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Barack Obama, La Promesse magique d'Ann Dunham

"Avant de naître les enfants brillent déjà dans les yeux de leurs mères". Nombreux ont parlés de Barack Obama, de sa vie, du long chemin parcouru, mais peu seulement d'entre eux ont martelés sur sa lumineuse mère qui pour autant fait tout l'homme d'Obama. Ann nous a léguer ce patrimoine multiraciale et multiculturelle de BARACK OBAMA qui le mystère n'as pas encore dit son dernier mot.


Avant de naître les enfants brillent déjà dans les yeux de leurs mères

Ce serait une ignorance fatale d'étudier la vie de Barack Obama, de chercher à comprendre sa source de motivation, la source de provenance de son état d'esprit sans pour autant étudier la philosophie de son exceptionnelle mère Stanley Ann Duhnan qui nous a léguer ce patrimoine multiraciale et multiculturelle de Barack Obama qui continu a inspiré nos plumes. Nombreux auteurs ont parlés de Barack Obama, de sa vie, de sa carrière, du long chemin parcouru vers le succès, mais peu seulement d'entre eux ont martelés sur sa lumineuse mère qui pour autant fait tout l'homme d'Obama.



Un regard d'Héroïne

Ann Dunham alors fille unique de la famille Dunham de confession chrétienne, est plutôt attirer par le monde extérieur, dans une Amérique divisée par la race, elle a un esprit ouvert et affiche le regard d'une jeune américaine modeste et confidente. Ann Duhnan optera pour les études d'anthropologie à l'université d'Hawaï chose qui témoigne son caractère ouvert, Ann a une autre vision du monde, elle n'aime pas le racisme, elle est allergique à la discrimination et ce caractère lui pousse à ouvrir sa vie aux autres et cela sans distinction de couleur ni de race.

C'est son niveau élevé de tolérance qui le conduisit au jeune étudiant africain Obama, pendant ce temps alors les deux jeunes se rapproche de plus en plus, ce qui permet à Ann de trouvé la véracité du fameux dicton qui dit : "Nous sommes tous le même". Femme de culture, ce qui intéresse Ann chez Obama, ce ne pas le charme ou encore le charisme du jeune africain mais beaucoup plus, Ann pose beaucoup des questions, elle veut comprendre la vie d'autre peuple, pénétrer leurs esprits pour en tirer des leçons, fragile de cœur, parfois la jeune dame verse quelques larmes quand on lui parle de la vie ailleurs, elle veut être tout pour aider tous le monde.

Mais pendant ce temps aussi la jeune dame cherche à redorer l'image de la société américaine, elle pense vraiment à poser un acte qui définitivement unirais la communauté noir et blanche des Etats-Unis, un peu comme Mari qui porte jésus pour effacer les péchés du monde.

Ann avait un regard héroïque sur les Etats-Unis, le changement elle pouvait y croire et elle a été plus qu'une prophétesse, les américains se souviendront d'elle comme la France pense à sa Jean D'arc même si cette résolution ne frappe pas encore dans nos esprits, nous le réaliseront certainement un jour.
Pour connaitre le père d'un enfant, posez la question à la mère, tout comme pour connaitre le pourquoi cet enfant est nait priés de poser la question à la mère toujours, vous comprendrais que son souhait regorge plus des pages qu'un simple livre biographique.

J'ai compris qu'il est dans la nature de l'homme de penser à léguer au monde quelque chose de meilleure et d'inoubliable avant de tourné la page de sa vie, sinon l'existence n'a plus aucun sens.


L'âme d'une grande dame

"Si vous voulez changer le monde, changez d'abord votre regard."

Parfois la vie n'est pas au rendez-vous et souvent elle ne nous satisfait que peu. La vie d'Ann Duhnan est surtout dominée par ses relations amoureuses qui chavire à chaque instant, une équilibre quel n'atteindre pas durant sa vie toute entière. Sa vie comme la vie de tous les grands hommes est aussi malmenée par une succession des faits tragiques et désolants.

Mais, par-dessus tout, Ann était une femme de caractère, elle pouvait surpasser les embuscades et vivre au-delà des problèmes, cela est remarquable par son sourire qui brille toujours. Le fils Barack revient sur cet aspect dans son livre autobiographique : "Dreams from my father", où il raconte sa vie.

