Non connecté. Connectez-vous ou devenez membre (gratuit).Recherche rapide :     

The Matrix Revolutions... Une révolution dans la création de navets

Que dire sur ce dernier opus de la Trilogie Matrix ? J'ai vu ça avant-hier et il fallait absolument que je donne brièvement mon avis. Un film à éviter !!!


Alors si aujourd'hui j'écris cet article, c'est que j'ai vraiment envie de dire qu'on se moque de nous (et qu'on en a bien raison, vu l'argent que ça rapporte).
C'est simplement indéniable : Matrix Revolutions, le 3ème opus de la saga, est un véritable NAVET.
On avait eu droit, avec le tout premier des Matrix, à un film nouveau dans le genre, un film qui pêchait par quelques défauts et qui pouvait déplaire à certains, mais avec un scénario en béton. Un film culte. Qu'y avait-il dans le second volet, Matrix Reloaded ? Déjà beaucoup moins de choses, peu d'action (dans le sens où il ne se passait vraiment pas grand-chose), mais beaucoup beaucoup de combats bien fichus. On avait perdu le scénario qui faisait la valeur du 1er, mais au moins on gardait un film d'une assez bonne valeur esthétique (c'est sûr qu'avec quelques millions et de bonnes machines, on a intérêt à faire de beaux trucs). La critique était très partagée, avec d'un côté des gens qui adoraient et de l'autre des gens qui détestaient. Et il y avait de quoi s'énerver lorsqu'on entendait les réalisateurs et scénaristes dire qu'il fallait avoir lu Platon pour comprendre ce film. Ce n'est pas une référence à un philosophe qui fera l'intelligence d'un film.
Mais qu'est-ce qui ne va pas dans le dernier des Matrix ?


Un nid de clichés

En effet, chaque film commercial Américain a son lot de clichés romantiques, éthiques et autres. Matrix 1 et 2 avaient déjà quelque chose d'exaspérant. Mais le 3 dépasse toutes les bornes ! Ce film rassemble simplement TOUS les clichés. Chaque phrase semble prononcée par les acteurs comme LA phrase ultime, une phrase longtemps pesée et hautement philosophique. Toujours avec énormément d'emphase. Cela va du "Tu peux le faire", "J'ai confiance en toi.", "Tu vas réussir.", "Je crois en lui." au dialogue sentimental agrémenté de musique "romantique" à 30cts d'euros, accompagné des "Tu te rappelle la fois où je t'ai dis" de Trinity transpercée de partout et des "Non !! Non !! Je t'en supplie, ne meurt pas." du gentil Neo. Si bien qu'une simple phrase comme "J'ai mis 10 bonnes minutes à mettre une botte." ou encore un "Bordel de merde." contraste tellement avec tous les autres dialogues que la salle se tord de rire.


Esthétiquement raté

C'est simple, on se croirait simplement dans un bon vieux Star Trek ! Rien d'impressionant. Les lieux où se situe l'action n'ont plus aucun intérêt et la bonne vieille atmosphère glauque de Matrix a tout bonnement disparu. On passe beaucoup de temps dans le vaisseau du commandant et on voit plein de gens manipuler des commandes en gesticulant. Moi ça me faisait rire... Puis les images de synthèse sont catastrophiques, ils auraient au moins pu faire un effort sur ce plan. Les scènes de combat n'ont pas le moindre intérêt, si ce n'est la scène finale (qui a pris 2 mois à être tournée) qui aurait pu être bien si le réalisateur n'avait pas tant "scénarisé" le combat (trop de ralentis, des effets plutôt lamentables, etc.). Voilà qui fait un peu imitation Dragon Ball Z...


Un scénario pourri

Alors là c'est une simple catastrophe ! C'est un scénario qu'on peut mettre à la hauteur de celui de Tomb Raider 1 (et ce n'est pas très gentil). C'est assez simple : il ne se passe rien, il n'y a pas de suspens, pas d'histoire à proprement parler. Je n'ai pas vraiment compris la fin et je crois qu'il n'y a pas grand-chose à comprendre. Il faut voir le "chef" des robots, une espèce de virus du sida hyper-kitsch avec une grosse voix : c'est catastrophique ! On a vraiment l'impression que les scénaristes en avaient ras-le-bol de la série des Matrix et qu'ils voulaient tout expédier au plus vite sans trop se casser la tête. On reste totalement sur sa faim, ou plutôt on s'étonne que ça soit fini.


