 | Dino Crisis 3 Dans l'espace, personne ne vous entendra crier... Mais eux, vous aller les entendre ! Colonisateur implacable, prédateur féroce, l'homme a toujours voulu aller plus loin, dominer toujours plus, trop diraient certains... Dans sa vanité, il s'est même persuadé d'etre au sommet de l'evolution. Ayant conquis chaque parcelle de sa propre planète, il a donc appliqué en toute logique une des doctrines de la survie : la mobilité, c'est la vie, l'immobilisme, la mort. L'etape suivante allait de soi : il fallais s'etablir aux confins de l'espace. Seulement voila, loin de tout, surtout de ses certitudes, il y apprendra a ses dépens qu'il est des territoires a explorer qu'il vaut mieux s'interdire, avant tout par pur instinct de survie !
 Concrétisation insolente des ambitions de cet apostolat démeusuré, l'Osmandius est davantage une cité volante qu'une colonie spatiale-telle qu'on se l'imagine. Long de près de dix kilomètres, et s'entendant sur une surface d'environs 90 km carrés, il est de ces accomplissements ultimes de la technologie prévus pour resister a tout, même a l'epreuve du temps. C'est d'ailleurs la l'unique fonction dont il s'acquitte, puisque c'est en cette années 2 548, qu'il réapparait soudainement a proximité de jupiter, aprés plusieurs siècles d'errance et de silence radio...
Desormais a la derive dans tous les sens du terme, en ceci que sa course incontrolée trave un chemin de mort vers la terre, il n'en faut pas plus au gouvernement pour mettre en branle un plan de secours de la derniere chace.
 A bord du Seyfert des Nations Unies, une escouade de marine, la S. O. A. R (Special Opération and Reconnaissance) est ainsi dépêchée sur place, avec pour mission de décrouvrir ce qui s'y passe. Pourtant préparé et entrainer a des situation extremes, l'equipage ne tardera pas a se sentir indésirable, car a peine a portée du mastodonte, le systeme de defense autonome de celui-ci s'active avec une efficacité létale. Un feu nourri en guise de bienvenu suffit a detruire complètement le Seyfert, ne laissant que quelques survivants au hasard des débris épars, lesquels reussissent in extremis a trouver refuge au sein de leur bourreau... Miraculé improbable, le leader presumé de la S. O. A. R, Patrick, est, par la force des choses, le premier a etre livré a l'inconnu le plus absolu. Incertain de son devenir et de son équipage, il sait qu'il ne lui reste plus qu'a arpenter l'architecture labyrinthique, pour son salut et la quete de la verité. Cependant, son errance lui permattra aussi de faire mentir le climat pesant de trépas qui, paradoxalement, habite avec intensité chaque recoin de l'Osmandius. D'experience, on le sait, la plus grande des peurs est celle qu'on ne connais pas, il va pourtant bien falloir y faire face. Forcément, on fais moins les malins la d'un coup !
 A mesure que l'aventure progresse, Patrick est rejoint par une compagne d'infortuene des plus engageante, et pas seulement pour ses formes avantageuses. Sonia, la rousse et la pugnace, completera donc les habiletés de son supérieur. Ce qui renouvelera par-la même le deroulement des evenement car vous prendrez le controle de l'un ou l'autre suivant la situation... Ce facteur récurrent de la serie ajoutera ici encore au sentiment d'isolement et de vulnérabilité omnipresents, par exemple lors des sequences bien stressantes ou il faudra retrouver ou libérer son partenaire... | | |
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