| La saga "Le parrain"Retour sur l'une des sagas phare du septième art et de l'extension de son univers.On ne présente plus cette saga devenue à présent mythique. Dès que l'on prononce le titre, il nous vient à l'esprit une succession de scènes parfois violentes sur une musique douce et recherchée. Voici ce qu'est le Parrain. Mais il serait réducteur de renier les deux autres opus car "Le parrain" est bel et bien une trilogie. Bien que la qualité des longs métrages soit aléatoire, le spectacle et l'émotion sont toujours au rendez-vous car chacun des trois films réservent son lot de surprises et de sensations fortes. Pour que vous ayez une vision d'ensemble de la trilogie, je vous propose la présentation et la critique des trois longs métrages.
Le Parrain (Mario Puzo's godfather)
En 1945, à New York, le crime organisé est très présent. Cinq familles se partagent la ville de façon équitable dans différentes petites combines peu légales : la prostitution, le traffic d'alcool, le racket de petits commerces, etc...
Les Corleone sont l'une des familles. Le chef de celle ci, Don Vito Corleone (Marlon Brando), tient la famille d'une main de fer. Il est secondé par ses fils : Santino (James Caan) le plus émotionnel, Tom Hagen (Robert Duvall) l'avocat-conseiller de la famille et le petit Fredo (John Cazale), le plus timide.
Lors du mariage de sa fille Connie (Talia Shire), Don Vito reçoit la visite de son fils cadet Michael (Al Pacino). Le "Parrain" de la famille Tattaglia, Virgil Sollozzo, propose à Don Vito de s'investir dans le marché de la drogue. Ce dernier refuse et c'est cet élément qui va mettre le feu aux poudres...
1972. Cette année-là est à marquer d'une pierre blanche pour tous cinéphiles qui se respectent. Françis Ford Coppola réalisa l'un des films les plus marquants de toute une génération.
En reprenant les éléments du livre de Mario Puzo, Coppola dépeint l'univers du crime organisé d'une manière sobre et réaliste les déboires de la grande famille Corleone. De la mort de Santino à la transmission des pouvoirs familiaux au cadet en passant par la mort de Don Vito. Le réalisateur montre une famille unie dans le chagrin mais dissoute par les affaires. L'aspect tragique est renforcée par des scènes riches en émotions transportées par les musiques de Nino Rota qui marquent une grande profondeur. Une magnificence.
Par ailleurs, la prestation des acteurs est excellente. Un charismatique Marlon Brando en chef de famille qui, malgrè son importance, est capable de pleurer. James Caan joue à merveille un Santino sanguin et effronté qui se met souvent dans des colères noires. Les autres acteurs donnent le meilleur d'eux même dans la sobriété. Seul Al Pacino semble fade et ne transmet aucun sentiment à l'écran. De ce fait, son personnage parait transparent et dispensable. Heureusement que les autres acteurs sont là.
Si on devait énoncer un seul défaut à ce film, ce serait son rythme. Parfois peu soutenu, souvent long. On voit le temps passer au premier visionnage, ce qui peut rebuter certains spectateurs. Mais si l'on s'imprègne assez de l'histoire et que l'on savoure chaque détail de ce long métrage, il devient alors une véritable perle et le temps passera à toute allure. N'oubliez pas que ce n'est en aucun cas un film d'action.
Un chef d'oeuvre magnifique sur le crime organisé et les aléas d'une famille qui se dissout peu à peu. On prend un réel plaisir à regarder l'évolution de la famille. Coppola a créer le film avec un sens profond de la famille qui se ressent à l'écran. Plus qu'une véritable réussite, un film mythique !
Le parrain : partie II (Mario Puzo's godfather Part II)
Après la mort de son père Don Vito Corleone, Michael (Al Pacino) s'est vu confié le controle total des affaires de la famille. Il apprend très vite la gestion du business familial. Il est amené à traité avec la mafia juive mais il perd le soutien d'un de ses lieutenants. Après avoir échappé à un attentat dans sa demeure, Michael soupçonne le chef de la mafia juive, Hyman Roth (Lee Strasberg), de l'avoir commandité.
