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La guerre des lampadaires, deuxième

Voilà la suite, mais encore une fois, ce n'est pas à prendre au premier degré. Je me suis aperçue qu'en le lisant "sérieusement" on pouvait y voir des termes assez insultants, encore une fois je fonce tête baissée dans la caricature, c'est absolument faux, et je ne veux viser aucune personne humaine... Débranchez votre cerveau...


Voici la suite du premier épisode

En marchant dans la grande cité, à la recherche d'un autobus à propulsion hypersensorielle, Luke et son Maître aperçurent, dans un sombre recoin, un homme qui pourrait leur être utile. Till Lindemann, accompagné d'une créature pour l'instant camouflée dans l'ombre, nettoyait son vaisseau. Vraicon Millenium, proclamait la plaque. "Laisse moi faire, jeune apprenti." Les deux hommes s'approchèrent de Lindemann. La créature bondit dans la lumière avec un cri atroce :
"Hardoooos !
"Aaah ! Qu'est-ce que c'est que ça ?"
Lindemann lança un ordre bref et guttural :
"Couché !"
Aussitôt la créature s'aplatit en gémissant. Elle était d'un brun rosâtre, toute gominée.
Réellement horrible. Luke s'approcha.
"Mais qu'est-ce que c'est ?
Parlez moins fort, chuchota Lindemann. C'est un ouaiche apprivoisé. Il est susceptible.
On peut les apprivoiser ?
Il faut les prendre tout petit. C'est très moche et pas très utile, mais ça fait de la lumière la nuit, alors c'est pratique. Je l'ai teint pour qu'on ne me le vole pas.
Monsieur, mon apprenti et moi souhaiterions voyager à bord de votre vaisseau...
Ah, le Vraicon, hein ? Ca va pas être donné..."
Soudain le Maître fit un geste de la main, et cet homme tout en noir parut plus grand. Luke devina que tout était gagné. Le Maître sortit de sa poche une cigarette, la tendit à Lindemann, offrit au ouaiche apprivoisé une sucette.
"Hardooos ? gémit la bête. Hardoos ?"
Lindemann sourit. Les talents de négociateurs du maître l'avaient gagné. Luke monta, pour la première fois, à bord d'un engin pareil. Au moment où ils franchissaient la porte, le ouaiche espion arriva en hurlant :
"Hardooos partirrr ! Arrgh !"
Aussitôt, une dizaine de poussins à casquettes, l'élite des milices ouaiches, sortit de nulle parts et se mit à canarder le Vraicon avec des Œufs interroexplosifspourris.
Lindemann démarra sur les chapeaux de roues, lesquelles portaient en fait une cagoule, mais ce n'est pas la question. Une fois que les tirs eurent cessé, il passa en mode hyperespace à un feu rouge.
"Merci M. Lindemann. Nous sommes engagés dans le même combat maintenant."
Le maître fit virevolter autour de lui les pans de sa cape noire, ramena sur lui son capuchon.
"Comment a-t-il su mon nom ?" murmura Till, surpris.
Luke passa sa main gantée de noir dans ses longs cheveux sombres.
"C'est un homme exceptionnel. Il l'a lu dans votre esprit."
Ny-li-ram Nosnam eut un petit rire.
"Tu as encore beaucoup à apprendre. Son nom est marqué sur son insigne."
Luke et Lindemann échangèrent un regard.
"Il est vraiment très fort, chuchota l'aventurier, impressionné, vraiment."
Pendant ce temps, Mercredi se morfondait, seule. Elle leva tout à coup la tête. Un pas pesant résonnait dans le couloir. Yellow Vador. Sa longue cape jaune flottait derrière son dos. Ses requins martelaient le sol, son survêtement de guerre, aussi jaune qu'un canari chinois, couvrait ses vastes épaules. La visière de sa casquette cachait son visage. Sa voix, alourdie par son langage immonde et sa propension à fumer tout ce qu'il pouvait, se fit entendre...
"Princesse. Je veux des informations. Où se cachent les rebelles ? Notre empereur le cerbère à casquette n'attendra pas votre bon plaisir.
Je ne vous dirais jamais ou ils se cachent ! Jamais !
Ah ouaich ? On parie ?"
A nouveau le bruit terrifiant qui avait tant blessé la princesse se fit entendre.
"Vas-y, on verra bien, déclara Yellow Vador de se voix pesante. Tu finiras par parler." Et il éclata d'un rire gras.
"Mouahahaohoho !" (Je ne fais pas très bien les rires gras.)
"Pourquoi faut-il que ça tombe sur nous ?" déplorait Luke alors que le Vraicon était garé près d'une aire d'autoroute, en panne. Till Lindemann se glissa en dessous de l'engin et commença à réparer son vaisseau, pendant que Luke faisait les cent pas, et que Maître Nosnam tentait de le calmer. Des éclats de voix se firent entendre. Quarante huit ouaiches rouges, les moins gradés des ouaiches, même pas dignes de porter la casquette symbolique, ce qu'ils compensaient par de généreuses quantités de gel, étaient regroupés en cercle autour d'un jeune garçon.
"Hardoos ! Il m'a regardé... hardoos !
Mouarf ! Hardoos ! Il t'a regardé, wesh ? Il t'a regardé ?
Ouais. Hé, j'te l'jure, grave...
Faut le frapper, wesh...
Frapper ! aah ! Frapper ! Frapper le hardoos !" s'exclamèrent en cœur le groupe de rougeauds.
Luke s'élança en dégainant son compas mortel à seize soupapes. L'arme ultime. Bientôt les ouaiches baignèrent dans leur sang aussi rouge que leur uniforme.
"Bien mon apprenti. Tu commences à faire tes preuves. "
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Re: La guerre des lampadaires, deuxième
Posté par latoya le 20/08/2004 07:56:36
AHHHHHHHHHh ..!!!!!!!!!! TROP NAZ !!! MDR ! Putin mai como tu fai ? C trop naz ...franchement g preferé le premier il etait plus mélangé ! MDR ! Non mais sérieux tu dois etre vraiment OUF toi et moi g dois l etre encore plus d avoir lu T deux textes===>en entier!!! MDR
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Publié le 22 juin 2004
Modifié le 22 juin 2004
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