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And now ? (réflexions romancés, ou non)

"Je ne suis qu'un messager qui, essayant de suivre la vitesse hallucinante de ses idées, transcrit aussi fidèlement que possible des idées qui peut être toucherons votre esprit comme elles ont transpercé le mien. Car personne ne peut dire "non" si on ne lui à jamais expliquer ce que cela signifiait."


A la chaîne. Oui, c'est a la chaîne que les Hommes font mal a leur semblables puis répètent inlassablement les gestes qui les ont tant fait souffrire. Un piège interminable que certains se ventes d'avoir vaincu, Psy ou médicament à la main. Mais se ventent-ils également des cauchemars qui les réveillent chaque nuits ? De la camisole de force avec laquelle ils emprisonnent et cloître leur âme à toute vérité ?
Ceci n'est pas un empaquetage, je sais qu'il y a des exceptions. Ils s'échappent et volent loin de toutes ces complications dont l'esprit humain est capable. On les appels chamans, sages, artistes ou simplement drogués. Maltraités par une société terre à terre qui ne s'arrêtera pas et n'écouteras pas ces cas inintéressant pour leur complexe système économique bourré de chiffres et de généralités qui ignore tout. Tout des vrais sentiments des hommes. De la race humaine. Animaux dotés d'un trop lourd fardeau. Un cadeau qui nous pèse, qui nous torture. Ceci n'est que mon avis et de même vous rajouterez que l'esprit à aussi de multiple qualité, "un dont venu du ciel".
Asseyez vous. Fermez les yeux. Oublier tout. N'écoutez plus un seul principe minable que vos parents, éducateurs, polices et politiciens vous ont ancré dans la tête et qui brouille votre propre vision. Une fois que vous verrez tellement clair que vous en aurez peur, osez, osez peser les pour et les contre de votre vie. Osez vous plaindre de chaque égratignure d'âme dont vous avez été victime. Ne cherchez plus à fuir vos maux passé de peur de les voire surgire de nouveaux. Laissez vous submerger par tout ces sentiments.
Moi, lorsque je le fait, je pleure. Et pourquoi ? Car même la totalité du bonheur qui s'offre à mes yeux ouverts, n'équivaut en bien ce que le mal d'une seul cicatrice m'apporte, que je passe ma vie à me le cacher ou pas.

Ne vous dites jamais que vous réfléchissez trop. L'homme est doté d'une âme, laissez la vous guider, arrêter de vouloir tout contrôler.
"Les rues serons remplies d'aliénés bon pour lhôpital psychiatrique". Mais si c'est de votre bouche que sortes ces mots, alors préparez vous à être enfermé, prisonnier d'un sombre lieu ou l'exclus, seras vous.
L'esprit de l'homme ne peut pas être contrôlé ... En effet, comment cerner quelque chose dont on ignore les limites ? Il court parfois plus vite que la simple formulation d'idée à l'intérieur de notre tête. J'ignore s'il est bien ou pas de comprendre tout cela. Ou juste de vouloir le comprendre.
Je ne suis qu'un messager qui, essayant de suivre la vitesse hallucinante de ses idées, transcrit aussi fidèlement que possible des idées qui peut être toucherons votre esprit comme elles ont transpercé le mien.

Car personne ne peut dire "non" si on ne lui à jamais expliquer ce que cela signifiait.


Intro :

- Isa ? (bruit de rue) allô ?
- Hein ? !... Putain, il est 23h55 ! (précis ...) Moi je dors à cette heure la !
- Isa je...
- Merde... (c'est quoi ce ton ?)
- Tu peux venir... ? (Pleures)
- Qu'est ce qui t'arrives ? (C'est quoi ce bordel ?)
- Tu peux venir ? S'il te plais...
- Mais...
- S'il te plais...
- Il est minuit !
- Isa...
- OK... T'es où ? (qu'est ce que je fous !)
- Isa...
- T'ES OU ? !
- Ligne B ... Guichard
- ... (merde) ... Bouge surtout pas.
- Isa...
- Quoi ? (encore...)
- Merci...
- ... J'arrive ? (shit !)

