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Qui suis-je ?

Hé oui une dissertation de philosophie... Où j'ai vraiment trippé ! Je conseille à tout le monde de faire cette introspection, on peut se rendre loin...


Introduction

Lorsque j'ai su que nous allions faire une dissertation de philosophie sur notre perception de soi, j'ai senti que j'allais me perdre dès la première page. J'aime bien y penser lors de mes temps libres, mais je n'ai jamais fait une analyse complète de ce que je suis, et maintenant j'en ai l'occasion et la motivation. Je suis désolée d'avance si ce que j'avance n'est pas très clair, je fais de mon mieux, mais il y a une grande différence entre ce qui se pense dans notre tête et ce qui se transmet par la parole ou l'écrit. Et voilà, déjà une problématique...


L'Humanité

Pourquoi l'Humanité ?
L'Humanité m'apparait comme un mystère de la nature. Je pense que nous existons en ayant un but commun, pas nécéssairement un but conscient, mais une évolution qui nous mènera à des sphères de compréhension et d'adaptation de plus en plus élevées. Le fait que nous ayons conscience de notre existence dénote pour moi que cette conscience a un but, car je ne pense pas que l'évolution des choses mène au chaos, du moins pas avant l'ultime évolution de ces choses. C'est identique à l'évolution de l'univers : avant, le chaos. Puis plus le temps passe, plus il y a des entités complexes. D'abord quelques atomes, et des molécules, et elles se regroupent, etc... En gros, je pense que l'Humain va évoluer encore pour continuer le phénomène de complexification de l'univers à son échelle. Ou alors l'Humain mourra, pour toute sortes de raisons, et une être encore plus complexe apparaîtra, sur cette terre ou ailleurs, s'il n'y en a pas déjà ailleurs... Peut-être que toute cette évolution n'a que pour but le retour au chaos pour cause de complification exagérée. Mais ça c'est une autre histoire !
Donc la thèse d'Hubert Reeves, qui avance que nous ne sommes qu'une microscopique portion de l'univers en constante évolution m'apparait plausible. Toutes les découvertes scientifiques tendent à confirmer cette thèse.
En sachant que nous sommes que peu de chose au bout du compte, rien ne nous empêche de travailler sur notre avenir. On pourrait penser que l'Homme n'a pas à faire d'efforts pour évoluer puisque de toute manière il n'est rien. Quelle idée ! C'est nous qui décidons si nous sommes quelquechose. Que l'Univers soit immense n'a pas changé le fait que nous soyons tous des humains sur la planète terre. Que l'Univers soit immense n'a pas changé le fait que nous soyons sûrement destinés à vivre une grande partie de notre vie sur cette planète, et que celle-ci restera "terre à terre" ! Ce que je tente de dire, c'est que nous ne devons pas être effrayés de notre place. Nous devrions au contraire être fiers du fait que nous pouvons avoir conscience de notre existence et de l'existence de ce qui nous entoure. Dans l'émission radiophonique Par Quatre Chemins, j'avais entendu une hypothèse intéressante : L'Humanité existe dans le but d'être la conscience de l'Univers. Nous existons pour avoir conscience de nous-même et du reste de l'Univers, conscience de la complexité et de la beauté du monde, comme un aboutissement, un achèvement... Cette hypothèse m'est très sympathique. Avant, on pensait que l'homme était le centre physique de l'Univers, puis le centre philosophique, en fait on peut être le résultat d'une longue gestation, on peut être l'oeil de la création, les chanceux pouvant jouir au possible de sa splendeur.

L'Inconscient collectif
Je suis d'avis avec Jung sur le fait que nous avons un inconscient collectif, et il est certain que cet inconscient collectif évolue, sinon nous n'aurions pas passé d'homme de cro magnon à homme moderne d'aujourd'hui. Alors il est évident qu'il continuera à évoluer tant que nous vivrons.
Je pense que les comportements qui commencent à être plus répandus ou du moins véhiculés à travers le monde, comme la non-violence et le respect des femmes, vont finir par s'inscrire dans l'inconscient collectif. Ils deviennent de plus en plus présents, et font partie de notre évolution collective. Dans quelques centaines d'années, la non-violence deviendra peut-être un archétype...