Après le meurtre de son père en Sicile par le chef de la mafia locale, le jeune Vito Corleone fuit son pays et débarque en Amérique. Quelques années plus tard, agé alors de 20 ans, Vito (Robert de Niro) se marie. Son travail à l'épicerie d'un quartier de New York lui semble dur, mais il est décidé à gagner sa vie honnètement. Or, un jour, il rencontre un homme qui va lui faire changer d'idée...
En 1974, Françis Ford Coppola met en chantier la suite du "Parrain" vu l'énorme succès du premier. Or le célèbre réalisateur souhaite faire les choses proprement. Il reprend donc sa collaboration avec Mario Puzo afin que l'histoire soit en accord avec l'ouvrage de référence.
Nous retrouvons donc Michael qui a repris les rênes de sa famille. Le film développe d'avantage ce personnage et montre sa complexité. Dans le premier opus, il ne souhaitait guère devenir comme son père (le deuxième film insiste également sur ce point). Le film montre la métamorphose du jeune homme vers la cruauté et l'immoralité. La fin montre un Michael en proie avec lui même et sa conscience, se questionnant sur son statut. Un élément interessant qui apporte de la richesse à l'aventure.
En parrallèle, nous pouvons suivre la jeunesse de Vito Corleone incarné à l'écran par Robert de Niro. De son enfance en Sicile jusqu'à son ascension dans le Milieu, l'histoire tend à approfondir le personnage de Vito afin qu'on ressente de la compassion pour lui. Or cette histoire annexe est certes une bonne idée mais n'est pas développée jusqu'au bout et donne une impression d'inachèvement. Il y a des pans entiers de la vie du Don qui ont été balayé à l'instar de son ascension dans le Milieu qui aurait méritée d'être plus dévelopée. C'est fort dommage.
On retrouve toujours le charme du premier opus avec des musiques enivrantes italianisées qui sentent bon la Sicile. On en serait presque dépaysé. De plus, les acteurs se révèlent interessants. Al Pacino a bien progressé depuis le premier opus et arrive à rendre crédible son personnage. Robert de Niro est peu expressif mais arrive quand même à nous surprendre durant quelques scènes. Les autres acteurs sont eux aussi de qualité.
Un autre défaut, le rythme du film. Tout comme le premier, il risque d'en rebuter certains au premier visionnage tant le film devient interessant vers la dernière heure. Mais les pasages de la jeunesse de Vito sont absolument à voir.
Un film non exempt de défauts et qui s'éloigne de la grande ampleur du premier opus. On a le même produit mais sans la véritable saveur. Mais le film se laisse regarder, ne serait-ce par curiosité pour l'histoire et la prestation en italien de l'acteur Robert de Niro.
"Le Parrain : partie III" (Mario Puzo's godfather Part III)
Michael Corleone (Al Pacino) est à présent agé de 60 ans. Il désire deux choses : consolider les liens avec les membres de sa famille et récupérer une image de marque aux yeux de la société. Mais Michael est un homme de plus en plus fatigué physiquement et moralement. Ses anciens actes refont surfaces et hantent ce dernier. Il désire également convertir les affaires mafieuses de la famille en affaires légales. Mais son fils préfère devenir chanteur d'opéra.
Vincent Mancini (Andy Garcia), le fils de Santino Corléone, et la fille de Michael ont une relation ambigue qui n'est pas bien reçue dans la famille. Par ailleurs, Michael voit les choses en grand en aidant financièrement le Vatican. En échange ce dernier lui cède une société d'immobilier, ce qui attire la jalousie des autres mafieux. Après avoir échappé à un attentat, Michael part pour la Sicile afin de retrouver ses racines et de se reposer.