Qu'est ce que je fout ? ! Ma mère va me tuer... Qu'est ce qui lui arrive bordel ?

Me voilà sur ce chemin que je prend chaque matin pour aller au bahut mais là tout est très différent. La peur qui me ronge n'est pas celle de ne pas avoir relu mes cours mais d'avoir eu il y a moins de cinq minutes, le mec que je sais incapable de montrer ses sentiments, en pleurs au téléphone.
Les larmes montent. Je suis perdue. Pourquoi est ce moi qu'il a appeler ? Qu'est ce qu'il fout à Guichard ? !

- Détend toi...

Je vais écouter de la musique. Merde. Saez. Pas géniale pour me donner du courage.
Qu'est ce qu'il fait froid ! Ho... Cette chanson. Je m'arrête et ferme les yeux, chassant quelques larmes éphémères, et me laisse bercer par ces notes mélancoliques ...

- Tuuuuuuuuuuuut !
Réveille ? Non ... Voiture : forcément, en plein milieu de la route.
- Dégage connasse !
Seul mon cœur qui bat à deux mille à l'heure doit s'être rendu comte que je viens d'éviter une voiture de quelques centimètres à peine.
Doigt d'honneur. De lui à moi, bien sur.
... Ha oui !... J'oubliais un instant pourquoi j'étais arrivée en pleine nuit, à 500 mètres de mon lit.
Je suis pas le seule a trouver ma situation étrange. Les rares gens qui sont encore dehors a cette heure là (et assez sobre pour me voir) me dévisagent.
- t'es perdue ma chérie ?
- (sa dépend...) non, non !
Je marche, j'accélère mais je peut pas courir. Mes chaussures me tiennent pas aux pied et j'ai pas envie que mon CD saute.
J'arrive au métro. La peur me reprend. Ma mère va me tuer. Pourquoi je l'ai pas prévenue ? ! Les flics même !
Non mais... Imagine qu'il a rien... Il est peut-être juste défoncé. Putain de merde !
Comme il a changé. Remarque, en traînant avec un gars qui a vu son meilleur ami plombé... Seb, enfant déchu.
Métro. Première porte du deuxième wagon. Par habitude sans doute. Charpennes puis ligne B. Dernier métro... Je ne cherche même pas à savoir comment je vais rentrée. Perdue dans ma bulle de musique je me laisse guidée par mes jambes qui semblent mieux connaître le chemin que moi car j'arrive, sans vraiment y avoir fait attention, Place Guichard.
Il n'y est pas. Je panique. J'enlève mon casque. Je cours le long des escalators qui narguent mes jambes en feu. Mon souffle glacé, saccadé par ma course, coupe ma gorge comme des lame de rasoir.
Une silhouette au loin. C'est lui. La rue est éclairée par ces lampes dont j'aime fixer la lueur éclatante jusqu'à ce que tout autour paraisse noir sauf ce petit point blanc au milieu. Mais là je n'ai pas besoin de ça pour ne rien voir. Il s'approche de moi. Il sourit... De ce sourire frêle de premiers matins de printemps.
Les larmes sur ses joues ont creusées comme une chemin blanc sur son visage, couvert de sang.
- Maintenant j'ai un point commun avec seb.
...