Conclusion

Quand la lumière se rallume, on se regarde et nos yeux demandent "Ben alors ?" et les autres yeux nous répondent "Ben rien...". C'est clair : ce film est un NEANT.
Moi j'avais de la chance, j'y suis allé avec ma copine et on n'a pas payé. Mais elle s'est endormi sur mon épaule...
. Voir tous les commentaires et/ou en poster un (43)
The Matrix Revolutions...
Posté par po[g]o le 08/08/2007 17:04:13
Je vous présente le texte d’un Internaute qui a préféré rester anonyme. (On le comprendra vu le lynchage des « défenseurs » du film.

[Le thème principal est bien sûr (encore que pour certains ce n'est pas si évident) l'Allégorie de la Caverne de Platon, philosophie que le film remet au goût du jour, et s'en tire plutôt bien. A ce stade, un bref résumé de l'Allégorie de la caverne s'impose. Il s'agit du B.A.-BA de la philo: dans l'obscurité d'une caverne, des hommes sont enchaînés depuis l'enfance, les yeux tournés vers la paroi du fond. Dans leur dos, l'ouverture de la caverne avec un muret, derrière lequel passent des hommes portant sur leurs épaules toutes sortes d'objets. Les hommes enchaînés ne voient des passants, que leurs ombres projetées au fond de la caverne, et n'entendent de leur voix que le son déformé de l'écho de la caverne. L'un des captifs va être libéré, va sortir de la caverne et va d'abord être ébloui par la lumière... il se rendra compte finalement que ce qu'il percevait auparavant n'était pas la réalité. Il voudra retourner dans la caverne pour convaincre, ouvrir les yeux à ses congénères et les libérer. Ces derniers ne se montreront guère réceptifs à ses théories. Ayant grandi dans ce système, ils le défendront jusqu'au bout et mettront à mort l'évadé de la caverne.

On peut faire un rapprochement de cet évadé, avec la figure du philosophe (tenter d'éclairer ses congénères), particulièrement de Socrate. En effet Platon tente là, de raconter la vie de son maître (Socrate) qui tenta en son temps, de raisonner ses concitoyens athéniens (c'est la Pythie de l'Oracle de Delphes qui lui prophétisa sa mission), il fut finalement mis à mort par ses congénères, condamné à boire la ciguë. Dans Matrix, le rapprochement de Socrate avec Neo semble judicieux. Neo va également voir un Oracle (notez la citation Platonicienne chez la vielle dame, "connais-toi toi-même"), tout comme Socrate, il est l'Élu et doit sauver son peuple, et tout comme lui: il est ébloui par la lumière après sa libération. A ce stade, on peut introduire une 3e comparaison: celle de la figure christique (Socrate=Jésus=Neo), j'y reviendrai. La matrice est donc telle une caverne Platonicienne, celle des illusions et des apparences, mise en place pour cacher aux prisonniers les chaînes qui les maintiennent en esclavage.

- Morpheus: "Elle (la matrice) est le monde qu'on superpose à ton regard pour t'empêcher de voir la Vérité."
- Neo: "Quelle vérité ?"
- Morpheus: "Le fait que tu es un esclave. Comme tous les autres tu es né enchaîné. Le monde (la matrice) est une prison où il n'y a ni espoir ni saveur ni odeur, une prison pour ton esprit."

