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And now ? (réflexions romancés ou non) (suite)

"Je ne suis qu'un messager qui, essayant de suivre la vitesse hallucinante de ses idées, transcrit aussi fidèlement que possible des idées qui peut être toucherons votre esprit comme elles ont transpercé le mien. Car personne ne peut dire "non" si on ne lui à jamais expliquer ce que cela signifiait. " suite


Je voudrais avant de continuer mon histoire remercier ceux qui m'ont encourager à la "publier"... Et m'excuser d'avance pour la legere difficulté que certains aurons à tout comprendre (Pour vous aider, quand je parle d"elle", c'est tout le temp la même personne sauf dans le paragraphe 10... Et quand je di "il", je parle de 3 personnes différentes, dsl de n'etre plus présise)... Mais cela fait partit du jeu... Encore merci.
Je veux également embrasser la personne à qui je dédie tout ce fouillit... Mon Némo.


4

Je tremble. J'aime être dans cet état. J'aimerais plus... J'aimerais que cette folie devienne moi. Je touche... Touche tout ce que je peut. Le plus de foi possible... Pour me rassurer que je ne délire pas. Me rassurer que je ne fais que simuler la folie. Alors Pourquoi ? Comment en suis je capable si je ne fait que semblant ? Une cellule blanche. Je hurle.
Je suis adossée contre un mur. Une jambe repliée et l'autre qui fait un vas et viens comme pour caresser le sol, pour sentire ma peau s'irriter jusqu'à ce que je puisse sentire l'moindre irrégularité que rencontre mon talon. J'ai mal, mon pied me brûle. C'est si bon de se sentire. Viens, sauve moi. J'appelle Dieu ? Alors pourquoi ne vien-t-il pas ? J'appuie avec ma tette contre le mur derrière moi. Je le touche avec me main... Je le caresse. Si doux... Si dur... Si sure...
Mes muscles me font horriblement souffrire. Je suis fatiguée. Je voudrais fermer mes yeux et rejoindre l'enfant qui est en moi. Mais je vais tout perdre. Si je m'endors, je vais retrouver mes cauchemars. Si je m'endors sa veut dire arriver plus vite au lendemain. Si je m'endors c'est atteindre le cotée douloureux de le réalité.
Je gémis. Je revois son visage. Mon esprit me rattrape. Ses yeux son sang... Sur ma peau...
le mien qui couvre mes draps.
- Meurtrière !
Les muscles de mes bras sont tendus. Je tends mes poignets vers le plafond puis devant moi. Vers dieu... Vers lui dont j'ai ôter la vie également.
Tuez moi. Tuez moi tous pour mes ignobles péchés. Je ferme les yeux, serre les dents. Attendant le coup qui mettra fin à mon existence. Je pleure et le supplie.
- fait vite. Allez...
Je lui en veux de ne pas m'achever. Tout de suite.
Mais je comprends. Me faire souffrire est tellement plus vengeur...
- pitié... Emmène moi...
La haine m'emplis... Pourquoi m'ignore t-il ? Je frappe le mur... Mon poing rencontre un cadre. Des bouts de verre brisé tombent sur tout mon corps, j'en saisis un et lui tend.
- Prend moi ! Emmène moi au chaud !
Mais non, rien.
Je laisse retomber mes bras le long de mon cops faisant tinter le verre qui me recouvre. Je ramène mes jambe contre moi et le les serre. Je serre... Le verre coupe mes mains, mon ventre, mes jambes... Je passe mes doigts couverts de sang sur mes lèvres pour me faire belle, pour lui...
Mais personne ne vient... Ni dieu, ni démons. Sauf bien sur ceux qui me ramènent au réel... J'ai mal.
Je veux pas rentrer.