1

Chambre enfumée. Obscurité. Mes bras autour de mes jambes. Je ne pleure pas. Je pleure peu souvent. Sigur Rôs en fond. Je me berce d'avant en arrière. Une insulte au autistes ? Sans doute. Je me sent si proche d'eux dans ces moments là. Je me tient les jambes mais je les serrent plutôt pour m'empêcher de les atteindre.
Je me lève, les bras tendu vers le ciel comme si je pouvait en toucher l'infinité invisible. Je me balance, danse sur le rythme, tout doucement. La musique me porte.
Je n'ai rien pris. Aucuns nectars, aucunes drogues ne trouble mon esprits. Seul la douleur et la puissance de celle-ci guide mon âme à travers ces épaisses et, à croire les adultes, dangereuses brumes. Rien dans mon sang. Pourtant je me sent bien plus déconnectée que lorsque j'ai fumé ou bu.
Je souris. J'aime ces moments. Je ne vivrais que pour eux si je le pouvais... Ne le puis-je pas ?
Cela me ramène durement à la réalité. Je revois son visage. Tous ces visages. Tous ces traumatismes (oui, je sais, tout est relatif) qui me permettent de me rendre complètement stone sans rien absorber.
Cet état. C'est comme une déconnexion que je sent venir. Je sais quant est ce que ça va m'arriver. Alors, comme le prêtre prépare sa cérémonie, moi aussi je m'assure que tout se passera au mieux... Ou du moins, le plus longtemps. Je m'enferme dans ma chambre et met ce que mon frère appelle ma musique de psychopathe. Je m'allonge par terre, sur une couverture, ou sur le sol gelé lorsque je n'ai rien d'autre pour calmer ma fièvre grandissante. Et là je la sent, cette folie en moi, je la sent grandir, se développer. Et je reste couchée là, attendant je ne sais quelle action divine. Souvent, pour rester éveillée, je m'assoie, appuyant mon dos contre le bord de mon lit.
Ainsi je me réfugie dans cette bulle, ce cocon de liquide chaud et doux qui porteras mon corps à la place de mes jambes.
Tout comme la drogue ou l'alcool, mon hystérie s'apaise peu à peu.
Fait chier...
Si j'avais de quoi la prolonger je n'hésiterais pas une seconde. Mais je sais ce qui m'attend à présent. Toutes ces peurs que je peut ignorer lorsque je suis dans cet état vont m'envahire à nouveau, comme au réveil d'un rêve. Alors viendra la crise d'angoisse qui remplacera mon bonheur éphémère par un soupire infini.
Je m'allonge et me blotti, fétus abandonné dans cet air, ce milieu si froid. J'imagine alors ses bras autour de moi, quémandant ainsi un dernier instant ce sentiment de bien être. Trop fragile, trop loin.
J'ai peur pour moi, pour elle, pour eux aussi.
Je suis crevée. Se canaliser sur certain sentiments et se forcer à ne voir plus qu'eux est très fatiguant. Je vais m'endormire très vite ; Mais je voudrais veiller, veiller à tout jamais auprès de son corps chaud.
Morphée n'entend pas ma prière et m'emmène dans son monde floue où elle me fera revivre ces moments les plus douloureux.
"Une seule manière que tout cela s'arête". Tout ce manège ridicule qui se répète et se répète encore, saccadé par de trop rares moments de réel bonheur. Ma mort me sauverais.
"Ma paix".
Bonne nuit. Sourire sadique envers moi même aux lèvres.


