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Au revoir...

Julie, après 16 mois, lui a fait confiance et voilà le résultat...


-Slt
_Salut ma belle
-ça va ?
_Je suis en forme et toi ?
-Ça va
_T'as quel age ?
-14 et toi ?
_18
-Waouh il y a une différence !
_Ça te gène ?
-Non, non
_Tu habites où ?
-Mons et toi ?
_Aussi !
-C'est quoi ton prénom ?
_Igor et toi ?
-Julie
_C'est joli !
-Merci
_Sinon t'as une webcam ?
-oui
_tu la mets ?
-oui
(_ a accepté l'envoi d'image webcam)
-Voilà, salut ! Lool
_Tu as un copain ?
-Non et toi ?
_Non, j'ai pas de copine
-Oui, évidement
_T'es très belle
-Merci !! Je dois y allé bye à demain bizzzz
_ok, au revoir ma puce

Ce fut ma 1ère discussion sur msn avec Igor. Le lendemain, il me montra des photos de lui nu. J'étais choquée mais je lui ai pardonné parce qu'elle était très belle. Nous avons continué à discuter pendant +-4 mois, c'était fabuleux. J'avais l'impression qu'on avait le même esprit tellement il me comprenait bien. J'avais beaucoup de problèmes de discussion avec mes parents et je n'avais pas vraiment d'amie à qui me confier ; alors j'étais émerveillé de rencontrer quelqu'un avec qui je pouvais parler. Un jour il m'a dit que pour fêter les 6 mois de discussion qu'on venait de passé ensemble, il allait m'attendre devant mon école pour voir comment j'étais en vrai. Mais j'ai eu peur alors je ne suis pas sortie de l'école ce jour-là et il ne m'a donc pas vue. Après, sur msn, nous nous sommes disputés pour la 1ère fois. Il était très énervé. Et les 2 semaines qui suivirent, je ne le vis plus sur msn. Je me sentais extrêmement seule et j'avais des remords de lui avoir fait ça. Après il réapparut, je me suis jetée sur le pc pour lui parler : il m'avait tellement manqué. Il me dit qu'il allait revenir à mon école et que si cette fois encore, il ne me voyait pas, il ne reviendrais plus jamais sur msn. Je lui jurai que je serais là et c'est ce que je fis :
_Salut !
-Bonjour.
_Que tu es belle !!
-Merci, tu es beau aussi.
_viens, ici il y a trop de gens.
-Ok. On s'écarte du flot d'élève qui sortait de l'école.
_Je suis content de te voir en vrai.
-Moi aussi !
_Regarde : c'est ma nouvelle voiture, elle est belle hein !? Je viens juste de l'acheter !
-Elle est magnifique ; c'est une Land Rover bleu foncé j'adore ce type de voiture ; tu ne m'as pas dit que tu passais ton permis.
_Ça ne change pas grand chose : avant j'avais le permis de scotter.
-Ah d'accord, bon je vais devoir rentrer chez moi : j'ai beaucoup de travaille pour demain.
_Tu veux que je te ramène ?
-Non merci, dis-je prudemment en m'écartant de sa voiture.
_ok.
-Bonne soirée.
_J'ai été enchanté de te rencontrer !
-Moi aussi bye, fis-je en m'éloignant.
-Au revoir ma puce.