17 ans après le seconde partie de la saga "Le Parrain", Françis Ford Coppola en remet une dernière couche et conclu cette trilogie. Toujours avec la participation de l'auteur Mario Puzo, le réalisateur tourne cette suite qui s'avère bien différente des autres opus. D'une part, le film emboîte le pas au second opus en se focalisant sur l'examen de conscience d'un Michael Corleone fatigué et vieilli. Même au crépuscule de sa vie, le personnage rumine inlassablement sa vie. Empreint de remords, il tente de trouver le chemin de la rédemption. D'autre part, le film multiplie les clin d'oeils aux autres opus en reprenant quelques personnages clés (le Don sicilien qui aida Michael dans sa fuite dans le premier film) ou en reprenant des scènes phares (le banquet, l'attentat). On a l'impression d'assister à un pot-pourris de la saga.
De plus, l'histoire se révèle moins passionante que les deux autres films. Le fait que Michael est en conflit avec sa conscience est une très bonne idée, mais le film pédale vite dans la semoule avant de s'enliser peu à peu. Les émotions que l'on ressentaient jadis pour les autres opus ont disparus, tout comme ces musiques enivrantes et dépaysantes. Les deux seules scènes qui valent le coup d'oeils pour leur émotion forte sont les deux scènes finales où l'on voit qu'Al Pacino est un grand acteur. Tout le reste n'est pas indispensable.
Le défaut récurrent de la série est bien évidemment le rythme qui est beaucoup moins soutenu que dans les autres épisodes. Ceci peut démotiver les spectateurs qui n'auront peut etre pas envie de regarder la totalité du film.
Un film qui garde le défaut de ses aînés mais qui n'a pas la saveur ni l'odeur des temps passés. Le long métrage le moins réussie de la saga qui vaut le détour pour les deux scènes finales qui cloturent merveilleusement la série et le jeu d'acteur de Al Pacino qui donne plus de relief à son personnage. En dehors de cela, le film plonge le spectateur dans un ennui permanent avec une histoire qui commence à être comme le personnage usée et fatigué. Les multiples clins d'oeil aux deux premiers films sont sympathiques et essaie de raviver une saga qui semble vraiment à s'essoufler avec cet épisode. C'est fort dommage...
Le Parrain : Partie IV ?
Plus qu'une rumeur, c'est une certitude. L'éditeur Jonathan Karp qui édita à l'époque toute l'oeuvre du "Parrain, cherche un remplaçant à Mario Puzo qui décéda en juillet 1999.
Cette future oeuvre littéraire porte en elle beaucoup d'incertitudes. Ce quatrième volet pourrait se dérouler avant, pendant ou après la saga originale. Par ailleurs, le héros de l'histoire pourrait être Santino Corleone dont Mario Puzo trouvait ce dernier peu développé.
L'autre incertitude créside dans le casting. Andy Garcia et Leonardo DiCaprio pourrait être dans le film sous la houlette de Françis Ford Coppola. Mais rien n'est encore sûr.
La série littéraire
La saga du "Parrain, ce n'est pas seulement les films de Françis Ford Coppola, mais c'est aussi une série de deux romans qui permettent aux spectateurs d'aller plus loin dans l'univers des films. Certains personnages moins creusés dans le film s'avèrent beaucoup plus consistants dans le roman. Le personnage de Vito Corleone est quant à lui plus travaillé et on en apprend plus sur sa jeunesse que dans le second film. Saviez-vous que Don Vito avait eu des déboires avec Al Capone ? Eh bien moi non plus, jusqu'à ce que je me plonge dans le roman. Pour ceux qui ont vu l'adaptation cinématographique, lisez les romans qui vous aiderons à comprendre beaucoup mieux certaines scènes et les relations entre les personnages.
Il faut distinguer le roman de Mario Puzo, qui à inspiré Coppola, et un autre roman appelé "Le retour du parrain". Ce dernier vient dêtre publié il y a peu de temps et conte les déboires entre Michael Corleone et Nick Geraci, un membre d'une autre famille aussi puissante que celle de Michael. Le livre se situe chronologiquement à la fin du premier et avant le début du second épisode. 2crit par Mark Winegardner, il vous amènera dans une histoire inédite de la vie de Michael. A découvrir.
