| Louga Amour perdu (1)Comment je suis tombé amoureux de la femme la plus blanche et la plus belle du monde. Comment elle m'a appris à la soigner avec mon sang. Comment elle m'a quitté en quittant le Senegal. Plus jamais je n'ai pu tomber amoureux à nouveau. Je suis toujours obsédé par elle.Après mon Brevet à Louga au Sénégal, mes parents je me suis retrouvé orphelin. Mon grand père s'est adressé à l'église pour me placer car il n'avait pas les moyens de me nourrir.
De santé fragile, Mme France (ce n'est pas son vrai prénom) est venue à l'église pour choisir un homme à tout faire et pour lui donner les premier soins en cas de crise
Au premier regard, je suis tombé profondément amoureux de cette femme menue très blanche (presque translucide), très belle... Mais manifestement malade
J'ai été choisi car un des rares instruits présents ce jour la. J'ai été envoyé à l'hopital pendant 1 mois pour apprendre les premiers soins, faire des piqures des pansements etc...
Je devais donc assurer le ménage de la maison et dormir dans une pièce à l'interieur de la maison pour pouvoir aider la patronne en cas de crise. Dans ma petite chambre, il y avait une sonnette en cas de besoin
Je me suis donc occupé du ménage de bon cœur et assuré la protection de ma patronne 5 jours sur 7 quand son mari allait sur un chantier (travaux publics) en brousse. Je voyais Mme France très rarement car elle sortait peu de sa chambre. Chaque fois que je la voyais elle était habillées de longues robes sombres à manches ce qui mettait en relief son visage et ses mains si blancs. Dieu qu'elle était belle
Le première fois que j'ai vu france de près
Deux mois, peut-être 3 après mon arrivée chez Mme France, un matin, la cloche de ma chambre a sonné. J'ai été tellement surpris que j'ai mis longtemps à réagir. J'ai couru vers sa chambre et ai frappé plusieurs fois sans réponse. Je suis entré personne... Bruit de douche dans la salle de bains. Je me précipite inquiet et trouve Mme France en peignoir, assise parterre, et qui tente de reprendre son souffle. Je m'approche et lui demande que faire. Elle me signifie de la ramener dans a chambre. Je la porte donc (elle est si légère) et la dépose dans son grand lit. Elle me m'indique le médicament que je dois lui administrer : Piqure
Gêné, je sais son bras et commence à lui faire une intraveineuse. Comment décrire cette peau translucide avec des veines à peine visibles.
Après la piqure, au moment de me lever elle me demande de rester assis près d'elle jusqu'à ce que le crise passe
Je n'osais pas la regarder mais j'étais incroyablement émus... Si proche de l'objet de mon amour.
Pour éviter de lever les yeux sur elle, je les gardais baissés, et je ne voyais que ses pieds : incroyablement blancs, fragiles, beaux, manucurés émouvants, sexy.
J'étais dans un état d'agitation intérieure que je n'avais jamais ressenti.
Dès qu'elle s'est sentie mieux je l'ai laissée en lui promettant de rester dans ma chambre pour entendre la sonnette en cas de besoin
Mon deuxième contact avec france
Quelques jours plus tard, en plein milieu de la nuit la cloche sonne et je me précipite chez Mme France : elle est dans son lit avec les mêmes difficultés respiratoires. Je luis refait la même piqure et j'attends avec elle le temps que ça se calme.
Cette fois-ci elle est en chemise de nuit et je peux voir une partie de sa jambe droite et ses épaules. Incroyable cette peau si blanche. Je suis terriblement excité mais je ne bronche pas, j'ai trop peur d'être renvoyé et ne plus voir Mme France. J'essaye de m'éloigner pour cacher mon érection qui commence à être trop visible dans mon Short. Elle me prend la main et me demande d'attendre encore un peu. C'est une véritable décharge électrique qu'elle m'envoie.
Je reste donc auprès d'elle. Sa respiration se calme au fur et à mesure que mon émoi augmente.
Elle me sourit et me demande de rester encore un peu.
"Permettez moi de me rhabiller Mme et je reviens de suite" (je suis torse nu en short). Elle pose sa main sur ma cuisse et me dis reste il n'y a aucun problème.
Je reste donc hyper gêné devant mon érection.
Pendant qu'elle finit par s'endormir, je peux la regarder, me régaler de son incroyable couleur et du contraste de sa main si blanche posée sur ma cuisse... Je l'ai regardée aussi longtemps que j'ai pu puis je suis parti | | |
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