2

- Mademoiselle ?
- Mhm ?
- Vous... Faites attention vous êtes en plein milieu de la route.
- Je sais. (sourire).
- Vous êtes sur que ça va ?
- Mhm. (acquiescement).
Marcher. Les bras en croix. Le soleil se couche. La pluie tombe. Comme si le ciel pleurait ce que mes yeux ne peuvent. La tête dirigé vers cette immensité grise et rose pour recueillir ces perles d'eau polluées par l'air et le sang.
Je me met sur le coté de la route (voiture). Je m'assoie sur le rebord du trottoir.
- Je vais mourir ?
Je regarde l'heure. 19h35. Ma mère va encore gueuler. Mais je ferais tout pour arriver le plus tard possible dans cette prison de stresse, de faux sentiments et de sadisme qu'est mon chez moi. Mais...
- Mmmmh (gémissements).
J'ai mal au ventre. Bizarre. Merde. Très mal. Je me lève. Non, je peux pas.
Je m'effondre.
Néant.
Je me réveille. Le soleil est complètement couché. Une fille me secoue.
- Sa va ? !!!
- Oui... Je crois...
- Quel heure est il ?
- 19h50. Sa va ? Sur ?
- oui oui...
J'ai toujours mal au ventre. La douleur est précise. Juste a gauche de l'estomac. Je suis allongée sur le cotée. Je me lève. La douleur a disparu, comme si le mal qui m'avait si violemment pris était resté a terre.
- vous voulez que jappelle quelqu'un ?
- non, non merci, ça va aller.
- Bon...
- Merci.
Je rentre chez moi. Le chemin ne me semble qu'une suite prolongé du coton dans lequel je suis tombé.
Chez moi.
J'entre. Mon frère est la dans l'entrée comme je m'y attendait le téléphone a la main mais quelque chose cloche, son visage, l'ambiance de l'appartement silencieux comme si quelqu'un étai venu annoncer une triste nouvelle. Un accident ?
- où est maman
- paris
- ha oui
- isabelle je... Je suis désolé
oulah merde... J'ai 2h de retard habituellement pouvoir m'engueuler kan ma mère n'est pas la est le plus jouissif des plaisir qu'il puisse éprouver mais la il semble vraiment désolé...

- j'aurai pas du lire...

il me tend mon portable. Tien je l'avais oublié lui.

- ta reçu un message et...

je rentre dans ma chambre et claque la porte comme je déteste le voir a la télé tout ces caricatures d'ado le faire.
Pourquoi met il toujours autant de temps a m'ouvrir mes nouveaux messages... Sms. Tiens, c'est rare qu'il m'écrive... Lui...
Le souvenir me revient. Le sang sur son visage, giclé. Pas le sien. Dieu n'est pas le seul a savoir qu'il aurait préférer que ça le soit. Que la balle l'atteigne lui plutôt que...
- ha enfin... "ouverture en cours"
" Isa. C moi. Jtécris paskon c'est t juré un jour kon se le dirai en premier lun a lotre si on décidai de se flinguer. Bah voilà. J'ai fait mon choix. Je sais que tu ne m'en voudra pas. Merci pour tt mais cette fois personne ne peut me sauver. "
Je souri. Non en effet, je ne t'en veux pas. C'est Seb qui va t'en vouloir quant tu va le retrouver. T'avais juré décrire votre vie si... Le message est arrivé a 19h30. Je suppose qu'il s'est tiré une balle dans le ventre comme son père. Mais lui ne s'est par relevé.
Resté au sol.
JE prend ma guitare. Je joue cette chanson qu'il y a longtemps je lui avait destiné. Comme un hommage... Il n'étai pas vraiment pour les minutes de silence.
Je porterais demain en son honneur une larme rouge sur ma joue. Tracée à l'encre comme pour la maîtriser, maîtriser le sang que lui n'a pu que perdre, coulant le long de son corps, se mélangeant à la pluie battante.

Je me couche nue. Nue pour mieux sentir mon corps. Me rappeler, à défaut de le savoir, que j'existe.
Faut il attendre la mort d'un proche pour enfin oser en finir ? Pour enfin faire le pas, partir vers cette sérénité tant désirée.
Je ferme les yeux, me rappelant qu'a une époque je serai morte pour lui. Aujourd'hui je me sent si loin de lui. Si seule.
Je suis aimée et j'aime mais je me sent tellement délaissée. Je griffe mon corps. Jusqu'à ce que ma peau soit rouge sang. Je suis perdue.
Et je sais que demain tout recommencera.
...
non, je prendrai en main cette putain de vie.


3

Bain. Rouge. La tête sous l'eau. Je hurle. J'aimerai que le son absorbé arrive à mes oreilles et me déchire de l'intérieur.
C'est cque je veux non ? Mourir ?... Bordel j'en sais rien.