La famille Humaine
Pour moi, l'Humain est un mammifère qui va encore évoluer si les conditions restent favorable, si l'on ne s'extermine pas de si tôt. Nous avons encore des pulsions inconscientes, et nous sommes bien influencées par elles, comme l'ont soutenu Freud et Jung, et nous en aurons toujours, mais je pense que celles-ci pourront être atténuées au fil du temps par la compréhension toujours grandissante de notre inconscient. En effet, à chaque jour des découvertes et des études nous dévoilent ce qui se passe au plus profond de nos caboches respectives... Si l'on réussit à mieux cerner ces pulsions, à les comprendre, nous avons plus de chance de mieux vivre avec elles. Si nous comprenons d'ou elles viennent et ce qu'elles font, nous pouvons mieux maîtriser nos émotions et nos réactions. En nous connaisant et en nous maîtrisant mieux, on peut plus facilement éviter de répéter des erreurs maintes fois commises par les autres et par soi. On peut être moins fataliste et penser que nous décidons de ce que nous faisons, malgré nos pulsions. Notre volonté est un puissant moteur, selon Nietzsche, on choisi son destin, selon Sartre, et selon moi, ces deux philosophies peuvent se chevaucher. Avec de la volonté et en faisant ses propres choix, nous nous accomplissons.

Ce que je viens d'écrire m'amène à une problématique sur ce qui se produit dans nos vies et sur qui on est. J'ai tendance à penser que chaque personne décide pour elle-même ce qu'est le moteur de sa vie, si elle est mue par des forces extérieures ou si c'est elle qui "se vit", qui se fait vivre. D'après moi, il n'y a pas vraiment de mécanisme absolu de la vie humaine (destin, hasard ou choix) c'est plutôt un mélange de ces trois éléments, et qui est adapté à chaque personne. Cependant, même le hasard ne se produit jamais "comme ça", il y a toujours une cause à tout, mais ces causes, la plupart nous sont inconnues et le resterons probablement. Alors dans ce cas, le hasard est pour moi ce qui arrive à un moment et à un lieu donné, qui n'a pas été calculé, prémédité. Par exemple, dans ma vie en général, j'attribue les évènements totalement extérieurs au hasard (exemple, lors d'une partie de soccer, je recois le ballon dans la figure, et à moins que ce ne soit prémédité, je ne pense pas que c'était mon destin, mais plutôt une combinaison de facteurs aléatoires.) Les évènements où je peux avoir une influence consciente (exemple, un conflit avec une amie) se développent selon mes actions, et j'ai toujours un pouvoir face à ces évènements. Je choisis de ne pas dire ou faire telle chose, et cela amènera des résultats différents. Nous sommes tous en relation avec notre environnement, nous sommes tous un peu reliés, et ce que nous faisons a toujours un impact plus ou moins direct sur le reste des gens. Comme l'exemple galvaudé de la goutte d'eau dans une mare dont l'onde se répercute sans fin.

Une vision
Voici une vision qui rejoint qui nous sommes et qui nous pouvons devenir, que j'ai à propos de l'amour. Sur la première définition de l'amour, tel que dans le Robert : Disposition à vouloir le bien d'une entité humanisée (Dieu, le prochain, l'humanité, la patrie) et à se dévouer à elle. Mais en fait ma théorie finit par rejoindre toutes les formes que l'on donne à ce mot.
Depuis le début de notre évolution, cet amour a évolué. Il y a 100 000 ans, je pense que l'amour n'était pas très présent, c'était sûrement plus du chacun pour soi. C'était la survie ! Même si nous avons une tendance naturelle à protéger l'espèce, (la procréation) ce sentiment a pu se transformer au cours du temps et devenir de plus en plus possible grâce à l'amélioration de notre qualité de vie. En effet, je pense qu'il y a plus de chance de vouloir aider les autres lorsqu'on est soi-même dans de bonnes conditions. Je sais que cela dépend beaucoup de la personnalité, il y a des gens dans le trouble qui sont tellement généreux... Cependant on voit de plus en plus de grand mouvements qui rassemblent des gens voulant le bien (comment ne pas nommer Amnistie Internationale) et la cessation des injustices. Je pense que cela dénote une évolution globale de l'humain.
En effet, chez les animaux, il est déjà bien difficile de se tailler une place, alors la procréation est bien l'unique façon de protéger l'espèce, mais dans notre cas, nous n'avons plus à prouver que le territoire nous appartient, alors la procréation n'est plus primordiale. Pour améliorer l'espèce, je pense que nous sommes mieux de veiller à ce que ceux qui sont déjà là soient dans les conditions acceptables et optimales. Nous avons assez de tout pour tout le monde si on s'organise un tant soit peu. Il suffit de cesser d'agir comme des bêtes et réaliser à quel point tout est possible, à quel point notre conscience de nos actes nous donne un immense pouvoir. Donc, l'amour peut nous faire évoluer et vice-versa. En même temps, cette évolution nous enracine encore plus à notre statut si spécial d'être humain, contrairement à la haine.