Le lendemain, comme prévu, il était là, devant l'école, et le surlendemain aussi et tous les jours qui suivirent aussi. Nos discussions étaient très courte : "bonjour, ça va ?, bien merci, bye à tantôt sur msn" mais il était là tous les jours, comme pour me narguer de la seule dois où moi je n'étais pas là. Ça faisait déjà 10 mois que je le voyais tous les jours, à la sortie de l'école, même quand il neigeait, il était là ! Chaque fois, il me proposait de me ramener chez moi en voiture. Et je finis pas lui cédé un jour où il neigeait très fort et que je n'avais donc pas envie de rentré a pied chez moi alors qu'il me proposait un endroit chaud, rapide et en sa compagnie. J'avais confiance en lui, ça faisait plus d'un et demi que je le connaissais. Je lui ai indiquée le chemin pour ma maison et y arriva quelque minute après. J'essayai d'ouvrir la portière mais elle était verrouillée. Je le regardai, inquiète, et il dit :
_Ah oui, désolé c'est parce que ma mère a été carchakée il n'y a pas longtemps, alors elle me demande de fermer à chaque fois. Et il ouvrit. Je m'échappai de la voiture, soulagée que tout ce soit bien passé et je pris mon sac dans le coffre. J'arrivai près de ma porte d'entrée, déposai mon sac et sortis ma clé. Je lui fis un petit signe de la main et il me sourit. Je rentrai, claquai la porte et me dis : Julie, tu es parano !! Mais je me rendis compte qu'il y avait quelqu'un derrière la porte alors je reculai :
_Julie ? T'es toujours là ? C'était la voix d'Igor
-Oui.
_Ouvre : tu as oublié ton sac. Merde !, mais quel imbécile ! J'avais oublié mon sac sur le perron. J'ouvris.
_Tiens.
-Merci, que je suis bête !
_Mais non, je comprends que tu n'aies pas vraiment envie de rester dehors par ce temps !
-Oui, c'est juste.
_Sinon, je dois t'annoncer une très mauvaise nouvelle.
-Quoi ? Dis-je inquiète.
_Voilà j'ai appris hier que le cancer que j'avais n'était pas guérissable et que... J'allais... Mourir...
- Oh mon dieu, ce n'est pas vrai.
_Si, hélas oui
-Mais non !!! C'est impossible ! Les larmes se mirent à couler sur mon visage. Il les essuya et me prit dans ses bras il pleura avec moi. Je voulus m'écarter mais il me serrait contre lui. Ensuite il mit une de ses mains sur ma bouche et de l'autre il referma la porte de ma maison puis il m'emmena jusqu'à sa voiture me fit monter dedans s'installa avec moi puis il ferma les portes et me fit avaler quelque chose. Je m'endormis...
Quand je me réveillai je sentis une violente douleur dans le bassin et les côtes. J'essayai de bouger mais mes tibias et mes poignets étaient accrochés. Je mis un petit temps à me souvenir de ce qui s'était passé. J'ouvris les yeux, paniquée : il faisait noir. J'essayai d'ouvrir ma bouche mais il y avait une plaque qui collait mes lèvres. Je vis enfin une lueur, une porte qui s'ouvre. Il alluma la lumière : j'étai sur un lit, nue, il s';approcha de moi et mis sa mains sur mon ventre, un frisson me parcouru.
_Tu es belle tu sais, dit-il en m'enlevant le scotch que j'avais sur les lèvres.
-Pourquoi ? Fis-je immédiatement.
_Je t'aime. Dit-il perdu dans ses pensées.
-Pourquoi ?? !
_Mais enfin je t'aime. Hurla t'il.
-Connard. Il me donna un violent coup de poing dans le ventre qui m'arracha un cri de douleur. J'avais confiance en toi !
_Oui je sais et j'espère que c'est toujours le cas.
-Non.

