| La clitoridectomie : la honte de siècleInconnue chez les nations civilisées, la clitoridectomie est pratiquée à une large échelle dans les pays musulmans.L'Egypte, berceau de la civilisation pharaonique n'y échappe pas. Appelée aussi "l'excision", cette honteuse coutume consiste à procéder à l'ablation de l'organe génital féminin. Existant avant l'arrivée de l'islam, elle sera sauvegardée par les Arabes et ce afin de démontrer l'infériorité de la femme devant l'homme. Devant le tollé soulevé à travers le monde, le pouvoir égyptien décréta une loi en 1996 interdisant sa pratique. Ceci n'empêchera pas les femmes de se faire exciser à domicile. Le taux de pourcentage des personnes touchées par cette honte variera entre 60 et 65 %. Outre la répugnance de cet acte abject en tout point, il est à relever que la femme risque de graves répercussions pour sa santé.
En effet, la coordinatrice du Mouvement égyptien pour la lutte contre l'excision, en l'occurrence Mme Marie Assaad, elle, affirmera que le moment est venu de reconnaître ses faiblesses et que cet épineux problème doit trouver une solution rapide car il y va de la santé de centaines de milliers de jeunes femmes et de jeunes filles. Enfin, cette pratique d'un âge révolu semble avoir de beaux jours encore. Des médecins continuent de l'exercer sur d'innocentes victimes qui ne savent plus à quel saint se vouer. Néanmoins, celles qui refusent versent dans le mensonge afin de pouvoir se marier.
Entre le mensonge et la soumission le choix est vite fait. Concernant cette fois-ci la comparaison, nous noterons que des pays qui sont loin d'avoir l'importance de l'Egypte, le Yémen, par exemple, s'opposent avec succès à l'excision. En Egypte, pays de poids dans la "ligue arabe", malgré les efforts consentis en vue de l'éradication de ce phénomène moyenâgeux, la pratique semble être basée sur une hérédité et est donc transmise du père au fils. Elle en devient même un argumentaire de poids et préférentiel donc de la pureté féminine.
Des voix continuent de s'élever en vue de l'éradication de cette castration et ce dans l'espoir de mettre un terme à cette pratique. Aussi faudrait-il inclure cette pratique dans un cadre de violation de droits de l'homme, quoique la personne concernée en premier lieu soit une femme. Mais, le risque de voir la réaction des rétrogrades est forte. En effet, ceux-ci n'hésiteront par un instant à le déplacer vers les droits de la femme afin de pouvoir comme de coutume pérenniser cette infâme pratique. | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (8) | | Re: La clitoridectomie : la honte de siècle Posté par gaycirconcisado le 13/10/2012 14:27:09 | Evidemment tout à fait d'accord pour déclarer que cette pratique barbare est une honte épouvantable.
Et elle n'a rien de comparable avec la circoncision des garçons, qui elle, présente des avantages divers, et n'est pas exclusivement liée à la religion.
Moi même, j'ai fait ce choix, et c'est ce que je vais expliquer ici. et si quelqu'un veut des renseigenements, ou en discuter avec moi, voici mon adresse mail : [email protected]
Je me suis fait circoncire jeune adulte, adolescent déjà formé, après la puberté, à 15 ans, non par nécessité, médicale ou religieuse, mais par goût. J'en avais très envie depuis un certain temps et je connaissais un homme qui l'était, qui m'a beaucoup aimé. C'est ce qui m'a décidé. Certes, je voulais lui faire plaisir, mais surtout me faire plaisir à moi et ça n'a donc pas été un sacrifice, mais plutôt ce qui m'a aidé à franchir le pas. J'étais très jeune mais je m'intéressais à ce que je faisais et je m'étais documenté. Mes parents m'ont laissé carte blanche, comme tout ce qui concernait ma sexualité d'ailleurs. J'ai choisi l'hôpital américain car la circoncision est évidemment largement répandue aux USA et je n'avais pas eu d'autre idée. Et ça s'est passé de façon infiniment plus simple que je le craignais. Un peu mal après et pendant les premiers jours de la cicatrisation c'est tout, mais rien à voir avec d'autres ennuis que j'avais à l'époque, comme aller chez le dentiste ! Le gland mis à découvert est un peu gênant les premiers jours mais on s'y habitue vite. A la fin de la cicatrisation vers trois semaines après, il est déjà bien désensibilisé. On peut reprendre des activités sexuelles disons après 4 semaines. On peut avant, en ne tirant pas sur la cicatrice mais ça fait une drôle d'impression qui passe très vite.