Moi

Je me demande à quel point je suis l'union de mes parents. Est-ce que mon code génétique n'est que le mélange de ceux de mes géniteurs ? Ce n'est qu'une question technique, mais elle me semble importante. Qu'est ce qui fait que je ne suis pas la moitié de mon père et la moitié de ma mère ? JE pense que le hasard des combinaisons possibles m'a produit, quoique je ne veux pas m'avancer sur ce terrain, je n'y connais rien en A. D. N et autres lois de la procréation. D'un point de vue philosophique, je pense que certes il y a un peu de mes parents en moi, mais que je suis un être unique doué d'une vie qui lui appartient totalement. Dans le sens que c'est pas parce que je suis la fille de mes parents que je me dois de faire comme eux, d'être comme eux. Sinon on serait tous pareils... Évidemment la culture dans laquelle je baigne favorise mon émancipation individuelle, mais je pense que tout être humain se doit de se faire une vie selon ses aspirations et ses désirs, sinon, elle n'a pas lieu d'être !
J'ai déjà tenté de cerner ce que j'étais en tant qu'individu. Je me suis figurée comme une espèce de cellule, avec un noyau dense au millieu et tout alentour des éléments "flottants" protégés par une mince couche. Ce qui est dans le noyau, c'est ce que je suis et qui est immuable. J'ai tenté de définir ces choses immuables, et j'ai eu bien de la difficulté. Mon apparence générale est quelquechose qui est à peu près fixe, c'est sûr que je change, mais je ne vais jamais me réveiller un matin comme les autres avec des yeux noisettes ou des cheveux blond paille. Et on peut se figurer ce qui se passe dans ma tête un peu comme ce qu'on voit : il y a ma personnalité fondamentale qui sera toujours de la même forme générale, comme mon apparence, mais évidemment les deux peuvent s'altérer. Je me demande : comme quelqu'un peut devenir méconnaisable physiquement à cause d'un accident, elle peut devenir méconnaisable mentalement aussi à cause d'un accident. Mais peut-on devenir méconnaisable physiquement par notre seule volonté, et pouvons nou devenir méconnaisable mentalement par notre seule volonté ? Je ne pense pas. Je ne crois pas que quelqu'un peut changer sa personnalité de par sa volonté. Donc la personnalité et l'apparence physique générale font partie du noyau. Ce qui irait alentour du noyau serait tout ce qui interagit avec le noyau et l'extérieur. Comment dire... Tout ce que je fais, dis ou pense qui est influencé par l'extérieur (amis, famille, radio, télévision, etc) se rapproche ou s'éloigne du noyau selon sa compatibilité avec celui-ci. Je sais, c'est difficile à comprendre, moi même j'ai de la misère à m'expliquer.
Alors voici des dessins qui se rapprochent de ma représentation initiale.