Il alla ensuite éteindre la lumière puis il se rapprocha de mon oreille et dit : tu sais, je n'ai pas de cancer mais j'ai le sida. Il me refit avaler quelque chose et je me rendormis...
Le lendemain je n'avais plus qu'un poignet attaché au pied du lit. J'étais toujours nue mais pleine de bleu maintenant et je saignais ici et là sur mes jambes et mon ventre. Je me demandais ce qu'il m'avait fait après que je me sois endormie mais dès que je pensais à "ça" je me dis que c'était logique mais ignoble : il devait sûrement me violée. Je voulu faire fuir cette idée de mon esprit : je ne pouvais pas supporter ça. Il ouvrit la porte m'apportant mon "petit déjeuner", : une tartine et un verre d'eau avec un médicament effervescent dedans. Il me regarda manger puis il me dit : "bois, c'est pour la douleur que tu ressens : tu n'auras plus mal." je savais qu'il mentait mais de toute façon je n'avais pas le choix, je devais boire. Je me rendormis...
Quand je me réveillai j'avais encore changé d'endroit, c'était une pièce étroite il était couché a mes coté à même le sol. Je n'étais pas attachée. Nous étions tous les 2 nus : je me sentis un peu moins honteuse. Je pensai à mes parents qui avaient dû retrouver mon cartable devant la maison. Mais qu'est ce que j'étais inconsciente de ne pas leur avoir dit qu'Igor m'attendais devant l'école ; au moins ils auraient une piste là ils n'avaient rien, ils ne me retrouveraient jamais. Mon dieu, non...
Il se réveilla en sursaut et courut allumer la lumière. Il me regarda. Puis il me mit debout et me colla au mur. Il rit, je me mis à pleurer.
_Non !! Arrête ! Tu ne peux pas me faire ça. Il se colla contre moi.
-Salopard
_Vas-y, pleure dans mes bras. Je me débattis, il m'envoya par terre puis alla fouiller dans la poche de son pantalon qui traînait près de la porte. Il en sortit un médicament puis il éteignit, se jeta sur moi et me fis avaler le médicament : je m'endormis...
J'avais faim quand je me réveillai, j'étais retourné dans "la chambre", toujours nue, encore plus blessée qu'avant j'avais du sang partout, il y en avait aussi sur le lit. Je fermai les yeux pour ne plus voir tout ça, je me mis à pleurer, j'étais désespéré je ne savais même plus depuis combien de temps j'étais là. 1 mois ? 2 mois ? Ma mère me manquait. Je voulais retrouver mes habitudes qui avaient été interrompue si violement. Je voulais revoir thomas le plus beau mec de l'école, je voulais retrouver ma chambre, mon lit, mon pc, mes devoirs, ma nourriture, ma vie ! Le flot de mes larmes augmenta. J'ouvris les yeux pour qu'elles coulent plus facilement et je le vis assis près de moi. Il avait le regard noir, désespéré. Il me regardait mais quand il croisa mon regard, il baissa les yeux. Je continuai à pleurer. Il alluma la lumière, il vint vérifier si j'étais bien attachée puis il sortit un médicament. Je me rendormis...
Il me secouait violement quand je me réveillai. Il pleurait :
_Julie !! Julie !!
-Quoi ? Dis-je d'une voix faible. La lumière était allumée et me faisait mal aux yeux.
_Regarde moi ! Il s'écarta du lit, sortit un objet de son pantalon et le mit sur sa tempe : c'était un fusil à poing. Je le regardai, horrifié.
_je suis vraiment désolé de tout ce que je t'ai fait ! Dit-il presque en criant.
-Non, ne fait pas ça.
_Mais comment tu veux que je vives avec ce poids ? Il faut que je crève, j'ai fait des choses dégueulasses, c'est tout ce que je mérite !
-Alors abat-moi avant. De toute façon si tu n'es plus là je mourrais alors finir ce que tu as commencé et tue-moi. Je t'aime, je ne veux pas te voir mourir.
_Julie, pourquoi tu dis ça ? Je ta fais souffrir.
-Je t'aime Igor.
_Je m'appelle Thibaud ! Pas Igor et j'ai 21ans. Tu vois, je t'ai mentis ! Je suis une merde !
-Ce n'est pas grave. Je te pardonne Thibaud. Maintenant tue-moi. Il réfléchit, me mit le fusil sur le front et me demanda si j'étais sur.
-Oui.
_Je fais ça pour toi. Pour te faire plaisir. Je me tuerais après.
-Ne me dis pas ça, je ne veux pas te savoir mort. Je t'aime Thibaud.
_Je t'aime Julie.


Je tira. Elle mourut sur le coup et du sang coula dans ses cheveux. Elle était si belle et gentille comment avais-je pu lui faire ça ? Elle avait eu confiance en moi. Elle m'avait aimé. Quel spectacle horrible et c'est moi qui ai fait ça : -NON !!!!!!! Hurlais-je en me jettant sur elle et en la secouant espérant qu'elle se réveillerait, que tout redeviendrait comme avant. Avant que je ne la connaisse, avant que je ne l'emmène ici, avant que je ne la viole... Je mis le fusil sur ma tempe.
-Au revoir ma puce...

Quand ils entrèrent, cela ne faisait que 4 jours qu'ils étaient mort et pourtant, toute la maison s'était imprégnée de cette odeur de chair en décomposition.
Les policiers fouillèrent toute la maison avant de trouver la chambre d'où provenait l'odeur.
-Beurk !!
-Oh ! Firent-ils, dégoutés quand ils retrouvèrent les 2 corps.


