| L'art de réduire les têtes en FranceL'art de réduire les têtes en France, avance l'armée des commandos, en créant un nouveau sujet de l'homme.L'art de réduire les têtes en France, avance l'armée des commandos, en créant un nouveau sujet de l'homme.
Tout a un prix, ou bien une dignité. On peut remplacer ce qui a un pris par son équivalent; en revanche, ce qui n'a pas de prix, et donc pas d'équeivalent, c'est ce que possède une dignité. La dignité ne peut être remplcée, elle n'a pas de prix et pas d'équivalent, elle réfère seulement à l'autonomie de la volonté et elle s'oppose à tout ce qui a un prix. C'est pourquoi le sujet critique de KANT ne convient pas à l'échange marchand, c'est même tout le contraire qui est requis dans le démarchage, le marketing et la promotion de la marchadise.
Mais où se trouve l'art de réduire les têtes ?
Comme toutes les idéologies précédentes qui se sont déchaînées au cours du XX siècle (le communisme, le nazisme,...) le néolibéralisme vient de s'ajouter aux autres, mais ce dernier ne veut rien que la fabrication d'un homme nouveau. Ce qui est d'une force nouvelle de cette nouvelle idéologie par rapport aux précédentes tient à ce qu'elle n'a pas commencé par viser l'homme lui-même au moyen de programmes de réeducation et de coércition. Elle s'est contentée d'introuduire un nouveau statut de l'objet, défini comme simple marchandise; en attendant que le rste s'ensuive : que les hommes se transforment lors de leurs adaptation à la marchandise, promue dès lors comme réel. Cette nouvelle éducation de l'individu s'effectue donc au nom d'un réel à quoi veut mieux consentir que s'opposer : il doit toujours paraître, doux, voulu, désiré comme s'il s'agissait d'entrainements (la télé..., publicité,...).
Pour l'économie néolibérale, en effet, le travail n'est plus ce sur quoi repose la production de la valeur, car le capital mise de plus en plus sur des activités à haute valeur ajoutée (surtout les médias, internet,...) où la part du travail salarié peu ou moyennement qualifié est parfois extrêment faible. Ce qui a donné au capital de jouer à plein la gestion des finances dans des mouvements de grande ampleur.
Ce qui explique; en dépit de toute amélioration que connue la vie quotidienne de l'homme grâce à ce mode de production; les perturbations aggravantes des autres et la concentration de la richesse entre des mains précises quer d'autres. ça aussi explique l'augmentation de chômage de par le monde d'un taux trop élevé même que le taux de croissance se trouve en parallèle avec celui de chômage. Pourquoi donc cette croissance n'absorbe pas ce taux de chômage ? Comment expliquer ce paradoxe ? Ce paradoxe s'explique : la part de l'économie réelle décroît à mesure de la financiarisation de l'économie qui s'est considérablement développée au cours des vingt-cinq années à partir du développemnt des nouveaux mécanismes financiers et outils de gestion du capitalisme.
Nous sommes dans un temps nouveau et de danger absolu : celui de capitalisme total qui ne s'intersse plus eulement aux biens et à leur capitalisation, ne se contente plus d'un contrôle social des corps, mais vise aussi un remodelage en profendeur des esprits. Tout doit rentrer dans l'ordre de marchandise, toutes les régions et toutes les activités du monde, même vous, y compris les mécanismes de subjectivation. C'est pourquoi, devant ce danger absolu, l'heure est à la résistance, à toutes les formes de résistance qui défendant la culture, dans sa diversité, et la civilisation, dans ses acquis.
Je crois aussi que c'est l'heure pour que les français pensent aux proverbes : cessez pas le progrès; connaître, c'est posséder.
Il n'est en effet pas impossible qu'après l'enfer du nazisme et la terreur du communisme une nouvelle catastrophe historique se profile. C'est à demander si nous ne sommes pas sortis des unes que pour mieux entrer dans l'autre. Car l'ULTARLIBERALISME veut, lui aussi fabriquer un homme nouveau. | | |
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