5

Ils me rattrapent. J'hésite a me regarder dans une glace de peur de les voir surgissant de mon passé. Ils me traitent d'égoïste. Me regardent pleurer en souriant. Heureux que je souffre a mon tour. Et moi, désolée, je hurle pour leur donner raison.
Je vois les autres avec leurs illusions être touché un par un et résister comme je l'ai fait. Je les regarde s'enfoncer peu à peu dans un combat que je vois pour eux perdu d'avance. Mais je n'ai pas le droit, pas le droit de leur dire que tout est perdu. Qu'il n'ont plus qu'a accepter que leur enfance rose s'est envolée avec leurs ages.
Et je les vois tomber. Ou fuir.
Car oui, les plus fort (ou les plus lâches ?) fuient, se mentent et prennent des drogues qui les mènerons a une demie vie où la dépendance a pris place au bonheur qu'ils crurent recevoir au début. Je voudrais que Dieu se réveille. Qu'il nous prenne tous et, puisque l'Homme est résigner à pécher, nous emmènent tous dans le néant. Pas de paradis pour les pécheurs.
Mais n'est ce pas lui qui nous a donner ce "dont" qu'est l'esprit ? N'est ce pas lui qui, effaçant la notion d'instinct, traça devant nous ce chemin appelé destiné ? N'est ce pas encore lui qui nous à donner la capacité de se faire du mal ?
Mentalement aux autre autant que physiquement à nous même. Les gens ont tellement peur de la mort.
Mais pourquoi ne pas simplement accepter qu'elle nous sauvera tous...

Perles rouges qui dansent sur ma peau.

Je me demande pourquoi je me fous tant de lui. Mon père, Mon géniteur.
Hôpital psy. Une maison où les "fous" (que j'aime et déteste ce mot) on crée leur propre société. Un monde où les étrangers ne sont pas ceux que l'on croit. Un monde où la simulation règne pour échapper au réel. Oui, il y a de vrais malades. Eux et leurs pathologies. Les crises et les pleurs. Les rires stridents qui provoque la peur et le dégoût pour quiconque ne comprend leurs maux ni ne possède la clef de leurs esprits.
A-t-il sa place auprès d'eux ? Y ai-je la mienne ?
Parfois je sent leur souffle, la nuit, sur ma nuque, tout contre mon coup. Je les entends m'appeler, me dire de venir, d'aller les rejoindre. Mais ils ne sont pas tous d'accord. Pour certain je ne suis qu'une simulatrice. Non je n'ai pas ma place parmi eux. Lui oui.

Ne pas tomber dans le néant. Résister à l'appel du sombre et de l'infini. Mon père m'a quitté il y a bien longtemps, bien avant d'être interné.
Je perd les gens auxquels je tien trop facilement. Et leurs traces en ma peau n'est que le reflet de mon manque.


6

Je plane totale. Je vois la vie différemment quant je suis dans cet état. J'aurais envi de tout toucher, tout caresser, sensuellement, tout les objets sur lesquels tombe mon regard.
Je pense à elle. Merde. Qu'est ce que je voudrais quelle soit là. Toucher une table me donne des frisson dans tout le corps... Alors, je donnerais tout pour ressentire l'explosion que me donnerais le contacte de sa peau, son corps. Nos sueurs.
Inaccessibles. Partire. Oui mais ou ? Quant ? Comment ?
Irréalisable.
Elle dit que je suis défaitiste, que je baisse trop facilement les bras. Moi je m'en fout.
Je l'aime.


