réveils pour partager le petit déjeuner, et juste après nous débutions notre pèlerinage, nous somme parti rencontrer les villageois une par une, ils nous ont servi des fruits, ces indiens ressembles vraiment aux indiens d'Amérique, les visages ovales et taille moyenne. Vous retrouvez des galons doré au coup et pied des femmes mariés. Juste après, nous somme parti pour faire le saut sur la montagne, magnifique. L'Himalaya renferme beaucoup des secrets préhistoriques non encore expliqué qui enrichiraient votre esprit critique et doute méthodique. Une légère pluie balance la cadence, mais nous permet tout de même de voir le White Himalaya qui apparait dans l'horizon. Les pluies sont les pluies grands dangers dans cette zone de la terre, souvent victime des pluies torrentielles et l'impact est tout de même différente. Cette zone est aussi une zone de mélange ethnique, les villageois sont issu de l'indien et du chinois, la race intermédiaire. Les prémices uniques de l'himalaya A l'Himalaya vous avez l'impression de vous retrouver en Amérique latine, vous rencontrez des gens aux visages semblables aux aztèques, aux mayas et aux incas, les croyances sont aussi tout de même proches et les traditions. Quelque part, à la pointure de la montagne, vous retrouver un temple, Guru Dahra, daté de trois mille ans avant jésus christ, vous avez surement de l'histoire à lire, ce temple Hindou peux répondre à toutes vos questions en rapport avec l'existence et la création de l'humanité. A l'Himalaya, vous profiterais vraiment de la vie et de la vie pure, vous avez les fruits rare, vous revivez encore des merveilles qui ont longtemps disparu de la terre suite aux changements climatique et pollution, les plantes pousses naturellement. Ceux qui vivent sur l'Himalaya savent qu'ils ont hérité d'un monde magique et incomparable, alors la conservation de la nature est un principe de même que le reboisement, dès que vous arrivez vous retrouver graver sur les portes de villages, ne détacher aucune fleur ou plante sans pour autant informer au chef du village. Nous avons profitez des danses traditionnelles, des contes, mais aussi une place unique au monde pour les amateurs du yoga et pour les moines qui vivent à la recherche du Nirvana. Partir pour l'Himalaya est votre incroyable aventure, vous gagnerais des prémices. L'Himalaya est l'unique place au monde où la vie est encore pure, où la nature communique encore avec les hommes, où la nature répond à toutes vos questions et là vous pouvez retrouver la paix de l'esprit. Mon séjour m'a permis de formuler ma pensée philosophique, une pensée qui vous fera beaucoup réfléchir : "Et si ma vie, Et si tous ce qui arrive au monde, les chaos et les tourments ne seraient que mon rêve, ne seraient qu'un songe, et que je sursauterais peut-être un jour de ce sommeil, que je me retrouverais sur mon lit, petit garçon peut être, dans un monde dans ses débuts, bien et beau, et que j'écrirais un gros livre vert pour prédire aux hommes ce qui devra arriver avec le temps (le déluge), j'éviterais au monde ces prédateurs qui lui ont ensanglanté et enragé les hommes. Et si nos vies ne seraient que le songe de quelqu'un d'autre ?". |
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