Le jeux vidéo
L'extension de la saga du "Parrain" va loin. Le jeu vidéo est en cours de développement. Les petits gars d'Electronic Arts s'appliquent à leur tache. Une sortie était initialement prévue en décembre dernier mais a été au dernier moment repoussée. La raison ? La qualité générale du soft était peu convaincante. C'est un gage de qualité en somme.
Pour adapter la saga en jeux vidéo, il fallait oser. Le jeu se présente comme un gta-like. Certains crieront "Où est l'originalité ? ". Il faut savoir que bon nombre de jeux vidéos ont été inspiré par "Le Parrain" comme "Mafia" ou encore "Gta".
Les développeurs ont donné le meilleur d'eux-même afin de contenter à la fois les joueurs et les fans de la saga. Une entreprise qui s'annonce périlleuse.
Il est impossible de donner son avis sur le jeu mais l'on peut d'ore et deja dresser un premier constat. Graphiquement, l'éditeur propose des graphismes détaillés et fins qui correspondent à l'ambiance générale du film. D'ailleurs, le New York des années 30 a été modélisé pour l'occasion. En ce qui concerne la modélisation des personnages, elle s'avère excellente au vue des premières images. On reconnait très bien les différents personnages comme Santino ou om Hagen. Al Pacino est malheureusement absent en raison du développement du jeu "Scarface".
L'histoire n'est pas une pâle réssucée de la série. Elle propose de suivre les premiers pas d'un jeune loup qui souhaite rentrer dans la famille Corleone. Ce personnage est comparable au personnage de Vincent Mancini, le fils de Santino, incarné à l'écran par Andy Garcia. La route est longue pour devenir le Don... On pourra même rencontrer Don Vito Corleone personnellement pour qu'il vous transmette ses ordres.
Le principe du jeu est comparable à celui d'un GTA en plus organisé. Il faut savoir se faire respecter en utilisant à bon escient vos poings. Un système de racket est prévue. Vous pourrez, par exemple, demander "poliment" si le commerçant accepte la protection que vous lui proposez. Après cela, il faudra gérer tous les commerces dont vous êtes responsables. Si le gérant meurt tué par un membre d'une autre famille, le rideau de fer demeurera fermé. Tout un programme. Ajoutez à cela les doubleurs français officiels du film et vous obtenez une licence qui porte pleins de promesses.
Verdict : en mars 2006 sur PS2, X-box, X-box 360 et PC.
Conclusion
J'espère que ce petit tour dans l'univers du parrain vous a plus. En plus de la saga cinématographique, vous pouvez lire les romans de Mario Puzo en complément et/ou jouer au jeu vidéo du même nom car l'univers du "Parrain" s'étend sur plusieurs supports. L'esprit de la série est inoubliable, tout comme le premier film avec la prestation fabuleuse de Marlon Brando. Je vous invite cordialement à vous plonger dans cet univers fascinant qu'est la mafia italienne. Bienvenue dans la famille... | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (13) | | Re: la saga "le parrain" Posté par mister_cool le 19/03/2006 22:12:22 | j-d salinger=> hum, la tolérance ce n'est pas ton fort.
En résumé, il faut que tout le monde pense et ressente les memes choses que toi. Ne serais-tu pas le fils d'un célèbre dictateur par hasard?
Et puis, la "politique c'est mon choix" n'est pas si méprisante que cela. Freud l'a perçu. Oses-tu dire que c'est un fou? Je te sens bien prétentieux et parfois il n'est pas très bon de péter plus haut que son cul en tournant le dos à la culture environnante tout en scandant qu'autrui a tort...
Modifié le 19/03/2006 22:13:27 | | Re: la saga "le parrain" Posté par j-d salinger le 19/03/2006 14:43:37 | Bon pour commencer je vais te le dire une dernière fois, "ne nous envoie pas ton imaturité au visage en répetant que la prestation de al pacino dans le parrain 1 est faible" je t'en prie soit humain!!!