-Madame et monsieur Wonks ?
-Oui ?
-Suivez-moi, s'il vous plaît. Nous entrâmes dans un bureau : -Bonjour
-Bonjour
-Asseyez-vous
-Je suis vraiment désolé. Dit l'homme assis derrière le seul bureau de la pièce.
-Juliette est morte ? Demanda ma femme à voix basse, sans vouloir vraiment poisé la question de peur de la réponse.
-Je suis désolé. Ma femme éclaté en sanglot je la pris dans mes bras et me mis a pleuré moi aussi.
-Qui l'a tuée ? Demandais-je sur un ton grave.
-Le jeune homme qui se trouvait à ses côtés lorsque nous les avons retrouvé.
-Où est-il ?
-Il est mort.
Quelques minutes passèrent avant que l'homme ne reprenne la parole :
-Monsieur Wonks pouvez-vous me suivre ?
-Oui, bien sur. Nous sortîmes, laissant mon épouses en compagnie de la jeune femme qui nous avait accompagné jusqu'au bureau.
-Voilà, j'hésite a expliquer les circonstances de la mort de votre fille devant votre femme.
-Que lui a-t'il fait ?
-Il la séquestrée, elle portait des traces de coup, et...
-Quoi ?
-Il l'a violée a plusieurs reprise.
-Oh mon dieu. Et comment est-elle morte ?
-Il lui a tiré une balle dans la tête.
-Ne le dites pas a ma femme, je lui dirais moi-même.
-D'accord, il faut que l'un de vous identifie le corps.
-Je le ferai.
-Suivez-moi.
Nous nous dirigâmes vers la morgue. Nous arrivâmes dans une grande pièce où se trouvait qualque personne. L'homme qui m'accompagnait releva un drap et je vis cette petite figure encore si mignogne il y a 4 mois. Pourquoi ? Pourquoi maintenant je la voyais là, inerte, rougeâtre, avec un banage couvrant son front et son crâne ? Comment tout cela avait-il pu arriver ? Je n'avais pas été assez attentif ? J'aurais dû aller la cherché à l'école. J'aurais dû lui dire de rentrer directement : sans faire de détour, sans parlé a des gens qu'elle ne connaissait pas mais je pensait qu'elle le savait... Et maintenant elle est morte. J'ai perdu ma fille, cet être si merveilleux en qui j'avais tellement confiance. Qu'a t'elle pensé avant de mourir ? Qu'on l'avait abandonné ? J'espère qu'elle savait qu'on l'aimait, qu'on tenait à elle mais maintenant elle est partie et elle nous laisse seul. Je l'aimais tellement fort
-Oui, c'est bien ma fille. Dis) je des larmes dans la voix. Je voulais que cette souffrance cesse, que ces questions ne m'assaillent plus. Je ne voulais plus voir ce visage immobile à tout jamais. Le policier reposa le drap. Nous retournèrent près de ma femme qui n'avait pas cessé de pleurer. Je la pris dans mes bras et l'emmenai loin de ce que j'avais vu, loin de cet hôpital. Chacun de mes clignements d'oeil était devenu douloureux car je revoyais le visage de ma pauvre petite Juliette morte sur ce lit. Arrivé devant notre maison, ma femme me dit que le meurtrier avait laissé un mot signé Igor là où il expliquait qu'il était désolé, qu'elle lui avait demandé de la tuer et qu'il espèrait que sa propre mort appaisserait notre douleur et qu'il aimait beucoup Julie, mais que tout ça était faux !
-FERME-LA ! Elle voulait mourir !!
-Pourquoi dis-tu ça ?
-Marie, il l'a violée alors qu'elle avait confiance en lui.
-Comment tu sais ça ??
-Elle me l'avait dit : elle l'aimait.
-Qu'est ce qu'elle t'a dit exactement ?
-Qu'elle paralit avec un homme qui s'appellait Igor, qui habitait en France et qu'elle l'aimait beaucoup.
-Mon dieu, non !
Je redémarrai la voitur et partis loin de la maison, loin du souvenir, toujours plus loin pour oublier plus vite.
-Où va-t'on ?
-Arrivé sur l'autoroute, je me mis à rouler très vite. Ma femme se mit à hurler et à me frapper. Au 1er pont je braquai à droite. Ma femme hurlais de tout son corps, moi, je restais calme. Je n'avais que ce que je méritais : à cause de moi ma fille était morte en souffrant. La voiture toucha le fond du fleuve et se mit a se remplir d'eau. Ma femme hurlait toujours et gigotait puis, elle se tut et tomba délicatement sur son siège : je ne savais pas si j'étais mort ou si elle était morte mais le silence régnait. J'avais enfin la paix, mon esprit se détendit, mes muscles se décontractèrent. Je criais "Juliette !! " de l'eau entra dans ma bouche, je n'arrivais plus à respirer mais j'étais bien. Pour la 1ère fois depuis 4 mois heureux et soulagé...
Au revoir ma puce...
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Re: Au revoir...
Posté par floflorence3 le 10/07/2006 18:51:17
Je ne dis pas ça pour être méchante mais je rejoins l'avis de lenalena... L'article n'est pas vraiment structuré, il y a beaucoup (pour ne pas dire énormément) de fautes d'orthographe, de syntaxe, de conjugaison... L'histoire en elle-même est intéressante, mais tu aurais pu améliorer la façon dont tu l'as écrite, parce que les dialogues style msn c'est pas super... Et pas très facile à lire.
Re: au revoir...
Posté par darkmalia le 06/08/2005 14:47:20
Pour ma part, je suis contre la peine de mort, même pour ce genre de personnes, je m'axplique!
Une fois qu'on est mort, on sent plus, rien, on voit rien, on entend rien, on ne pense à rien, et on a pas de remords, je trouve ça vraiment trop facile. C'est un peu comme l'histoire, le gars préfére se tuer que de vivre toute sa vie avec le poids des remors! Je préfére largement l'emprisonnement à perpétuité, malheuresement, trop souvent, les peines ces personnes resortent 20 ans aprés pour "bonne conduite", tu parles.
Sinon, j'aime bien ton article, je dirais pas qu'il est parfait, mais c'est pas mal pour ton premier essai!

