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Ce n'est qu'un cauchemar

C'est une ptite histoire crée par mes soins. L'histoire d'un policier dans la tourmente qui vient de perdre sa femme et qui perds la tête au fur et a mesure. Si vous acceptez je peux vous passer un chapitre par mois et ce sera une sorte de série...


Un cauchemar j'aimerai que ce ne soit qu'un cauchemar.

Franck était un policier pas comme les autre pas comme ceux qui défendaient les gens sans défenses. Il était dans la criminelle, il pistait les tueurs en série c'était sa spécialité. Il était patient, très patient, peut être trop patient. Ses enquêtes duraient des mois et voir des années. Il était très persuasif, mais bizarre il arrivait à dormir avec tous ces meurtres plus horribles les uns que les autres. Il se réveille le matin à 6h30 sans gêner sa femme, toujours à la même heure il arrivait au travail à 8h00. Il n'est jamais arrivé en retard en l'espace de 15 ans de boulot, de routine. Ses journées se suivaient et se ressemblaient toutes les unes aux autres des journées interminables avec des cadavres qui s'empilaient chez le médecin légiste. Tout cela était tristesse et désarroi pour les familles des victimes mais c'était ce qui faisait vivre les policiers de la criminelle donc il n'allait pas s'en plaindre même si c'était une façon horrible de gagner sa vie. Franck poursuivait un tueur depuis six mois, il ne tuait que des femmes avec une façon bien personnelle. Il tapait chez elle en se faisant passer pour un livreur, il la frappe et elle s'évanouit. Il la met dans la baignoire l'attache, soigne les blessures qui lui avaient faits et la noie en mangeant des pop-corn.

Il perçoit les faiblesses des tueurs sans savoir qui ils sont. Il travaillait tout le temps il pensait au tueur la nuit le jour les week-ends tout le temps. C'était sa vie, elle se résumait a ça. Il vivait dans un monde de violence sans moyen d'y rechapait. Un monde où il fallait être vigilant a tous les détails. Moi je m'embrouillait tout le temps je ne percevait pas tout le temps ses sentiments je le menait et je le réconfortait du mieux que je le pouvait quand ça n'allait pas. Personne mieux que moi était mieux placé pour savoir ce que ressentait frank. Il n'aimait qu'une personne sa femme Anne qui l'aimait autant que lui l'aimait. Ils était tout l'un pour l'autre et rien n'y personne ne pouvait les séparer.


Lundi 16 septembre 2002

Le tueur a encore frappé pour la sixième fois, son sixième meurtre et il fallait y mettre un terme le plus vite possible. Il a encore tuait une femme sans défense dans son grand appartement vide. Il avait continuait avec son mode exécutoire de noyade certes cela aurait fait un grand film, mais dans tous les grands films le tueur était attrapé ou tuait était la logique. 0 une logique qui avait du mal a se faire respecte dans ce cas la. Mais la il a avait un changement un indice : une cassette sous le cadavre bleue d'une femme terrifié. Cette cassette disait une phrase une unique phrase : "on se sent bien chez soi". Incompréhensible tout simplement aucun sens.
Franc était inquiet par rapport a cette cassette il essayait de la déchiffrer mais sans résultat. Alors le soir il rentrait chez lui toujours avec le sourire mais la porte était ouverte légèrement ouverte. Il montait pour voir la personne qu'il chérissait le plus au monde. La lumière de la salle de bain était ouverte. Il rentrait et il voyait un homme en train de savourer des pop-corn devant Anne qui était en train d'agonisait dans une eau transparente. Franck ne se rendait pas compte de la situation et il continuait à regarder le tueur qui ne l'avait pas vu. D'un coup Franck sortait son revolver et vidait son chargeur de 16 balles dans le corps de l'homme qui perdait de plus en plus son sang. Après il courrait vers sa femme et lui sortit la tête de l'eau. Il lui faisait du bouche a bouche du massage cardiaque mais rien a faire elle était morte bel et bien morte.
Le tueur était le meilleur ami d'Anne. Il l'aimait et sans doute il n'arrivait pas a se détachait d'elle malgré franck et il voulait la voir plutôt morte que vivante et avec un autre homme. Son amour était tellement grand qu'il avait donnait un indice a Franck et qu'il a attendu qu il vienne pour que le policier le tue et qu'il parte avec sa bien aimée dans l'au delà.

morte elle était morte le bien le plus précieux de Franck, celle qui lui mettait un peu de tendresse et d'amour dans ce monde inéluctablement soumis et meurtri par une violence insurmontable et imbattable. La haine emplissait son esprit et on arrivait pas a la surmonter le tueur avait plus de trou qu'une passoire. On dit que le temps guéri normalement toutes les blessures mais la je ne pense pas que le traitement aurait une grande efficacité


Mardi 17 septembre

Franck venait d'arriver au travail et il était a l'heure personne ne pouvait comprendre ce qui se passait dans la tête d'un homme qui avait tout perdu en quelques minutes. Comme toutes les affaires résolus, il reçu les félicitations de ses collègues et de son chef mais en prime il y avait les condoléance. Tout le monde lui demandait si ça allait bien mais question stupide dans ces cas la. Personne n'arrivait a apercevoir de la tristesse dans ses yeux, il était sous le choc incapable de se rendre compte de ce qui lui arrivait. Il se mettait à son bureau et comme d'habitude après une affaire résolue il jetait tous les documents qui avaient un lien avec l'enquête. Franck était maintenant seul au monde, tout le monde pensait qu'il, ne s'en sortirait pas et personne n'avait vraiment tord. N'importe quel être humain normal aurait fait une dépression mais la, Franck ne laissait rien entrevoir physiquement ni psychologiquement. En apparence il était comme tous les jours sauf peut être moins souriant

Rien il ne laissait rien entrevoir on ne voyait ni haine ni douleur apparente mais je sentait qu'il souffrait de l'intérieur, il avait mal au fond de lui mais il était pas très expressif peut être que j'aurai aime qu il pleure. Je souffrais autant que lui j'avais mal a sa place personne ne le comprenait tout le monde croyait qu il était bien mais personne ne savait a quel point il souffrait.
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Re: Ce n'est qu'un cauchemar
Posté par idril le 19/11/2004 12:01:11
waou!!!sordide ton histoire!!!!mais franchement g bien aimé a part que des fois tu mets les verbs au présent alors kils sont sensées être au passé mais bon on comprend qd m^me....
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Publié le 19 novembre 2004
Modifié le 27 août 2004
Lu 1 472 fois

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