Donc, selon le dessin, les petits "rubans" noirs sont des choses qui se rapprochent de mon noyau. Exemple, dans ma personnalité, je suis rêveuse, donc ce qui va se rapporter au vagabondage de fantaisies va m'intéresser et produire une force d'attraction. Mais les "ponpons" eux, sont des choses qui sont loin de mon noyau, on pourrait prendre comme exemple le désir d'écouter de la télévision à la journée longue comme un de ces éléments qui ne correspondent pas à mon noyau. Le fait d'avoir des centres d'intérets dénotent que j'ai une personnalité, et unique de surcroît, parce que personne n'aura exactement les même goûts que moi. Comment je peux le prouver ? Je ne peux pas. Je crois simplement que les gens sont un peu comme des combinaisons de loterie, mais à 100 000 000 000 chiffres, et que les possibilitées de tomber sur la même combinaison m'apparaissent impossible.
Et le clonage dans tout ça ? Si on me clone un jour, ce que je ne souhaite absolument pas, ça me fait vraiment peur, Valérie la clone aura certes les même gènes que moi, mais elle n'aura pas la même expérience de vie, pas mes souvenirs, pas le même environnement. Alors cela amène une problématique : Si ce qui est dans le noyau est ma personalité et mon apparence, chose que je prétends inchangeables par ma volonté, et que mes souvenirs et mes expériences ne le sont pas, alors un clone aura le même noyau que moi. Donc je ne serai pas unique. Alors les souvenirs et les expériences devraient se greffer au noyau, et ainsi faire partie de moi. Mais alors la notion même de noyau sera altérée, car mes expériences pourront s'y greffer ! Alors ma représentation ne serait pas bonne. C'est pourquoi ma représentation a évoluée pour donner quelquechose de plus uni.
Je suis plutôt un noyau primitif auquel se greffe sans cesse de nouveau éléments. En effet, pourquoi pas ? Cela me semble plus logique. Alors mon être ressemblerai plus à une structure solide qui est en continuelle expansion. Donc selon mon nouveau raisonnement, mes expériences se greffent à mon moi inital et même peuvent le faire évoluer de telle ou telle manière. C'est pour moi un mélange d'empirisme et d'existentialisme. Ainsi, je suis un tout cohérent. Évidemment, des fragments nouveau peuvent mourir, comme certains trips passagers, mais ils ont fait partie de moi à un moment ou à un autre, et ils laisseront toujours des traces. Mon moi est toujours à l'instant alors, je n'ai pas d'existence fixe puisque tout ce qui passe, tout ce que je vis, moments par moments se greffent à moi, je ne suis pas ce que j'étais au début de la phrase. En fait, dès la première milliseconde de mon existence, dès que la vie m'a traversée, j'étais transformée. Alors il n'y aura jamais quelqu'un d'identique à moi...

Puis-je me cerner de façon objective ?
C'est assez difficile de visiter sa tête et d'y répertorier ce qui s'y trouve, parce qu'on est sa tête ! Il y a des technique spirituelle d'observation de soi qui invite les gens à tenter de s'observer agir et être sans jamais porter de jugement, juste pour se voir. C'est une technique intéressante, mais qui demande beaucoup de travail. J'imagine qu'au bout d'un certain temps, on arrive à voir avec assez de clarté comment nous agissons et comment nous pensons, donc un peu qui nous sommes. Je pense qu'il est effectivement possible de cerner qui je suis par l'observation pure et simple de mes agissements et de mes pensées, mais c'est un examen très ardu. Si on ne veux pas se juger, si on ne veux pas apporter des modifications à notre comportement, c'est possible. J'aimerais bien rencontrer quelqu'un qui réussit à s'observer de cette manière...
Encore une petite réflexion sur ce fameux noyau épanoui. J'ai encore de la difficulté à me dire ce qui fait partie de mon fond, peut-être je trouve la tâche si laborieuse parce que je n'arrive pas à voir à travers les couches de "rubans" qui enrobent mon être. Peut-être que justement l'observation de soi pourra me mener à discerner les "rubans" du noyau, si il y en a un, au bout du compte !

