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Double points de vue pour abus de violence

Voici deux superbes histoires qui raconte un même et unique acte d'abus de violence de deux points de vue différents, la première du meurtrier, la deuxième de la victime. Il y a une morale chercher la bien...


Meutre baclé

Je suis a ma table. J'écoute jacasser cette vielle peau et la regarde s'agiter au tableau comme une hystérique, complètement abrutie par sa petite vie minable dans une ville toute aussi minable, elle évoque en moi un sentiment de pitié indéfinissable qui peu a peu se transforme en envie incontrôlable de ...la tuer !
Voilà qu'elle m interroge de sa voie stridente de petite vielle ravagé de complexe et complètement aigris par une existence qui ne la pas épargné ...moi non plus je ne l'épargnerais pas !
Je ne lui ai pas répondu. Elle s'impatiente, et redouble d'entêtement pour obtenir de moi un quelconque signe de vie. Mais je ne puis répondre à une personne qui a des idées préconçu sur tout et sur n'importe quoi, une personne tellement conne qu'elle croit tout savoir.

Elle s'approche de moi pour obtenir une réponse qui tarde a venir.... Je sent son haleine putride qui enrobe son souffle ténébreux qui vient s'échouer sur mon visage irriter par sa présence pesante.
Je me retourne vers elle et lui dit ces quelques vers qui me vinrent le plus naturellement du monde :
"Tu n est pas vraiment belle
Juste très très vilaine
Ton haleine est fétide
Ta face est putride

Tu me révulse
Je me convulse
Tu m'écoeures
Je me meurt

Ton allure chaloupé
Te donne l'aire conne
Ton teint pale de mort né
Te donne l'aire morne

Je te hait grosse putain
Je te hait jusqu'à plus faim
Je te hais le matin
Je te hais jusqu'au lendemain"

Sur ces beaux mots je sort un marteau. D'un violent coup je lui écrase sa tête, son crane se craquelle en émettant un bruit immonde à la hauteur de son aspect.
Puis je lui chope ce qu il reste de sa tête et l'écrase à trois reprise sur ma table puis la tirant toujours par la tête je l'envoie violemment avec toute la hargne qu'elle m inspire, sur le rebord de la fenêtre.

Manque de chance la fenêtre est aussi ouverte que sa tête.

Elle effectue une chute de 4 mètres de haut et s'écrase de tout son long sur le bitume.

A la regarder de là ou je suis il me semble qu'elle bouge encore.
Mais c'est sûrement du a des convulsions post mortem d'une mort affreusement douloureuse.
Sur cet acte de bravoure je sort en vainqueur de la classe devant un public de petits élèves poltrons dont le visage exprime l'effrois et l'incompréhension, mais dont les yeux brillent d'une lueur de joie si facilement compréhensible.
Je part donc content mais pas satisfait. Frustré de ne pas l'avoir plus torturé.
Il faudra que je pense à réfléchir à deux fois de la manière dont je tuerais la prochaine fois... (to be continued)

On a crâché sur ma tombe

Je me présente, petite prof écervelé à la vie désespéré, je n aime pas la vie et elle me le rend bien.
Je pourrais vous narrer maintes épopées complètement pathétiques ainsi que des anecdotes minables et ridicules mais je ne vais pas raconter toute ma vie
Je vais juste vous éclairer sur la fin de ma vie, quand ? comment ? par qui ? et surtout pourquoi ai je été atrocement mutilée ?

En un jour pas plus reluisant que mon immonde personne. J'allais comme tout les matins, par le train, au lycée ou j'enseigne, ou devrai je dire le lycée où je me traîne toute la journée comme une vielle fille décrépies au teint macabre et au sourire affreux. Car il est vrai que j'enseigne aussi bien qu'un singe savant à qui on aurait appris à balbutier quelque cris au sonorité vaguement anglaise. Et oui vous l'aurez compris, le métier que j'ai gagner comme par magie, n'est autre que celui de prof d'anglais, métier ingrat mais pas autant que moi.

