| Ce qu'Il a en plus ? C'est ce qui fait que c'est Lui et pas un autre...Un trop plein d'émotions, trop plein de sentiments qui ne pouvait sortir que par les larmes et l'écritures... Quelques lignes pour exprimer ce que je ressens, parce que dans ma vie et depuis maintenant un mois et 22 jours, il n'y a plus que Lui...Et aimer pour de vrai, à nouveau. Aimer comme il y a longtemps que ça ne m'était pas arriver. Aimer à en chialer de froid, de colere. Aimer à se hair de l'aimer. Et toujours l'aimer. L'aimer pour de vrai, à en parler à ses amies comme l'homme de sa vie. L'aimer a chialer dans le train. A rester des heures a le masser, sans parler, juste profiter. Profiter de Lui, de son sourire, se nourire de son image pour ne jamais l'oublier. Tout en se disant qu'il faudrait passer a autre chose. Que sa serai bien, mieux. Et parfaitement savoir au fond de soi même que c'est impossible. Justement, parce que je l'aime. Aimer chacune de ses connerie, chacun de ses defauts. Trouver mignon ce qui aurait été pathétique ché un autre. Fondre en le voyant arriver sur son velo pour venir me chercher aprés notre dispute. Lui pardonner ce mot, un "poufiasse" humouristique qui m'a si peu fait rire, faire semblant de rager, et puis en rigoler. Et l'aimer, encore et toujours plus. Passer une heure à l'empecher de dormir. Puis 10 min à trembler sous ses caresses. Et 2h à l'embrasser. Se sentir exploser en même temps que son coeur. Vouloir rester là, blotie contre lui, pour toujours. Vouloir lui dire ces simple mot. Je t'aime N. Et ne pas y arriver, bien sur. Alors rester la, la tête contre lui, à rever de ce vous deux que tu as tellement esperer. Puis te coucher. Esperer qu'il redescendra. Le voir redescendre. Prendre sa main sans vouloir la lacher, s'empecher de crier à quel point tu l'aime, le regarder remonter. Dormir son pull serré fort contre toi. Et puis le depart. Sans un mot, rien de plus qu'un regard, et ce petit sourire en coin. Et se mettre à chialer dans ce TER vide, se mettre à chialer à la gare d'agen devant mon café, se mettre à chialer dans ce TGV rempli, notre chanson dans les oreilles et sa photo sous les yeux. Chialer ce temps perdu, chialer de l'avoir connu trop tot, chialer de la distance, chialer parce que tu l'aimes. Sentir tes larmes inonder tes joues, le regard de ta voisine, voir le paysage défiler à travers la vitre. Mais toi tu t'en fout, tu as laissé un bout de ton coeur là bas et l'autre bout explose dans ta poitrine. Revoir sans cesse le film de votre soirée qui se déroule dans ta tete, cette image de lui s'approchant de toi, tu la voie, la re voie, encore et encore. Tu ne peux pas l'empecher, tout défile dans ta tete, les larmes coulent, ton coeur explose, cette chanson en boucle, encore et encore. Behind blue eyes. Elle m'etait insignifiante avant. Avant Lui. Maintenant je ne peux écouter qu'elle. Et puis faire semblant. Faire semblant devant les parents que tout va bien, juste prétendre etre fatiguée. Passer 2h à encore se ressasser les images de la semaine sans trouver le sommeil. Dormir dans la voiture, dormir parce que c'est la seule façon de ne pas y penser, de ne pas le voir, de ne pas souffrir. Et Encore, se reveiller avc cet ecouteur dans l'oreille, qui diffuse inlassablement cette chanson. 3h de + a l'ecouter. Et puis faire semblant devant la famille, alors qu'ils m'apparaissent flou, comme cachés derriere un brouillard. Avoir mes amies pour me soutenir, seul echapatoire a cette douleur innomable. Trembler à l'idée de lui parler. Puis à celle de ne pas lui parler. Trembler tout court. L'aimer. Vouloir l'oublier, limite regretter de le connaitre tellement ça fait mal aprés. L'aimer. Aimer aimer aimer.
Aimer aimer aimer. | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (1) | | Ce qu'il a en plus Posté par ferrand61 le 07/10/2007 23:47:58 | Des yeux qui lisent en nos âmes, et que l'on espère vitrines d'une âme complice ! Si ladite âme se fait moins complice que prévu il arrive que l'on attende et que l'on espère ... Et si aucune paire d'yeux complices ne survient pour nous distraire de la première, cela peut s'étendre indéfiniment.
Ceux qui n'aiment pas ce genre de texte voudront bien en prévenir la rédaction, par exemple en supprimant le phénomène naturel de l'état dit " amoureux " .
Modifié le 07/10/2007 23:50:51 | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (1) |
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