| Petite recette entre gouvernements, à la mode universitaireUne petite recette qui donnera à reflechir à plus d'un... A l'heure actuelle, le monde universitaire est de plus en plus dur. Passer la première année est de l'ordre d'un miracle. Voici un exemple de mode opératoire que peut pratiquer les universités pour enclancher la misssion : "Vidons les amphis !!!!".Petite recette entre gouvernements, à la mode universitaire, pour que vos amphithéatres se vident ou restent pleins.
Ingrédients : Un gouvernement avec des députés plus ou moins douteux, des idées de réforme, une réforme, des Universités qui acceptent de la réaliser.
1) Faites une réforme avec un sigle et un idéal plutôt claquant, qu'on n'en vera pas la vraie raison, c'est à dire purger la " mauvaise graine ".
2) Mettez un maximun de matiére pour les premiére et seconde année, cachez-vous derriére la réforme (Aprés tout, vous êtes bêtes et disciplinés, bien évidemment quand vous en avez besoin). Mélangez bien le tout qu'on ne s'y retrouve plus.
3) Faites circuler aussi souvent que possible les maitres de conférence dans les différents niveaux. N'oublions pas qu'un professeur à sa definition d'un devoir, un changement de professeur veut dire changement de consignes, les notes vont donc baisser.
4) Dites réguliérement à vos étudiants qu'ils ne sont pas faits pour les études, insistez, soyez insultants. Remuez à nouveau.
5) Enfin dernier point, ajouter une pincée, non pas de sel bien que l'on pourrait assimiler ce dernier point à la cerise sur le gateau, mais de prés-requis. Il s'agit du point culminant de notre recette, c'est à dire celui qui finit de broullier votre plat. Celui où le consommateur ne pourra rien comprendre même avec la meilleure volonté du monde. Officiellement, les prés-requis sont des matiéres que l'on doit obligatoirement avoir validée (c'est à dire avoir la moyenne à examen) d'un semestre à l'autre pour pouvoir suivre tout le cursus. En y refléchissant bien, le mieux pour votre recette est d'en mettre une bonne poignée voire une grosse pelle.
Dites vous bien que si vos consommateurs ne sont pas contents, qu'ils allent soit travailler (Un conseil à l'Etranger en France...) soit aller à l'Université de Marseille environ cinq matiéres par semestre.
Bonne chance à tous et bonne cuisine.
Comme se plaisent à dire les Universitées ne soyez pas consommateur mais acteur de vos études, pour ma part je vous retrouve en tant que acteur à l'Université de Marseille.
Vous allez sûrement vous demandez le pourquoi de cette démarche. Je n'ai pas de réponse à cette question, juste une ou deux suggestions :
tant qu'une personne reste étudiant, il n'est pas inscrit sur les listes des chomeurs,
un étudiant qui ne réussit pas ces études va alors se rabattre sur une formation professionelle et la France manque cruellement de service tel que dans le domaine du batiment... | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (3) | | Re: quelle coïncidence Posté par chandlermbiing le 20/08/2006 23:34:37 | euh comment dire... c'est pas très rigolo
et puis j'ai RIEN compris | | quelle coïncidence Posté par smog le 06/08/2006 21:28:20 | Hé oui quelle coïncidence, au moment où j'achevais la lecture de ton article bien écrit, au contenu intéressant et assez drôle, je remarquais une publicité pour le blog de l'UMP et de Nicolas S. (non c'est trop parlant) et de N. Sarkozy...
Après les tongs et les préservatifs, il n'est presque pas choquant de voir son nom sur des forums consacrés à la jeunesse... A quand la pilule contraceptive à l'effigie de Nico?
A part ça, à Caen aussi il existe un UFR qui se trouve encore du côté des étudiants, l'UFR d'histoire, avec un peu de taf chez soi, la licence est accessible. Biz | | Re: Petite recette entre gouvernements, à la mode universitaire Posté par isienforce le 05/08/2006 20:46:12 | hmm... pouquoi dc l'université de marseille? | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (3) |
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