Ce n'est qu'alors que j'ai compris pourquoi la circoncision avait tant de succès. Je savais que c'était bien, mais à ce point, je ne l'imaginais pas. C'est génial. C'est la nudité du gland qui est ce qu'il y a de plus appréciable. Paradoxalement, sa désensibilisation, toute relative, d'ailleurs, conduit à prolonger les choses, du moins pour moi, et à parvenir à un stade de plaisir plus intense et plus raffiné, me semble-t-il. Je ne l'ai pas une seule fois regretté.
Si quelqu'un y pense pour lui ou seulement aimerait en discuter avec moi, pas de problèmes. Et si quelqu'un a envie de franchir le pas, je lui raconterai plus en détail et je répondrai à ses questions. C'est un sujet qui me passionne et je dispose d'une abondante et impressionnante documentation.
Moi, le peux te dire que j'ai trouvé que c'était beaucoup mieux après. Après la cicatrisation et que le gland a commencé à se désensibiliser ( et à grossir un peu, aussi, même en érection, alors que j'avais la certitude que ma puberté était terminée complètement ( à 15 ans, normal !!!), j'ai découvert avec mon ami des subtilités nouvelles de l'orgasme, et surtout je suis devenu plus long à jouir, et avant d'éjaculer, j'ai déjà le goût de l'orgasme et au moment de l'éjaculation, là, je te dis pas !!!! ça doit faire comme ça pour toi, je suppose. Pour se branler, pas de problème, mais il m'a quand même fallu attendre quelques mois pour pouvoir le faire directement et à sec sur le gland. Sinon, avec un lubrifiant et le mieux, c'est l'huile d'amande douce. Mais j'avais des relations sexuelles régulières avec cet homme que j'aimais et qui m'aimait, et c'était génial. Je pourrai te raconter tout ça.
J'ai été très surpris parce que ça n’a que des avantages et je ne suis pas le seul à en avoir eu envie, loin de là ! On comprend pourquoi c’est ridicule et même débile de comparer avec une mutilation ou je ne sais quoi de stupide. Certains se montrent rebelles et critiques parce que leur consentement n’a pas été demandé. On peut comprendre. Mais s’il faut éventuellement modérer l’enthousiasme en affirmant que c’est « pour la bonne cause » qu’on coupe le zizi des petits garçons impubères, on constate quand même que sur un tiers de la population masculine sur la terre, soit quand même pratiquement 2 milliards de bites coupées, il y a peu de contestations et de réclamations auprès du service après-vente ! Si tel avait été le cas, ça se saurait ! Ça a été une révélation pour moi. Et comme beaucoup d’hommes (ou ados, bien sûr, c’est pareil !), qui se le sont fait faire, certes, parfois, par nécessité pour diverses raisons, ou tout simplement par goût, par désir, par envie, par souci d’esthétique, d’hygiène, même si on peut aussi se laver ( !!!), et surtout d’érotisme et de sensualité, ce qui est fréquent, le seul regret c’est souvent de ne pas l’avoir fait faire plus tôt ! J’ai lu cette appréciation dans de nombreux témoignages.
Moi, j'ai mieux maîtrisé mon éjaculation, un plaisir plus fort car j'ai trouvé qu'il y avait un palier qui était déjà l'orgasme qui durait assez longtemps avant l'éjaculation. Pas de problèmes pour la masturbation (au contraire… !!!), car la muqueuse du gland se change et supporte directement avec les doigts ce qu'elle ne supportait pas auparavant.