Les deux jeunes passionnés de cultures étrangères décide enfin de former une union et d'y rester pour la vie un douze février dix-neuf-cent-soixante-et-un, une union que les parents Duhnan ne perçoit pas comme un scandale, ils acceptent sans controverses et donne aux deux jeunes la chance d'évoluer ensemble, un acte qui restera un signal fort dans une Amérique qui à l'époque est divisée par des ségrégations raciales, l'existence de Ku-Klux-Klan et autres ghettos racistes.

Cet acte d'Ann est perçu comme un pat vers le changement, la globalisation des Etats-Unis, vous comprendrais par cette simple analyse que Ann Duhnan était réellement porteuse d'une promesse qui devait à tout prix se réaliser. Cette union mémorable nous permet d'avoir l'homme du temps Barack Obama, couramment appeler Barry. Mais Barry ne vivra que peu de temps avec Obama Senior, qui par après obtient une bourse d'étude pour Harvard et estime que la bourse est insuffisante pour tenir à bien sa jeune épouse et son fils Barack, il décide alors de partir pour Massachussetts qu'il estime être meilleur.

Barry n'a presque pas connu son père, et dit que toute son enfance est marquée par l'absence de son père qui décide d'abandonner sa mère aussi tôt. Le divorce entre Obama Senior et Ann Duhnan est prononcé est dix-neuf-cent-soixante-quatre soit deux ans de mariage à peine consumé.

Ann ne baisse pas le bras et moins encore montre de signes de faiblesses, en dix-neuf-cent-soixante-six, vivant en union libre avec un jeune étudiant indonésien du nom de Lolo Soetoro, elle décide de s'engager avec et un mariage est déclaré entre les deux, elle fut alors contraint de partir pour Jakarta en dix-neuf-cent-soixante-sept pour vivre sa vie de couple avec son heureux mari accompagné de Barack Obama surnommé Barry.

Le jeune Barry faisait la paix de sa mère, et les deux vivaient des moments de bonheur, vraiment des moments de bonheur qui ne s'effaceront pas de la tête de Barry. Barry voit également venir au monde sa demi-sœur Maya, et désormais ils ne font plus qu'une famille et une vraie famille.

La chose la plus extraordinaire chez Ann est qu'elle tenait tellement aux études de Maya et Barack, sa pensée était tout autre, intégrer son fils afro-américain dans la communauté blanche afin de lui procurer un esprit diversifié. Cette façon de voir la chose, poussa alors Ann à renvoyer Barry aux Etats-Unis auprès de ses grands-parents pour des études secondaires américaines. Bien accueilli par les grands-parents Duhnan, Barry se sent bien intégrer et fait désormais tout jeune face à un monde moderne, civilisé et en mouvement.

Les parents décident d'inscrire le jeune homme à l'académie Punahou, Ann sait non plus que l'intégration ne sera pas chose facile pour Barry, alors elle téléphone a tout temps pour le motiver, le chemin vers le devenir est un chemin épineux et ceux qui pense être ce qu'ils sont appelés à devenir sont priés de marcher sur les épines et de supporter la douleur. Ann a aussi un caractère difficile, elle ne tolère aucun laisser-aller aux études de Barry et Maya, elle lui offre des cours a distances depuis l'Indonésie, le réveil de beau matin par un signale téléphonique, lui force d'aller au cours ou d'aller travailler, oui la vie appartient a ceux qui se lève tôt.

Pendant ce temps Ann traverse des moments difficiles, notamment avec son union avec Lolo Soetoro l'indonésien qui chavire. La meilleure qualité d'Ann est qu'elle ne partage pas ses petits soucis avec ses enfants dans la peur d'influencer leurs vies, pour eux maman été toujours souriante. Elle n'affiche aucun regret, elle avait la force de tout vaincre. Son coté d'amour lui troubla plus mais la femme forte écrivit : "L'échec d'un amour n'est pas l'échec de l'amour". Par cette petite expression, vous comprenez d'où sort l'esprit jusqu'au-boutiste et confiant de l'homme d'Obama.

Comme tout bon petit fils, les parents Dunham le conduisit chaque matin à l'école, mais ses amis se moque de lui suite à sa couleur de peau qui est tout à fait différente de la leurs, parfois chante sur lui mais comme toujours, derrière l'esprit d'un fils se cache une mère. Une impressionnante découverte faites par David Maraniss dans son livre intitulé : "Barack Obama : The making of the man", il montre l'image du nom Obama graver dans les pavés du cafeteria de l'académie Punahou. Un de ses collègues de classe écrivît cela pour troubler son esprit. Ce qui illustre bien la preuve de cette petite discrimination qu'a été victime Barry, l'homme noir au cœur blanc. Mais Barry ne baisse pas tout de même les bras car comme je disais ci-haut il suffit d'analyser l'attitude d'une mère pour comprendre l'esprit d'un fils.