Qui suis-je comparée aux autres humains ?
Je suis un des maillons de l'Humanité qui va s'accomplir individuellement et collectivement. Je suis une partie et un tout. Seule, je ne peux rien faire. Sans individualité, je ne peux aller nulle part. Donc c'est l'union de ma solitude (lat. Solitudo " état d'un lieu désert ") et de ma plénitude (lat. Plenitudo, de plenus " plein ") qui m'inscrit en tant que moi et en tant qu'humaine. Je ne peux pas vivre d'égoïsme, ce serait la négation de ma nature humaine et vivante, qui est irrémédiablement liée au reste de l'Univers. Je ne peux pas vivre de désintéressement total non plus, ce serait la négation de ma vie personnelle, de tout ce qui peut m'enrichir, de tout ce qui va me constituer. Je dois trouver un équilibre entre cette dualité, et c'est ce qui fera de moi un humain à part entière. Je ne veux pas mourir en ayant joué aucun rôle autre que celui de me faire vivre, car je m'effacerais et que restera-il de mon existence lorsque mon souvenir mourra avec mes proches ? Et surtout, qu'est ce qui aura changé, qu'est ce que ma vie aura apporté au reste de la création ? Qu'aura été le maillon nommé Valérie Desjardins ? Toute cette chaine doit rester solide, même si l'on meurt, même si les maillons rouillent ou pourissent. Nous devons tous réaliser la chance inouie que nous avons d'être là et de pouvoir regarder autour de soi, de pouvoir comprendre et agir.


Conclusion

Il y aurait encore beaucoup de choses sur lequelles je voudrais me pencher. Mais cela sortirai pas mal du cadre de cette dissertation. Je pense avoir résumé ce que je pouvais sur ma conception de l'humain et de l'individu. J'ai remarqué que dès que je me met à écrire, même si j'ai déjà pensé à l'avance ce que j'allais écrire, je finis toujours par m'enfoncer et aller un peu loin, où ce n'est pas toujours net et clair ! Au moins ça me donne une idée des pièges qui m'attendent dans mes prochaines dissertations. Donc en résumé, je dirais que l'humain est pour moi une créature qui a eu la chance d'évoluer et de prendre conscience de ce qu'elle est et du monde. Et qui va encore évoluer pour devenir plus complexe, plus adapté et plus complet. L'humain est une chance.
L'individu est une mélange compliqué d'une fondation génétique et d'une construction d'expériences, de souvenirs, d'influences, de traductions, de transformations, tout un univers en modèle réduit. L'individu est la conscience de la chance...
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Re: Qui suis-je ?
Posté par saperlipopette le 24/01/2006 02:10:36
Tu es Lachès! Voilà ce que tu es!


Socrate
Re: Qui suis-je ?
Posté par mtaveau le 28/06/2005 15:30:03
J'ai bien aimé ton essai, ta reflexion sur toi-même.

Cependant cette idée d' "Inconscient collectif" me gène un peu. j'ai du mal à y croire ou à comprendre ce que ça veut dire. Je trouve cette phrase un peu bizarre : "Nous avons encore des pulsions inconscientes, et nous sommes bien influencées par elles, comme l'ont soutenu Freud et Jung, et nous en aurons toujours, "

J'ai bien aimé parcontre ta vision de toi-même comme une cellule avec un noyau, le soi profond, mais c'est compliqué. Il faut se concentrer pour te suivre !

Je le relirai pour mieux te suivre.

Marc
Re: Qui suis-je ?
Posté par nek le 26/06/2005 15:01:11
il me semble qu'a tout niveau l'homme dépasse la bactérie ou le virus ..compare a un ordinateur ,plus ses circuits sont compliqués plus il est efficace et puissant : aucun rapport entre une game boy et une playstation ;)
Re: Qui suis-je ?
Posté par chefchaouen le 25/06/2005 13:38:55
J'ai bien aimé ton article mais je voulais juste m'arréter sur ton idée de l'évolution
. Penses tu que l'adaptation d'une espèce va en augmentant avec sa complexité .
Et surtout, es-tu certaine que l'évolution mène de façon unidirectionnelle à la complexité. Bref l'homme est-il plus évolué qu'un virus ou une bactérie
Re: Qui suis-je ?
Posté par nek le 25/06/2005 09:46:56
une conception bien optimiste de la vie..! et je m'en réjouis je partage beaucoup de tes idées , je pense qu'on peut avoir confiance en l'avenir et en l'homme..
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Publié le 25 juin 2005
Modifié le 29 mai 2005
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