Par ailleurs, notons la relation maître-élève chez Socrate/Platon, semblable chez Morpheus/Neo (et chez Jésus/Simon=Pierre). Notons également la figure du traître, le disciple dissident, rallié à la cause ennemie: c'est Aristote qui prend ce rôle face à Socrate/Platon. En effet, Aristote s'écarte de sa pensée initiale socratique, il pense en effet que le monde ne s'appréhende que par les sens, l'expérience "sensible" (Il est le précurseur de ce qui s'appellera plus tard, l'empirisme). En termes d'autres termes, Aristote milite pour une forme de "retour à la caverne". Dans Matrix, Cypher suit le même mouvement: il avouera penser que "la matrice est bien plus réelle que cette réalité-là", et dans l'espoir de retourner dans la matrice/caverne, il livre les siens aux machines tout comme Judas a livré Jésus aux romains (Aristote=Cypher=Judas). Si la comparaison christique est tellement évidente, c'est aussi parce que le personnage de Jésus doit beaucoup à celui de Socrate (qu'il a en partie plagié), les 2 sont morts en étant condamnés par leur propre peuple alors qu'ils étaient des Sauveurs, des élus, des libérateurs. Et d'ailleurs, la religion chrétienne dans sa construction et sa pensée, est très proche des idées de Platon (tout comme les autres religions), elle contribua d'ailleurs à propager sa pensée de manière hégémonique, n'hésitant pas à passer sous silence celle d'Aristote (le "traître") pendant une bonne partie du Moyen-age (cf. "Le Nom de la Rose"). Socrate, Jésus et Neo sont donc bien une seule et même personne, pas historiquement mais idéologiquement. Enfin notons le dernier personnage important, celui de Trinity qui vient clore la triangulation Morpheus-Neo-Trinity en soulignant le caractère christique du fait de son nom ("la Trinité")...

Passons maintenant au côté "dangereux" (si l'on peut dire) de la philosophie abordée dans Matrix. Neo (alias Socrate/Jésus) peut également s'identifier à une figure marxiste (le Che...). On note la couleur Rouge de la pilule, la musique de Rage Against the Machines (littéralement "la rage contre les machines", les machines justement! notez le clin d'œil) un groupe qui est très connu pour avoir des sympathies communistes. Enfin, on note également dans ce sens, le massacre de flics dans le hall de police de Matrix, qui n'est pas sans rappeler une certaine forme de lutte armée violente contre le système (révolution) prônée par certains groupes d'extrême gauche. En effet dans cet état d'esprit tous les gens sont des ennemis potentiels à la cause, car tous sont "tellement dépendants du système, qu'ils vont jusqu'à se battre pour le protéger" (dixit Morpheus), tous les gens sont donc potentiellement des "agents", amenés donc à être éliminés. C'est ainsi que les gens comme vous et moi sont perçus par certains militants d'extrême gauche: nous sommes des esclaves passifs, enchaînés et exploités par la société de consommation, des gens dont la perte est relative par rapport à l'importance de la Cause...


Les Agents d'ailleurs, ont une apparence de conformisme extrême et faschisant (cf le nom de "John Smith" dans le film), froids et cyniques comme des Machines (qu'ils sont)... Une apparence qui est d'ailleurs celle perçue par les gens de tendance marxiste à l'égard des forces de l'ordre ("ils sont les gardiens du Temple" dira Morpheus). Notez de ce fait la confrontation de l'interrogatoire face-à-face de Morpheus avec l'Agent Smith. Un face-à-face facho/coco, machine/humain, blanc(WASP)/noir, où Smith explique à Morpheus la supériorité de l'espèce machine par rapport aux humains, une sous-race. Il exprime également son dégoût pour les humains qui croissent au mépris des ressources (il compare humains et "virus"), qualifiés de "peste", de "cancer" et dont les "odeurs" et la "puanteur" le répugne. Smith atteint là un degré insoupçonné dans l'évolution de la machine, on découvre une machine qui a développé la xénophobie, le racisme anti-humain... des facettes de personnalité tout aussi effrayantes chez Smith que la rebellion de HAL9000 dans "2001, L'Odyssée de l'Espace". Des caractères monstrueux qui rendent paradoxalement et bizarrement Smith plus "humain" (tout comme HAL9000 était rendu "humain") car ils nous reflètent et nous renvoient la face la plus noire de la nature humaine. Dès lors la condition de l'être humain s'explique, du moins dans le film: cultivé, enchaîné et exploité par la société de consommation, réifié (chosifié) par les machines qui utilisent la race inférieure que sont les humains, comme piles leur fournissant de l'énergie par une méthode de "fusion froide" (NB: n'oubliez pas que c'est de la Science-fiction!). Ainsi la Matrice devient un gigantesque camp de concentration, un camp de travail nazi où les humains/juifs réduits en esclavage, travaillent pour fournir de l'énergie aux machines/nazis. Les morts y sont liquéfiés, pour servir de nourriture aux vivants, comme dans "le Meilleur des Mondes" d'Aldous Huxley.