Il est vrai que le prépuce induit une grande sensibilité. Dans un sens, on peut penser qu’en le coupant, on se prive de quelque choses. Mais c’est oublier que les terminaisons nerveuses, les corpuscules de Kraüsse, se reforment en-dessous de ce qui a été coupé. Il y a donc une « recapitalisation » des facteurs des sensations, qui expliquent donc le paradoxe qu’en enlevant un bout de peau (externe et muqueuse), on favorise des sensations nouvelles et plus intenses, même si, évidemment, la subjectivité n’est pas absente de cette appréciation. Mais, même s’il y a coupure, le garçon n’a pas l’impression qu’on lui aurait retiré quelque chose, et qu’on lui aurait « sacrifié » sa bébète ! C’est tout le contraire. En général, les hommes (ados ou adultes !), ressentent la découverte et l’ajout d’une dimension sensuelle supplémentaire, supérieure par l’effet d’une subtilité inattendue du goût du gland toujours présent. Même dans le slip, après cette désensibilisation qui si paradoxalement renforce les sensations et l’intensité des orgasmes (même si ce n’est, bien sûr, pas aussi mathématique que ça, mais pourtant valable en général), le gland n’est pas gênant du tout. Le plus souvent, on ne le sent pas du tout. Mais des fois, on sent sa présence à nu discrète, se rappelant à nous, et c’est très agréable et sensuel. Quand on bandouille ou quand surgit l’érection c’est le top.
Il faudrait, à mon avis, conseiller la circoncision à tous les hommes et les ados.
Si quelqu'un veut des informations, ou simplement en parler avec moi, je suis à votre disposition. | | Re: La clitoridectomie : la honte de siècle Posté par demosthene le 04/01/2009 12:28:51 | c'est une honte pour l'islam de voir que certains pays ne respecte pas ses lois.l'excission est la pratique la plus ignoble que l'on peux subir.la femme est extrait de son orgasme vraiment c'est penible.je suis un mec mais on doit voter dans tous les pays l'interdiction de cette pratique avec pour resolution une affaire d'incasceration pour les contrevenants.et l'ONU dois voter cette loi comme un crime ou un acte de viol et de non respect des droits humains et surtout de la femme. | | Re: La clitoridectomie : la honte de siècle Posté par misa72 le 03/01/2009 16:26:22 | La loi française l' interdit déjà et heureusement! C' est une mutilation et qui plus est sexuelle ce qui fait que les peines sont assez lourdes, cela va jusqu' à l' emprisonnement (3 ans pour l' exciseuse Hawa Gréou, Malienne de la caste des Forgerons). D' après mes lectures, le but n' est pas que la femme ne ressente rien pendant l' acte, cela va beaucoup plus loin... Selon les pratiquants de cette (mauvaise) coutume, cela rendrait les futures femmes "pures" (pour ces personnes le clitoris serait un ajout du diable, quelque chose qui rappellerait le pénis mais qui n' a donc rien à faire sur un corps de femme, ou pire encore lors des accouchements si le clitoris venait à toucher la tête du bébé ce dernier serait maudit pour la vie... Bah dis donc, on lui en attribut bien des mauvaises réputations à ce pauvre bout de chair!). Bien sur cela n' est que prétexte. Cette ablation est réalisée généralement dans des conditions d' hygiène peu recommandables (voire même carrément "non-hygiéniques") sur des filles de tout âge, sur des bébés d' un mois comme sur des plus vielles de l' âge de dix ou onze ans. Elle ne sont bien sur jamais prévenues, on ne parle pas de ces choses là, c' est extrèmement tabou, ni avant ni après l' acte, jamais, on l' accepte sans rien dire et il ne faudra jamais en parler, ce qui est encore plus traumatisant le jour J et pour la suite. Dans les villages "au bled" généralement les filles sont amenées chez l' exciseuse en petits groupes pour se faire "couper" comme certains disent, en France c'est plutôt l' exciseuse qui se fait contacter par les parents et qui se déplace avec la plus grande discretion; dans tous les cas elle reçoit des cadeaux en remerciement pour son geste, des pagnes, des étoffes, de la nourriture, parfois de l' argent. Lors de l' acte, la "chanceuse du jour" est tenue fermement au sol par des femmes fortes pour l' empécher de bouger, on lui