| Une petite parodie d'urgencesLe retour du docteur Flop. Cette fois ci il a rendez-vous avec les urgences : Jerry, Carol, Doug... Une histoire palpitante à ne pas rater !Le poste de pédiatre était enfin libre.
Après le départ de Doug Ross, le docteur Hanspow m'avait contactait pour participer à un entretien. Tout s'était parfaitement déroulé, et maintenant j'étais là, devant la porte. Une jeune infirmière Carole Hattaway, d'après son badge buvait un café, assise sur une poubelle. Je la regardais en souriant, elle semblait perdue dans ses pensées...
Ces mains étaient protégées par d'épais moufles qui la gênaient pour remuer son café. C'est vrai qu'ici, à Chicago, la neige est fréquente et les hivers rigoureux mais j'avais dans mon sac de quoi me réchauffer : j'espérais trinquer avec mes collègues, tout particulièrement avec Jerry.
Sa réputation avait dépassé les rocheuses depuis longtemps. On le disait capable d'avaler trois bouteilles d'alcool à 90 sans vaciller. Heureusement, il n'était pas médecin !
Je franchis la porte après avoir pris une profonde inspiration. La chaleur m'étouffe Le docteur Greene s'avance, se présente.
La porte s'ouvre violemment derrière moi, un ambulancier crie : "adolescente, 15 ans trouvée inanimée dans sa chambre, tension 14, 2 constantes stables, pupilles dilatées."
Aussitôt j'entre en scène. Je sais que je dois faire mes preuves maintenant. Je l'examine rapidement, cette fille n'a pas l'air malade elle est plutôt détendue comme endormie. Une femme crie dans le couloir, elle s'approche du brancard malgré l'intervention musclé de Malick : elle tient dans sa main un magnifique cône encore fumant. "Sale petite pute t'as trouvé ma planque."
Mark me regarde et demande :
- Quelle substance ?
- Marijuana sûrement, attendez, je goutte pour être sur.
La mère me tend le cône en souriant. J'aspire profondément. Les portes du paradis s'ouvrent, mais devant le regard de Mark je recrache aussitôt la fumée en toussant. Réa 1 beugle Mark.
- Alors docteur Flop que fait-on ?
- On la réhydrate simplement. Ce genre d'intoxication est spectaculaire, jamais gravissime.
-Ok, on vous la laisse.
Je m'occupe moi-même de la jeune fille. Je souris : je vais lui casser son trip. Mark n'aurait pas aimé ça, autant qu'il ne sache rien.
Je demande à Carole de m'aider. Je lui demande de placer un masque sur la bouche de la fillette. Je vais lui faire respirer de l'oxygène pur, une petite quantité devrait la faire délicatement émergée. Carole lui place le masque sur le visage, elle le maintient pendant deux minutes.
"C'est Dieu qui à inventer la drogue, il vient de me le dire." | | |
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c'est une honte! | | Re: Une petite parodie d'urgences Posté par jibeskywalker le 20/08/2004 07:55:24 | Il n'y a rien de drôle dans cet article et pourtant, il est dans la rubrique "Humour"... Je suis sûr, on va dans la rubrique "Webmasters", on en trouve des plus drôles... | | Re: Une petite parodie d'urgences Posté par ema_h le 20/08/2004 07:55:24 | Dhia agrebi> Loooooooooooool ! Absolument excellent :D | | Re: Une petite parodie d'urgences Posté par s.c.h.e.v.a le 20/08/2004 07:55:24 | tu veux faire quoi dans la vie? chomiste non? | | Re: Une petite parodie d'urgences Posté par alal le 20/08/2004 07:55:24 | c'est dommage qu'il y ait pas une rubrique "pitié"......a ha | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (10) |
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