S'il y a un aspect dangereux dans le film, c'est le danger d'une certaine apologie de la violence dans le but d'une cause (cf paragraphe ci-dessus, le massacre dans le hall). Mais on peut l'excuser en précisant que cet aspect est bien plus lié à la pensé Platonicienne elle-même, qu'au film. En effet j'ai déjà précisé plus haut que les grandes religions monothéistes sont basées idéologiquement et philosophiquement sur les idées de Platon. On voit aisément le risque de dérive extrémiste religieuse inhérente au Platonicisme, vouloir à tout prix nous faire voir la Lumière, la vérité, vouloir nous faire sortir de la caverne, quitte à tuer ceux qui se mettront en travers de la route. Les critiques négatives envers le film auraient dû mettre à jour cet aspect, au lieu de s'acharner sur une prétendue faiblesse de scénario de Matrix ! (haha ^^)



Au final, Matrix est un film bien plus dense et complexe qu'on pourrait le croire. Un film nous présentant une remise à jour de l'Allégorie de la Caverne de Platon, teinté de christianisme et de lutte des Classes ! (Et bien d'autres encore: des idées de Baudriard, Descartes, A.Huxley, Freud, de Bouddhisme...). Neo/Socrate/Jésus/Che Guevara devient un super-héros dans un univers illusoire (la Matrice) dont les caractéristiques justifient les acrobaties (et donc les effets spéciaux) dont se livrent les protagonistes. Notre super-héros parviendra à voir le code source (cf les écrans verts) de la Matrice à l'intérieur même de celle-ci (alors que ses collègues ne voient ce code qu'en dehors de la matrice). De ce fait, il parviendra à reprogrammer des éléments de la Matrice à l'intérieur de la Matrice, comme l'agent Smith, qu'il efface comme on efface une mémoire flash-EEPROM. Les combats à-la mode Hong Kong, les prises de vue façon John Woo et manga, avec l'invention du "bullet-time" (travelling tournoyant), tout cela se justifie parfaitement du fait des propriétés de la Matrice, faites de règles physiques, de normes que l'on peut enfreindre et violer (les Lois de la physique dans la Matrice ne sont que des algorithmes mathématiques dans le code source de celle-ci). Le fond et la forme ont réussi parfaitement à s'imbriquer dans ce film, l'un justifiant l'autre. Ce n'est pas tous les jours qu'un film réussit à faire cohabiter l'art et la manière, le fond et la forme, la philosophie et le kung-fu...]


Outre cela, il n’existe pas que la trilogie, voyez aussi les Animatrixs qui sont des courts métrages dessinés donnant un autre point de vue sur le film. On y apprend entre autre comment la matrice à vraiment été créée (par la faute de l’homme) et on y retrouve certains personnages réutilisés dans le 2 et le 3 (Le Kid). Bref, voila une belle plateforme pour créer des histoires à n’en plus finir, une porte vers l’imaginaire comme on en fait rarement. Bien sure y a les excessifs qui pensent qu’on est vraiment dans une Matrice nous aussi…

Dans les faits, certains professeurs de philosophie ont utilisé le film pour donner leur cours, il semble que c’est un très bon outil de pédagogie ! (http://www.ac-amiens.fr/pedagogie/philosophie/sujets/matrix.htm)

Graphiquement on se rapproche un peu plus de la perfection, là je parle d’effets spéciaux, le fait qu’il choisissent de tourner 90M des scènes dans le noir rendant le film parfois trop terne c’est encore autre chose. Les explosions sous la pluie, ça parait bête, mais c’est du grand art pour un infographiste.

Pour le scénario, bah on ne pouvait pas faire autrement ! Et l’histoire d’une matrice dans la matrice, ce ne sont que des rumeurs de fan avec trop d’imagination… Dans les faits, y a rien de tel, sauf des suppositions (ouah on va faire semblant d’être des robots qui contrôle des humains).