J'arrivai au lycéen en avance, comme tous les matins, pour avoir le temps de me bourrer la gueule à coup de vignasse aigre, celle la même qui me donne mon haleine de chienne gavé au canigout périmé. Mais mon avance a aussi l'avantage de me permettre d'éviter la flopée de crachat rituelle qui m'attend à chaque croisé d'élève ayant un temps soit peu le sens des réalité.
Je montai une à une les marches d'un escalier du lycée dont j'osai pollué l'air ambiant par mes pets incessants.
J'arrivai enfin à ma salle en titubant déjà complètement torché alors qu il n était pas encore huit heure du mat, la tête défoncée et les jambes engourdit je réussit tout de même à me glisser dans ma salle et a m'asseoir sur ma chaise au bout de la troisième reprise, d'une lutte acharnée pour rester équilibré.
J'entendis un bruit sourd tambourinant dans ma tête, bruit qui m'aurait explosé le cerveau si j en avais eu un.
C'était la sonnerie, annonceuse de l'arrivée imminente de ses petits élèves moqueurs irrespectueux et prétentieux.
« M'en vais leur faire passer leur envie de s'amuser moi à ces ptits connard échevelé. » aurai je pensé si j'aurais été capable de réfléchir.
J'enchaînai ainsi des semblants de cour plus minable les uns que les autres avec toute l'amertume qui me caractérise et sans la moindre once d'intelligence.