5h du matin. L'eau est glacée. Ça fait 3 jour qu'il est mort. Personne au bahut n'est au courrant.
Quelqu'un la été.
Ho mon dieu... La crasse sur ma peau. La honte. La peur. L'eau est teintée, mais ce n'est pas mon sang.
D'une certaine manière je m'attendait a ce qu'il lui dise. Tout comme je savait que ce dernier ne le prendrai pas au sérieux. Annoncer sa mort, son suicide a une personne qui nous hait est... Anormale ? Non... Pour lui c'était ridicule.

Je lui en ai voulu pour ses mots. Mais aussi pour son sourire. Je le hait de ne pas m'avoir aimée comme il fallait. Je le hait de ne pas m'avoir fait du mal. Je le hait de... De... De donner aux autre ce sourire qui m'était réservé.

Je tape sur le mure.
PUTIAN ! Ta gueule ! Ferme ta putain de gueule de merde !
Tu te fout de lui ?
- non.
- Non ?
- Non je ne peut pas... (sourire)
-...
- Il est mort...
- Conasse !
Lame argentée. Mon sang et le sien qui se mêlent. Je pleure à chaudes larmes. Je n'ai toujours pu pleurer que pour lui.
- je suis désolée... Je m'en veux... C'est moi que j'aurais du planter.

Je l'ai séré dans mes bras, une dernière fois. J'ai enfoncé la lame au plus profond de son corps. Du sang sur mes main, sur mon ventre en contacte avec le sien. Il aurait pu se défendre, mais il n'a rien fait. Il ma regarder de ce regard vide qui me blesse mille foi plus qu'un coup de couteau ou une balle. Et il le savait.
Je le hait... Non je me hais.


...

A suivre...
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Re: And now ? (réflexions romancés, ou non)
Posté par jacquesv le 19/11/2005 22:14:41
moi aussi j'aime
Re: And now ? (réflexions romancés, ou non)
Posté par nosepicker le 14/09/2005 00:17:31
j'aime.c'est tout.j'aime.
Re: and now ? (réflexions romancés, ou non)
Posté par bohème le 04/09/2005 14:41:32
En faite, les deux sont un peu immature, l'écriture et la façon de présenter ton texte. Certes ce sont des idées très mélangées que tu mets sur papier, et c'est fait exprès pour montrer à quel point ton personnage est perturber (enfin, je suppose). Mais le truc, c'est que tu fais une histoire, tu ne peux pas que retranscrire les pensées de ton personnage, il faut que ce soit un minimum construit autour, sinon c'est l'anarchie et le texte est un peu lourd à lire. Essayes peut-être de donner un point de vue extérieur, un décor, quelque chose... Mets une double conscience à ton personnage, une conscience ou ton perso se rend compte qu'elle fait des conneries, qu'elle réagit mal au problème. Une conscience qui n'apparaît pas souvent, mais suffisamment pour que toi tu t'exprimes à travers elle et que tu fasses passer ton message. Enfin, c'est une possibilité comme une autre, hihi. Pour ce qui est de la maturité de l'histoire, et bien, je pense que tu fais celons ton âge, il ne faut pas te demander d'écrire comme une fille de 20ans. Mais le plus important dans tout ça, c'est que tu t'exprimes, vala ^^.
Biss

Modifié le 04/09/2005 14:41:59
Re: And now ? (réflexions romancés, ou non)
Posté par lunatiquement_cerise le 03/09/2005 22:59:44
lol oui c est pas aggressant ^^.
Non ce n est pas ca que je veux dire, oui non en fait c est ds les paroles.
Scuse ^^ lol
Re: And now ? (réflexions romancés, ou non)
Posté par aznoub le 03/09/2005 22:54:46
bah tant pis, j'aurais pas ma raiponce..je vais me coucher...je suis une fille bien!
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L'auteur : Isab Seym
35 ans, Lyon (France).
Publié le 02 septembre 2005
Modifié le 27 août 2005
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