La jeune mère savait que son fils serait un grand homme, qu'il serait peut-être celui qui redonnerais vie à une Amérique uni et indivisible, qu'il resserrerait les deux bouts d'une société américaine diviser par la notion de la race.

La vie d'Ann est perturbée par ses échecs successifs de vie de couple qui certainement trainèrent aussi son esprit, mais comme vous pouvez le lire, l'échec n'étais qu'une station d'arrêt dans sa vie mais jamais sa destiner, Ann était une femme très courageuse, je pense qu'elle aurait aussi raconté à Barry cette pensée célèbre d'origine américaine que ma mère me répétait : "pense que tu es quelqu'un et tu deviendras ce quelqu'un" je pense que ce l'esprit qui gouverne tous les grands hommes, car si nous somme devenu ce que nous somme c'est parce que nous avons été tenace avec nos rêves, nous nous somme fait une image à devenir et avions garder cela pour la vie.

Le jeune Obama dira qu'il n'avait jamais vu Ann changer d'attitude, perdre son attitude joyeuse et rassurante, elle été un oiseau blessé mais ne voulait pas faire de ses enfants des victimes de ses problèmes émotifs alors elle trouva la solitude. Maya dira : "L'éducation que maman nous avait donné été idéaliste et exigeante". Apres qu'elle réussît à s'en sortir de cette seconde déception elle décide de quitter l'Indonésie pour rejoindre Maya et Barry à Hawaii, elle profite de son temps pour continuer ses études en anthropologie de l'Indonésie. En 1975 elle est contrainte de se rendre à nouveau en Indonésie cette fois la pour mener ses travaux de terrain et enrichir sa thèse, elle partira seule car le jeune Barack préfère rester au côté de ses grands-parents.

Une promesse qu'elle manque d'un siècle près

Ann préfère passer sa vie d'après mariage au service de l'humanité, visiblement elle décide de ne plus jamais se remarier, elle consacre e reste de sa vie au service de démunies. Elle prend part à des actions humanitaire, aides les pauvres, Barry a écrira que la maison de sa mère étais comparable à une maison d'entraide où tout le monde venait frapper.

Ces gestes inoubliables marqueront aussi la fin de la vie d'une héroïne. Elle souffre d'un cancer, elle s'affaibli alors que Barry est absent, un cancer qui ne sera découvert qu'en retard, et emporte sa vie si jeune à cinquante-deux-ans. Ann meurent et laisse derrière elle une promesse qui n'avait plus que besoin de quatorze années pour se réaliser, que son âme repose en paix. C'est l'histoire la plus malheureuse de Barry. Je ne sais pas vous dire c'est qu'était l'attitude du jeune Barack en ces temps mais surement qu'il doit se sentir perdu.

Pour Barry, il regrette du fait d'avoir refusé d'accompagner sa mère en Indonésie où elle contracte un cancer, du fait d'avoir était absent au moment du décès de sa mère, il qualifie ça dans son livre autobiographique "Dreams from my father" de la plus grosse erreur de sa vie, si les signes pouvaient parler ! C'est une promesse que nous faisons à nos enfants, que chacun de nous peux réaliser ce qu'il voudra être dans sa vie. C'est cette promesse qui définit la vie d'un grand nombre d'américains.

Barry dira dans la convention du parti démocrate en 2004 que son histoire est une partie de l'histoire américaine et que cela est possible en aucun autre pays au monde, nous lui donnons parfaitement raison, il est la résultante de l'impossible faites. Ann disait répétait souvent à Barry : "Mon fils tu es un bras pour l'Amérique, tu devras comprendre c'est que cela signifie." Le jeune ne rencontra son père qu'une fois dans un mois quand il avait dix ans, et il dira qu'il était plus affecté par ses absences que sa présence.

L'unique moment de sa vie où il vu sa mère en colère dira-t-il fus quand Ann voyait une personne être traiter différemment des autres, une personne être négliger dans la société.

Barack Obama regrettera sa vie toute entière du fait de ne pas avoir eu la chance de dire à Ann merci pour tout. Ce Barack que nous avons expressément surnommé l'homme noir au cœur blanc n'est que la promesse magique d'Ann Dunham.
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L'auteur : Richie Lontulungu
34 ans, Kinshasa (Congo).
Publié le 02 septembre 2012
Modifié le 01 septembre 2012
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