D'ailleurs c'est interessant de noter que à la question quels sont les rôles pour lesquels vous êtes le plus fière? Al pacino cite Le Parrain 1...
Enfin bon bref il doit avoir une faculté d'analyse bien faible...
Ensuite je t'en prie encore ne me sort pas des trucs du genre tout les hommes ont leur opignon et bla bla bla...
LA politique de "c'est mon choix" garde la pour impressioné tes copines.
Quand une chose est aussi évidente ce n'est pas du fascisme que de contesté vivement un manque de sensibilité si flagrant, d'aileurs ça ne m'ettonne pas que tu préfère le rôle de Tony Montana qui est plus basé sur la Pantomime, seul talent que tu peux reconnaitre...
POur finir je vais te raconter une histoire, elle t'aidera peut être...
SUr une de leur colonie les Anglais ont proposé à une troupe d'indigène de leurs faire découvrir LOndre via le Cinéma.
Monde qu'il ne connaissent évidament pas, puisqu'ils n'ont jamais rien vu d'autre que leur jungle.
Après la diffusion du cour métrage, les Anglais préssés de receuillir leurs réactions demandèrent quel a été la chose la plus marquante pour eux.
Personne ne semblait avoir de réponse, ils semblaient peu emballés...
Soudain un des hyndigène cria "Si , il y avait 3 poules!!"
La tout les hyndigènes dans un élan d'admiration aquiéserrent cette remarque...
Les Anglais surpris par si peu de remarque sur l'architècture et tout les aspects de la vie modernes, revisionnèrent le film.
Ils s'apperçurent que pendant l'espace de quelques seconde en arrière plan, on pouvait appercevoir 3 pauvres poules qui se balladent...
Tout ça pour dire qu'on ne voie que ce qu'on connaît.
Alors je regrette simplement que tu n'es pas vu le génie d'Al pacino dans le Parrain , mais je ne t'en veux pas, tu ne connaît pas ce qu'il a voulu faire passé...
Mais je prie pour qu'un jour tu le vois enfin...
Bien à toi. | | Re: la saga "le parrain" Posté par mister_cool le 18/03/2006 20:16:07 | j-d salinger=> Al Pacino est un excellent acteur, c'est un fait. A l'époque où il avait tourné "Le parrain" premier du nom, il était un novice qui cherchait du travail. Or, sa performance d'acteur est incroyable dans "Scarface" qui est à mon sens le film le plus représentatif de son talent (bien que depuis il ait fait d'autres longs métrages loin d'etre inintéressant).
Mon point de vue n'est pas puéril, il est fondé et mûrement réfléchis après 77 lectures du film (il faudrait que je m'y remette d'ailleurs :p). Et puis, mon bon ami, comme tu le dis si bien : nous sommes dans un pays libre ;)
En parlant de l'humain, toi O hableur grandiloquent, toi qui le connait si bien, tu devrais savoir qu'aucune des personnes constituant la races humaines n'a la même sensibilité ni la même façon de réfléchir. Or ici, tu m'accuses de ne pas être comme toi. Tes propos sont biens secs et agressifs. Est-ce de l'intolérance ou juste une envie ironique de vouloir détruire quelqu'un?
Cependant, comme je l'ai dis à Tchit, je conçois très bien que d'autres personnes ont trouvé Pacino incroyable dans le premier épisode du "Parrain" en raison des raisons sus-mentionnées.
Modifié le 18/03/2006 20:20:43 | | Re: La saga "Le parrain" Posté par tchit le 17/03/2006 19:27:52 | j-d salinger je crois qu'on a de quoi très bien s'entendre :d
Mais bon tu es irespectueux, ce qui est un petit peu genant. | | Re: La saga "Le parrain" Posté par jacqueschirak le 15/03/2006 19:25:21 | don vincenzo corleone --> comme tu te la pète avec ton pseudo... | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (13) |
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