7

Il était tout dans ma vie. Je m'accrochait a lui pour m'en sortire. Il me disait je t'adore et je répondait présent à ses bras. Je ne peux pas dire meilleur ami. Mais disons le meilleur de mes amis. Je lui disait mes sourires il était la pour me consoler de mes blessures.
Tout nos points communs non fait que nous éloignés l'un de l'autre.
Les traces sur ma peau ont cicatrisée peu à peu. Mais ce que je n'avais que trop ignorée ma alors sauté aux yeux.
Lui aussi avait ses démons ou plutôt son paradis. Son Ève s'appelait Amandine, son éden St Etienne... Mais lui ne serais jamais Adam... Trop faible... Trop d'obstacles...
Son héroïne.
Devenu accro à elle. Dépendance pour dépendance, il s'est mis a fumer, boire, fumer... Puis "taz"... Puis enfin, coke, héros, LSD quant il arrivai à en toucher...
J'aimais me coucher à ses cotés écouter mon ange jouer dans son monde, nous laissant lui et moi pour un instant de fusion d'âme. L'amitié...
A présent. On ne peut plus se regarder en face. Il veut s'en sortir. Mais je ne vois en ses actes que de veines tentatives de reporter sa dépendance sur quelqu'un d'autre. A présent lorsqu il quémande mes bras, je ne peut le regarder qu'avec dégoût. Lui, camé, à la recherche d'une drogue dont j'ai eu un mal fou à me séparer. Ses yeux me crient "AIDE MOI !"
Et je le voudrait tant...
Mais c'est comme si mon instinct me criait, plus fort que son regard, de ne rien faire, ni le prendre dans mes bras, ni même le plaindre. Alors à la place je le regarde crever de souffrance, seul, sur le sol gelé. Et lorsque pour se relever il me demande la main, je lui hurle dessus !
Il doit s'en sortir seul ! Sinon tout recommencera... Tout s'effondrera forcément un jour pour lui...
Je ne serais pas celle qui lui fera croire qu'on peut vivre heureux comme ça. Dépendant des autres. On en a besoin bien sur ! Des autres. Sinon sa ferai bien longtemps que je serais partie, et d'ailleurs si un jour il décide d'accepter... Non... De s'accepter, je lui tendrais la main et l'aiderais à se relever avec une immense joie et un soulagement égal. J'ai enfin fini de croire que la vie est de rendre les gens autour de nous heureux. Alors je ne lui ferai pas croire à mon tour. Même si je sais que c'est ce qu'il attend de moi.
Vite mon vieux ! Ouvre tes yeux et rend toi compte du cinéma qui t'entoure et t'étouffe !


8

Je voudrais rendre un hommage. Hommage a cet homme qui se fait de la tunes sur ces jeunes ados dépressif qu'il a l'air de pas mal connaître... Juste une note de sa voix déchirée me transporte... Je le sent en moi... Dans toutes mes veines... J'ai tellement mal... Mal au cœur... Je voudrai gerber cette douleur qui me poursuit depuis trop longtemps...
Je voudrai la prendre dans mes bras, je voudrai la sauver... Je voudrai écrire en elle que je l'aime... L'écrire sur mes bras... Puis m'en vouloir pour mon égoïsme...
JE T'AIME...

Se séparer de quelqu'un qu'on aime est horrible. On se sent seul, déchirer. On sent au fond que c'est mieux mais on ne put même pas raisonner. Puis vient le pire. Cette chose qui vous tue mille fois plus que le manque que vous éprouvez a ce moment. Car en fait, on se rend compte que cette personne qui était le centre de notre vie n'est pas irremplaçable et que bien qu'elle nous manque terriblement sur le moment on ne peut pas nier qu'au fond de nous la blessure cicatrisera bien un jour et que de toute façons : "La vie continue, elle suit son cours et nous ne pouvons pas ratez le train qui nous y ramène.
Un père absent. Alcoolique. Une enfance douloureuse, une adolescence perdue, rejetée. Elle s'est accrocher à moi comme elle se serais accrocher a dieu si elle avait eu la foi. Et cela elle en souffrait. Elle souffrait d'être dépendante des autres. Et comme pour équilibrer cette dépendance il fallait qu'elle se sente libre parfois comment lorsque toute notre personne ne dépend que de l'autre !? Trouver quelque chose qui lui, ne nous déçoive jamais. Non c'est vrai, l'alcool, il y a pas de soir où il vous fait la gueule, est de mauvaise humeur ou doit quitter la fête pour cause de parent trop sévères... Pas de frustration. Un verre et tout va mieux. Adieux culpabilité, adieu timidité, adieu renfermement sur soi, adieu mon corps que je hait, bonjour à cette liberté gratuite qui ne demande aucun efforts. CE bien etre, cette sureter. Pouvoir être apprécier car pour une foi être tellement "open" tellement "cool". Seul moment où l'on est vraiment bien. On ne se cogne plus à la vie. On en a plus rien a foutre. On est bien, plus de barrières, plus de morale de merde.
LIBRE.
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Troudpinn
Posté par nnipduort le 23/09/2005 22:57:02
Hey hey hey, surveille ton langage, certains abrutis sur ce site s'amuseraient à te faire un rapport d'abus. Mais ton commentaire me plaît (il n'y a pas de raison pour ne dire de gentillesses qu'en privé ) .
troudpinn