Arriva le dernier cour de la journée, la 1ère 16 et la migraine qui va avec, je m'enfilai vite fait une petite bouteille de liqueur, avant d'aller les faire rentrer. Et histoire d'un peu plus les faire poiroter je faisais semblant de marquer des choses sur mon vieux cahier miteux avec un air concentré qui me faisait paraître plus conne qu'autre chose.
Je me décidai donc après une demi heure à les faire rentré . « Quel brouhaha horrible j'aurai pas du les faire rentré ces petit écervelé il font rien que s'amusé ! »
Pensai je comme la vielle conne aigris que j étais.
Je commença mon cour sans prendre garde à ce que je faisait et en racontant n'importe quoi comme à mon habitude.
A un moment donné de mon cour inintéressant au possible, il me venu le délire d'ouvrir ma grande bouche aux lèvres saturé d'un maquillage immonde, pour posé une question à un élève qui avait l'air d'être complètement ailleurs, et dont l'attitude était tout ce qu il y a de plus insolente car il ne regardai même pas en ma direction en faisant semblant d'écouter mes élucubration de vielle folle complètement rongée du cervelet, comme le faisaient les autres élèves. Alors comme il ne jouai pas le lèche botte dépourvue de dignité, je lui imposai une petite seconde de réflexion pour qu'il réponde à ma question complètement insensé et d'un intérêt limité.
Mais il se bornait à ne pas me répondre. Furieuse, je m approchai avec difficulté et vacillements jusqu' a être pratiquement collé àa son visage dédaigneux, lui réclama une réponse d'une voie rocailleuse et dans un anglais imparfait. Il me lança alors un regard plein de haine et de mépris. Puis il commença àa débiter quelques vers incompréhensibles pour mon cerveau atrophié. Sur ce il sortit lentement un marteau imposant, se leva, puis d'un violent coup plein de hargne il m'explosa le crane, provoquant en moi une douleur incommensurable.
Ma tête suintai d'un liquide rougeâtre et grumeleux, qui je pense devait être mon sang impure souillé par toute la drogue et autre alcool que j'absorbais régulièrement.
Tout tournai autour de moi, ma vue se troublai, et il me semblait que la lumière vacillait.
Tout d'un coup il m'attrapa ce qui me servait de tête et la cogna par trois fois sur sa table avec un enthousiasme compréhensible. Je soufrai le martyr et j'avais peur comme jamais je n'avais eu peur, à un point tel que je m'était escrémenté le fond de ma grosse culotte de chevale, émettant une odeur irrespirable dans toute la salle.
Odeur qui ne l'a pas arrêté, puisqu'il continua à me tenir la tête de ses grandes mains vengeresse dont il m'enfonçait ses ongles mal coupés. Dans un autre élan de démence il m'éjecta maintenant contre une fenêtre entre ouverte, où je me suis précipité la tête la première sur un bitume rugueux et inconfortable.
Une chute de 4 mètres qui ne me fit pas que du bien. Je passa 7 heures dans un coma profond du a des lésions pas moins grandes. Je me suis donc réveillé complètement sonné, et je m'aperçu aussi que mon corps était maculé d'une bave immonde et gluante. Je me levai tout en m'essuyant cette couche de glaire amassé durant mes 7 heures d'égarement cérébrale, laissé sur moi par des élèves du lycée un rien rancunier. Sous cette glue naturelle mon corps était recouvert de plaies dégoulinants de sang, sang qui venait goûté sur un sol qui avait faillit me tuer et qui était maintenant recouvert d'une flaque rougeâtre et glauque empreinte de ma chute vertigineuse.
Je m'extirpa donc de l'endroit ou je faillit perdre la vie, pour essayer de retourner chez moi par le train.
J'arriva avec difficulté à la gare me traînant à travers les quartiers de cette ville mal famé en titubant ou en rampant comme une vielle sangsues a moitié décharné.
Le train arriva rapidement, il allait passer devant mon quai quand.... ma jambe gauche lâcha !
Mon pauvre corps de petite vielle recluse tomba ) la renverse sur les rails, rails ou je m éclata les dents dans un fracas sans précédents.
Le train me passa dessus avec une violence jamais vue, expulsant le reste de ma carcasse aux quatre points cardinaux, dans une magnifique explosion de sang.
Seule ma tête restait à peu près reconnaissable. C'est d ailleurs grâce a elle que l'on a pu m'identifier, grâce à elle que l'on a pu organiser des obsèques en mon honneur.
Obsèques clôturant ma petite vie minable de prof refoulée sans amis ni famille, dernière humiliation de mon âme perverse, auquel il n y eu qu'un seul individu pour y assister ....mon meurtrier.
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Re: Double points de vue pour abus de violence
Posté par leka le 13/11/2006 06:42:42
la moral est bonne mais le texte est strictement sans intérêt, nul et ennuyeux...
Re: Double points de vue pour abus de violence
Posté par jackleventreur le 20/08/2004 07:48:12
Seul chose a retenir, la vie c comme un tourbillon qui nous entraine la mort ds lame
Re: Double points de vue pour abus de violence
Posté par elodelu le 20/08/2004 07:48:12
tu as un bon style, tu t'exprimes bien, mais je crois que beaucoup de lecteurs ont été decus par_ce_qu'ils attendaient que le point de vue de la prof soit different de celui de l'eleve, cela aurait ete mieu si la prof avait un tant sois peu d'estime pour elle meme.
sinon ca va !
Re: Double points de vue pour abus de violence
Posté par evangel le 20/08/2004 07:48:12
je vien de lire ce texte ainsi que tous les commentaires:je suis entièrement d'accord avecdark et mr defonchaie
en tout cas moi g adorer ce texte il est vraiment bien a mon goût après chacun en pense ce kil veut
perso g adoré les vers prononcé par l'élève dans la première partie
tes essais sont vraiment géniaux continue! et pour les autres je rappelle kil ne faut pas tout prendre au premier degré ceci est une fiction
Re: Double points de vue pour abus de violence
Posté par crazysk8 le 20/08/2004 07:48:12
mais merde vous n'avez rien piger

vous avez lu le texte jusko bout?

sa ne ve pas dire kil a kelke chose contre les profs mais o contraire il essaie de montre le truc des 2points de vue....

on aurai di ke vous avez lui ke le debut....

c vrais ke le texte il est plutot difficile a lire je l'ai meme note moyen mais au debut il vou di bien kil y a une moral ds l'histoire

la prof ne se sentai pas bien et le gar la frapper ss meme savoir les bleme de la profs....

car excuZ c ce kil ce passe ds les écoles sof kil n'y a pas de gore mais les éléves "insulte" les profs (deriere leur dos)

alors essaier de comorendre le texte avant de dire ke c une caille et kil a kelke choZ contre les profs
sa mere est une prof (c marker plus ho..)

enfin bref c peu moi ki me trompe aussi mais je ne pense pas
@+
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Publié le 05 octobre 2002
Modifié le 05 octobre 2002
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