Modifié le 06/08/2005 14:48:47
Re: au revoir...
Posté par lesbiche le 31/07/2005 20:37:23
lenalena=> Tu es dure! C'est bon quoi c'est mon premier récit fallait pas s'attendre à de la grande littérature, mon prof de francais à dit que ça valait quelque chose. Tu n'aimes ok c'est pas pour ça que tu dois être aussi "méchante". Les contextes, si je vois bien ce que c'est, c'est pas mon fort: je les trouve vite ennuyeux et inutile et je les supprime. "des dialogues pourris" sous le coup de l'énervement je dirais mais va te faire foutre bon je vais réfléchir et accepter qu'on puisse détesté ce texte donc qu'est ce que tu voulais comme dialogue elle a 14 ans puis c'est pas les dialogues qui sont interéssant c'est l'action et le sujet (que à première vue tu n'as pas capter...)

Prison à vie d'accord parce que comprends que quand on voit que certains pédophiles connus peuvent récidivés ça choque encore plus.


J'ai écrit cette histoire parce que je suis concerné par ce problème et que je me suis imaginé ce qui pourrait se passer si je n'étais pas assez prudente et aussi parce que j'ai des amies qui ne sont pas assez prudente à qui j'ai fais lire cette histoire.

Modifié le 06/05/2006 17:36:40
Re: au revoir...
Posté par lesbiche le 31/07/2005 20:31:10
Double clic

Modifié le 03/09/2005 09:34:41
Re: au revoir...
Posté par lenalena le 29/07/2005 10:36:21
Bien sûr que si ça me choque ! Je ne suis pas une folle, je trouve ces gestes absolument immondes, surtout en ce qui concerne l'affaire qui s'est déroulée dans le tribunal d'Angers dernièrement.

Je suis d'accord avec toi, 30 ans, ce n'est rien, je suis pour l'emprisonnement ferme, à vie, parce que je sais, tout comme toi, qu'ils ne feront jamais leur 28 ans de prison, qu'au bout de 10 ou 15 ans, ils seront dehors et pourront recommencer.

Je suis donc pour l'emprisonnement à vie, mais certainement pas pour la peine de mort ! Qui a le droit de juger de qui doit vivre ou mourir ? Personne n'a ce droit ! Et pense aux innocents qui sont accusés à tort ? On ne peut pas revenir sur leur mort, on peut revenir sur leur condamnation...

Modifié le 29/07/2005 10:37:42
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L'auteur : Lau V
34 ans, Belgique.
Publié le 27 juillet 2005
Modifié le 30 juin 2005
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