Modifié le 24/09/2005 09:51:40
Re: And now ? (réflexions romancés ou non) (suite)
Posté par aznoub le 18/09/2005 17:17:22
Pas mal du tt! ouah sa me fait mal au c** mais je suis d'accord avec toi!
Au départ je ne m'attendait pas du tout au départ à ce que des gens aiment ou just soient touchés par mon texte...Ce site n'est un blog où on passe sont temps à dire : "alors voila ça c'est ma mailleure amie je l'adooore elle est trop cooooooooool ! lol mdr"...jm'attendait à plus des gens comme toi...
c'est just que tu es un peu violent et surtout que tu te met au dessus de ça (je déteste ce genre de personnes)... C'est qu'à 75 ans (que tu n'as surement pas) tu doit etre comme nous (ados) ou au moin etre passé par là...non? Je connais pas ta vie perso mais si t'as vraiment un besoin de dire du mal de tt ski te parait un peu caricatural ou just ridicule pense a voir un psy (c pas méchant...c de lumour...hum, jme tais).
J'accepte totalement de déplaire! Mais jM just pas me faire incendier...tu vois la nuance?
Tu sais que tu m'ennerve...plus je lis ton comm plus jme dit que jme suis planté...t'es un pov connnard...mais t'est pas con...
J'aime surtout ta derniere phrase...
Mais je mintien que c'est à cause de gars comme toi que des gamines de 13 ans se fringues ttes comme des putes ou encor que des mecs se font tabasser la gueule...paskils ont en face d'eux des personnes comme toi qui ne font que les rabaissés en leurs dizant "mouton!" ou bien "t'es qu'une caricature"..alors ils veulent sortir du lot, te prouver qu'ils valent le coup de pas etre taillés...voir meme d'etre aprécier de toi! Et..pouf! une nouvelle génération de mouton!
Exprime toi...développe "la plus belle hypocrisie"...jM ça...
TROUDPINN
Posté par nnipduort le 18/09/2005 16:04:08
Je ne m'attendais pas à autant de virulence de ta part, aznoub; blessée peut-être, revancharde en tout cas. C'est sûr, ce que je dis de ton texte ne peut être justifié, véritablement fondé, ça n'est que l'expression de mon envie/besoin de dire du mal, tout le temps, de tout. Ta réponse t'évite au fond de prendre en compte la critique du texte en elle-même. Tous sur ce site s'alarment à la première critique négative, tout le monde veut publier et que, systématiquement, on lui réponde : "bravo, je n'ai jamais rien lu de tel, quelle sensibilité, si vrai, si bien dit, quel style, oh oui quel style, quelle femme aussi, une telle maturité, aussi jeune, lucide, foudroyante, terrassante, encore, encore, abreuve nous encore de ton génie, plus, plus, plus loin, plus longtemps". Merde, pourquoi ne pas accepter de déplaire, pourquoi, à seize ans, vouloir absolument s'être trouvé(e), être inattaquable, parfaite? A quoi cela sert-il de publier si l'on ne veut pas être lu? Et comment espérer être adulée de tous ceux qui te lisent? Beaucoup sur ce site pensent qu'un forum est fait pour que tous soient d'accord, se félicitent mutuellement : "Bravo, magnifique texte, viens faire un tour sur le mien_ Ah oui, beau texte aussi; et toi? Oh, splendide, magnifique". Ca ne me dérange pas de crier au génie pour n'importe quel texte minable mais tu devras alors te satisfaire de la plus belle hypocrisie.
TROUDPINN
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L'auteur : Isab Seym
35 ans, Lyon (France).
Publié le 17 septembre 2005
Modifié le 11 septembre 2005
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