écarte les jambes de force (rappelons que la victime ne sait pas ce qu' il va lui arriver) et l' exciseuse coupe le clitoris en entier avec une lame de rasoir ou petit scalpel, il peut arriver qu' elle s' y prenne mal et qu' elle doive donc re-tailler dans la chair, puis elle applique sur la plaie une sorte de terre argileuse pour la cicatrisation en récitant des sortes de formules (hum hum...), très court à décrire mais on imagine que cela ne se fasse pas en deux secondes... Une fois l' acte accompli la fille repart comme elle est venue (ou presque), sans explication, sans savoir pour qui pourquoi, et avec un sentiment de douleur atroce, de soumission, de vide interieur qui ne la quittera jamais de toute sa vie, elle va vivre comme ça, blessée dans son âme et dans sa chair sans savoir pourquoi mais tout en l' acceptant tant bien que mal. Alors tout ceci dans quel but? Hé bien justement pour garantir au futur mari une épouse vierge (on imagine qu' avec un tel traumatisme qui perdure dans sa vie on ne peut que rester vierge le plus longtemps possible) donc pure, c' est lui même qui lui fera perdre sa virginité le soir du mariage(mariage sans consentement mutuel, de même pour les rapports sexuels, autrement dit mariage forcé et viol à vie!). Il faut bien préciser que le mari est polygame, statut qui est pour lui simplifié étant donné que toutes ses femmes ont subi le même sort. C' est toujours plus facile de soumettre des personnes affaiblies, de leur faire avoir des grossesses non-désirées et très rapprochées pour les affaiblir encore plus, et donc de les garder à la maison dans cet esprit de non-culture et du' tu n' es qu' un corps, agis et ne pense pas"...
J' aimerais m' ettendre sur le sujet mais le temps me manque donc je repasserai surement par-là, en attendant vous pouvez toujours allez lire " Exciseuse" ou "Kady", vous verrez ce qui encore est une réalité de ce monde, en Afrique généralement mais aussi ailleurs et également en France. | | Re: la clitoridectomie : la honte de siècle Posté par domoilove le 03/01/2009 11:44:12 | C'est barbare et sauvage! La loi devrait l'interdire! A se demander ce qui leur passe par la tête et ils croient aller où comme ça?
Tout ça pour que la femme ne ressente rien au moment de l'acte... C'est comme couper une jambe ou un bras sans anesthésie mais c'est vraiment dégueulasse!!! | | Re: la clitoridectomie : la honte de siècle Posté par jacquesv le 02/01/2009 01:28:23 | Une mise au point quandmême:
Les plus hautes autorités musulmanes en Egypte, Al Ahzar et le Grand Mufti d'Egypte ont clairement banni la clitoridectomie il y a des années déjà (en 2006)
J'ai la manie d'être complet, j'ai donc cherché le texte complet en FR:
_http://www.scribd.com/doc/3005798/fr-MGF-Egypte-Fatwa-Caire
La Fatwa / le verdict
La décision adoptée lors de la conférence des érudits au Caire (22/23 novembre 2006) et
publiée le 23 novembre 2006, qui a été personnellement signée par le Grand Mufti de
l’Egypte, le Professeur Dr. Ali Gom’a, et est ainsi acquise valeur légale.
Recommandations - ayant valeur de fatwas – proclamées lors de la conférence
Au nom d’Allah le Miséricordieux,
La conférence internationale qui a réuni des érudits, à propos de l’interdiction des abus sur le
corps féminin, a été tenue les 1ers et 2 El Keada 1427 de l’Hijdra, correspondant au 22 et
23. 11.2006, dans les salles de conférence de l’université Al Azhar. De nombreux travaux de
recherche ont été présentés. Après avoir entendu scientifiques et érudits musulmans, ainsi
qu’experts et membres d’organisations civiles d’Egypte, d’Europe et d’Afrique, les
recommandations suivantes ont été publiées :
1.
Dieu a donné à l’homme une dignité. Dieu dit dans le coran: « Nous avons honoré les fils
d’Adam ». Dieu interdit d’infliger toute violence aux êtres humains, indépendamment de
leur statut social ou de leur sexe.
2.
L’excision des parties génitales est l’héritage d’une mauvaise coutume, encore pratiquée
dans quelques sociétés et pays, et que certains musulmans ont repris à seul fin
d’imitation. Cette décision n’a pas de justification dans le Coran et ne respecte pas la
Transmission du Prophète.