Donc voila, ce film est certainement pas une révolution… mais on peut pas dire « pouha sta chier kikoolol » comme on peut pas dire « trop dla ball lmao ». Maintenant, on peut prendre l’affiche cinéma du mois et critiquer 99% des films car ils sont insipides, sans fond, sans créativité, ect… ? Dans ce cas, ils ont foutu tellement d’effets spéciaux que personne ne gratte pour voir ce qui se cache derrière.

Textes philosophiques disponibles sur internet à propos de Matrix :

On trouvera dans la "Philosophy section" in *MainFrame* du site officiel du film
(http://whatisthematrix.warnerbros.com) des articles d'inspiration plutôt « analytique» (Colin McGinn, Hubert et Stephen Dreyfus, David Chalmers, James Pryor, etc.)
John Partridge, « Plato's Cave and the Matrix »,
David Chalmers, « The Matrix as Metaphysics »,
Frances Flannery-Daley and Rachel Wagner, "Whake up ! Gnosticism and Buddhism in The Matrix",
James Pryor, « What's so bad about living in the Matrix ? »,
Hubert et Stephen Dreyfus, « The Brave New World of the Matrix »,
David Chalmers, « The Matrix as Metaphysics »,
http://whatisthematrix.warnerbros.com
Nick Bostrom, « Are you living in a computer simulation ? »,
http://www.simulation-argument.com
Erik Davis, « The Matrix Way of Knowledge »,
http://www.techgnosis.com/matrixre.html
Ray Kurzweil, « The Matrix Loses its Way : Reflections on Matrix and Matrix Reloaded »,
http://www.kurzweilai.net/meme/frame.html?main=/articles/art 0580.html
Peter B. Lloyd, « Glitches in The Matrix... and how to fix them »,
http://www.kurzweilai.net/meme/frame.html?main=/articles/art 0553.html
Peter B. Lloyd, « Glitches Reloaded »,
http://www.kurzweilai.net/meme/frame.html?main=/articles/art 0580.html
Peter Sloterdijk, « Die kybernetische Ironie. Die Philosopher der Matrix »,
http://www.schnitt.de/themen/archiv.shtml
http://www.schnit t.de/themen/artikel/philosophie_der_matrix__die_-_die_kybernetisc he_ironie.shtml
Brian Takle, « Matrix Reloaded »,
http://webpages.charter.net/btakle/matrix_reloaded.html
Le texte de Siavoj Zizek, « The Matrix : Or, the Two Sides of Perversion » reproduit dans William Irwin (éd.), The Matrix and Phi/osophy, op. cit., figure également dans les actes du colloque « Inside The Matrix. Zur Kritik der zynischen Virtualitat » (Karlsruhe, 28 octobre 1999) :
http://on1.zkm.de/netcondition/navigation/symposia/default
ht tp://container.zkm.de/netcondition/matrix/zizek.html

J’esper e que ça conviendra :)
Re: The Matrix Revolutions...
Posté par camilla le 12/07/2007 10:53:45
bon article :-D je suis tout à fait d'accord.
Re: The Matrix Revolutions... Une révolution dans la création de
Posté par banzaii le 09/03/2007 10:44:17
melie20035 > Lui a apporté des arguments pour soutenir ta thèse.
Re: The Matrix Revolutions... Une révolution dans la création de navet
Posté par melie20035 le 14/08/2006 00:11:50
eumm... je n'aime vraiment pas cette article! Tu la mis un site? je te conseillerais plutot de le mettre dans la poubelle! Tu vois c'est si facile de critiquer les autres!
Re: The Matrix Revolutions... Une révolution dans la création de navet
Posté par a.erenel le 14/12/2005 07:48:15
Ca m'attriste, révolution!
. Voir tous les commentaires et/ou en poster un (43)
L'auteur : Tchit Kom
38 ans, Nantes (Etats unis).
Publié le 11 novembre 2003
Modifié le 11 novembre 2003
Lu 4 613 fois

. Cet article est un plagiat?
. Imprimable (pdf/html)

Commander sur Amazon.com
Recevoir la lettre d'information :
Connectés :
    0 membres et 547 visiteurs

tubededentifrice.com, ...    CNIL: 752143.     |]  ▲