3.
L’excision des parties génitales pratiquée aujourd’hui encore, provoque des dommages
psychologiques et physiques chez la femme. C’est pour cela que ces pratiques doivent
être interdites, en référence à l’une des plus grandes valeurs de l’Islam, celle de ne
n’infliger aucune violence à l’être humain – conformément au paroles du Prophète
Mohamed : « N’agressez jamais, le Seigneur n’aime pas les agresseurs » Ce genre
d’action est considéré comme une agression contre le genre humain et devra être puni.
4.
La conférence appelle tous les musulmans à interdire cette mauvaise coutume, en
respectant les enseignements de l’Islam qui interdisent d’exercer une quelconque
violence envers l’être humain.
5.
Dans le même esprit, les participants à cette conférence demandent aux institutions et
instances régionales et internationales de concentrer leurs activités sur la nécessité
d’explication et l’éducation de la population. Ceci concerne particulièrement les règles
d’hygiènes médicales de base s’appliquant aux femmes, et qui devront être respectées
afin que cette mauvaise coutume ne soit plus mise en pratique.
6.
La conférence rappelle aux établissements éducatifs et aux médias leur devoir absolu
d’exposer les dommages résultant de cette mauvaise coutume, et d’en montrer les
conséquences dévastatrices pour la société. Ceci aurait un effet de divulgation dans le
but d’éliminer une coutume qui permet la mutilation du corps féminin.
7.
La conférence incite les pouvoirs législatifs à adopter une loi interdisant l’exercice de
cette coutume cruelle et de la dénoncer comme crime, indépendamment du fait que les
pratiquants soient bourreaux ou initiateurs de cette pratique.
2
8.
De plus, les participants à cette conférence sollicitent l’aide des institutions et
organisations internationales, dans toutes les régions où cette coutume cruelle est
pratiquée, afin de participer à son éradication.
Signature:
Prof. Dr. Ali Gom’a
Grand Mufti de l’Egypte
24.11.2006
(ce qui vous permet de prendre connaissance d'un texte d'une vraie fatwah)*
Résumé AN:
AZHAR OUTLAWS FEMALE CIRCUMCISION
By G. Willow Wilson
Posted on Sat Nov 25, 2006 at 02:00:25 PM EST
The Grand Sheikh of Al Azhar, the oldest and most highly respected institution in Sunni Islam; and the Grand Mufti of Egypt have released an official fatwa declaring the practice of female circumcision (also called female genital mutilation or female genital cutting) un-Islamic. The decision was made at a conference hosted in Egypt and attended by Muslim clergy from around the world.
The custom of female circumcision is concentrated in the Nile Valley and practiced by Muslim, Christian and animist groups. However, incidences of female circumcision have been documented as far afield as Tanzania and India.
The ruling follows repeated efforts by the Egyptian government to ban female circumcision during the 20th century. Those opposed to the multiple bans claimed that prohibiting female circumcision limited religious freedom.
This is the highest eschelon of Islamic authority the issue has ever reached; Tantawi and Gomaa are two of the most influential clerics in modern Sunni Islam. This is also the most strongly-worded fatwa that has ever been released against female circumcision by a mainstream Sunni organization; previous fatwas have deemed the practice "not obligatory" and "not recommended".
It behooves anyone opposed to female circumcision to support this decision by Al Azhar and Mufti Gomaa. You can send messages of thanks and appreciation to the Supreme Council of Islamic Affairs, Egypt, via their website. The more encouragement they get, the more convinced they become that supporting the middle way supports the majority, and the more forward-thinking pragmatist rulings we can expect.
_http://eteraz.org/story/2006/11/25/14025/513
L'islam interdit donc clairement la clitoridectomie.
Hélas sans succès...
(Le chef de l'Eglise Copte aussi s'est prononcé contre la clitoridectomie, avec peu de succès, lui aussi -en Egypte les chrétiens coupent et mutilent comme les musulmans)
*(Osez donc dire que je ne fais rien pour vous)
Modifié le 02/01/2009 02:20:24 | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (8) |
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